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Code de l'éducation, art. L111-1
Code de l'éducation
L'éducation est la première priorité nationale. Le service public de l'éducation est conçu et organisé en fonction des élèves et des étudiants. Il contribue à l'égalité des chances et à lutter contre les inégalités sociales et territoriales en matière de réussite scolaire et éducative. Il reconnaît que tous les enfants partagent la capacité d'apprendre et de progresser. Il veille à la scolarisation inclusive de tous les enfants, sans aucune distinction. Il veille également à la mixité sociale des publics scolarisés au sein des établissements d'enseignement. Pour garantir la réussite de tous, l'école se construit avec la participation des parents, quelle que soit leur origine sociale. Elle s'enrichit et se conforte par le dialogue et la coopération entre tous les acteurs de la communauté éducative. Outre la transmission des connaissances, la Nation fixe comme mission première à l'école de faire partager aux élèves les valeurs de la République. Le service public de l'éducation fait acquérir à tous les élèves le respect de l'égale dignité des êtres humains, de la liberté de conscience et de la laïcité. Par son organisation et ses méthodes, comme par la formation des maîtres qui y enseignent, il favorise la coopération entre les élèves. Dans l'exercice de leurs fonctions, les personnels mettent en œuvre ces valeurs. Le droit à l'éducation est garanti à chacun afin de lui permettre de développer sa personnalité, d'élever son niveau de formation initiale et continue, de s'insérer dans la vie sociale et professionnelle, d'exercer sa citoyenneté. Pour garantir ce droit dans le respect de l'égalité des chances, des aides sont attribuées aux élèves et aux étudiants selon leurs ressources et leurs mérites. La répartition des moyens du service public de l'éducation tient compte des différences de situation, notamment en matière économique, territoriale et sociale. Elle a pour but de renforcer l'encadrement des élèves dans les écoles et établissements d'enseignement situés dans des zones d'environnement social défavorisé et des zones d'habitat dispersé, et de permettre de façon générale aux élèves en difficulté, quelle qu'en soit l'origine, en particulier de santé, de bénéficier d'actions de soutien individualisé. L'école garantit à tous les élèves l'apprentissage et la maîtrise de la langue française. L'acquisition d'une culture générale et d'une qualification reconnue est assurée à tous les jeunes, quelle que soit leur origine sociale, culturelle ou géographique. L'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation veille, en lien avec les établissements scolaires publics et privés sous contrat et en concertation avec les collectivités territoriales, à l'amélioration de la mixité sociale au sein de ces établissements.
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L111-1
LEGIARTI000043982767
LEGIARTI000006524363
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
8.0
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Article
<p>L'éducation est la première priorité nationale. Le service public de l'éducation est conçu et organisé en fonction des élèves et des étudiants. Il contribue à l'égalité des chances et à lutter contre les inégalités sociales et territoriales en matière de réussite scolaire et éducative. Il reconnaît que tous les enfants partagent la capacité d'apprendre et de progresser. Il veille à la scolarisation inclusive de tous les enfants, sans aucune distinction. Il veille également à la mixité sociale des publics scolarisés au sein des établissements d'enseignement. Pour garantir la réussite de tous, l'école se construit avec la participation des parents, quelle que soit leur origine sociale. Elle s'enrichit et se conforte par le dialogue et la coopération entre tous les acteurs de la communauté éducative.</p><p>Outre la transmission des connaissances, la Nation fixe comme mission première à l'école de faire partager aux élèves les valeurs de la République. Le service public de l'éducation fait acquérir à tous les élèves le respect de l'égale dignité des êtres humains, de la liberté de conscience et de la laïcité. Par son organisation et ses méthodes, comme par la formation des maîtres qui y enseignent, il favorise la coopération entre les élèves.</p><p>Dans l'exercice de leurs fonctions, les personnels mettent en œuvre ces valeurs.</p><p>Le droit à l'éducation est garanti à chacun afin de lui permettre de développer sa personnalité, d'élever son niveau de formation initiale et continue, de s'insérer dans la vie sociale et professionnelle, d'exercer sa citoyenneté.</p><p>Pour garantir ce droit dans le respect de l'égalité des chances, des aides sont attribuées aux élèves et aux étudiants selon leurs ressources et leurs mérites. La répartition des moyens du service public de l'éducation tient compte des différences de situation, notamment en matière économique, territoriale et sociale.</p><p>Elle a pour but de renforcer l'encadrement des élèves dans les écoles et établissements d'enseignement situés dans des zones d'environnement social défavorisé et des zones d'habitat dispersé, et de permettre de façon générale aux élèves en difficulté, quelle qu'en soit l'origine, en particulier de santé, de bénéficier d'actions de soutien individualisé.</p><p>L'école garantit à tous les élèves l'apprentissage et la maîtrise de la langue française.</p><p>L'acquisition d'une culture générale et d'une qualification reconnue est assurée à tous les jeunes, quelle que soit leur origine sociale, culturelle ou géographique.</p><p>L'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation veille, en lien avec les établissements scolaires publics et privés sous contrat et en concertation avec les collectivités territoriales, à l'amélioration de la mixité sociale au sein de ces établissements.</p>
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Chapitre Ier : Dispositions générales.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
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Code de l'éducation, art. L111-1-1
Code de l'éducation
La devise de la République, le drapeau tricolore et le drapeau européen sont apposés sur la façade des écoles et des établissements d'enseignement du second degré publics et privés sous contrat. La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789 est affichée de manière visible dans les locaux des mêmes écoles et établissements. Les établissements qui n'ont pas conclu de contrat avec l'Etat se voient proposer par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation une charte des valeurs et principes républicains.
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L111-1-1
LEGIARTI000043982730
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Article
<p>La devise de la République, le drapeau tricolore et le drapeau européen sont apposés sur la façade des écoles et des établissements d'enseignement du second degré publics et privés sous contrat. La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789 est affichée de manière visible dans les locaux des mêmes écoles et établissements. Les établissements qui n'ont pas conclu de contrat avec l'Etat se voient proposer par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation une charte des valeurs et principes républicains.</p>
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Code de l'éducation, art. L111-1-2
Code de l'éducation
L'emblème national de la République française, le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge, le drapeau européen, la devise de la République et les paroles de l'hymne national sont affichés dans chacune des salles de classe des établissements du premier et du second degrés, publics ou privés sous contrat.
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L111-1-2
LEGIARTI000038847723
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AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
1.0
204,007
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Article
<p>L'emblème national de la République française, le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge, le drapeau européen, la devise de la République et les paroles de l'hymne national sont affichés dans chacune des salles de classe des établissements du premier et du second degrés, publics ou privés sous contrat.</p>
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
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Code de l'éducation, art. L111-1-3
Code de l'éducation
Lorsqu'une carte de France est affichée dans une salle de classe d'un établissement du premier ou du second degré, elle représente les territoires français d'outre-mer.
1,567,382,400,000
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L111-1-3
LEGIARTI000038847746
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AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
1.0
209,376
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Article
<p>Lorsqu'une carte de France est affichée dans une salle de classe d'un établissement du premier ou du second degré, elle représente les territoires français d'outre-mer.</p>
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
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Code de l'éducation, art. L111-2
Code de l'éducation
Tout enfant a droit à une formation scolaire qui, complétant l'action de sa famille, concourt à son éducation. La formation scolaire favorise l'épanouissement de l'enfant, lui permet d'acquérir une culture, le prépare à la vie professionnelle et à l'exercice de ses responsabilités d'homme ou de femme et de citoyen ou de citoyenne. Elle prépare à l'éducation et à la formation tout au long de la vie. Elle favorise également l'éducation manuelle. Elle développe les connaissances scientifiques, les compétences et la culture nécessaires à la compréhension des enjeux environnementaux, sanitaires, sociaux et économiques de la transition écologique et du développement durable. Elle développe les connaissances, les compétences et la culture nécessaires à l'exercice de la citoyenneté dans la société contemporaine de l'information et de la communication. Elle favorise l'esprit d'initiative et l'esprit d'équipe, notamment par l'activité physique et sportive. Les familles sont associées à l'accomplissement de ces missions. Pour favoriser l'égalité des chances, des dispositions appropriées rendent possible l'accès de chacun, en fonction de ses aptitudes et de ses besoins particuliers, aux différents types ou niveaux de la formation scolaire. L'Etat garantit le respect de la personnalité de l'enfant et de l'action éducative des familles.
1,629,849,600,000
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L111-2
LEGIARTI000043974677
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AUTONOME
VIGUEUR
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Article
<p></p><p>Tout enfant a droit à une formation scolaire qui, complétant l'action de sa famille, concourt à son éducation.</p><p>La formation scolaire favorise l'épanouissement de l'enfant, lui permet d'acquérir une culture, le prépare à la vie professionnelle et à l'exercice de ses responsabilités d'homme ou de femme et de citoyen ou de citoyenne. Elle prépare à l'éducation et à la formation tout au long de la vie. Elle favorise également l'éducation manuelle. Elle développe les connaissances scientifiques, les compétences et la culture nécessaires à la compréhension des enjeux environnementaux, sanitaires, sociaux et économiques de la transition écologique et du développement durable. Elle développe les connaissances, les compétences et la culture nécessaires à l'exercice de la citoyenneté dans la société contemporaine de l'information et de la communication. Elle favorise l'esprit d'initiative et l'esprit d'équipe, notamment par l'activité physique et sportive. Les familles sont associées à l'accomplissement de ces missions.</p><p>Pour favoriser l'égalité des chances, des dispositions appropriées rendent possible l'accès de chacun, en fonction de ses aptitudes et de ses besoins particuliers, aux différents types ou niveaux de la formation scolaire.</p><p>L'Etat garantit le respect de la personnalité de l'enfant et de l'action éducative des familles.</p><p></p>
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
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Code de l'éducation, art. L111-3
Code de l'éducation
Dans chaque école, collège ou lycée, la communauté éducative rassemble les élèves et tous ceux qui, dans l'établissement scolaire ou en relation avec lui, participent à l'accomplissement de ses missions. Elle réunit les personnels des écoles et établissements, les parents d'élèves, les collectivités territoriales, les associations éducatives complémentaires de l'enseignement public ainsi que les acteurs institutionnels, économiques et sociaux, associés au service public de l'éducation. Dans le cadre d'une école inclusive, elle fonde sa cohésion sur la complémentarité des expertises.
1,567,382,400,000
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L111-3
LEGIARTI000038902126
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AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
4.0
343,592
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Article
<p>Dans chaque école, collège ou lycée, la communauté éducative rassemble les élèves et tous ceux qui, dans l'établissement scolaire ou en relation avec lui, participent à l'accomplissement de ses missions.</p><p>Elle réunit les personnels des écoles et établissements, les parents d'élèves, les collectivités territoriales, les associations éducatives complémentaires de l'enseignement public ainsi que les acteurs institutionnels, économiques et sociaux, associés au service public de l'éducation. Dans le cadre d'une école inclusive, elle fonde sa cohésion sur la complémentarité des expertises.</p>
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Chapitre Ier : Dispositions générales.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
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Code de l'éducation, art. L111-3-1
Code de l'éducation
L'engagement et l'exemplarité des personnels de l'éducation nationale confortent leur autorité dans la classe et l'établissement et contribuent au lien de confiance qui doit unir les élèves et leur famille au service public de l'éducation. Ce lien implique le respect des élèves et de leur famille à l'égard des professeurs, de l'ensemble des personnels et de l'institution scolaire.
1,564,358,400,000
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L111-3-1
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LEGIARTI000038847676
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
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Article
<p>L'engagement et l'exemplarité des personnels de l'éducation nationale confortent leur autorité dans la classe et l'établissement et contribuent au lien de confiance qui doit unir les élèves et leur famille au service public de l'éducation. Ce lien implique le respect des élèves et de leur famille à l'égard des professeurs, de l'ensemble des personnels et de l'institution scolaire.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000038847685
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Chapitre Ier : Dispositions générales.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
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Code de l'éducation, art. L111-4
Code de l'éducation
Les parents d'élèves sont membres de la communauté éducative. Les formulaires administratifs qui leur sont destinés permettent de choisir entre les termes père, mère ou représentant légal et tiennent ainsi compte de la diversité des situations familiales. Leur participation à la vie scolaire et le dialogue avec les enseignants et les autres personnels sont assurés dans chaque école et dans chaque établissement. Les parents d'élèves participent, par leurs représentants aux conseils d'école, aux conseils d'administration des établissements scolaires et aux conseils de classe.
1,567,382,400,000
32,472,144,000,000
L111-4
LEGIARTI000038901844
LEGIARTI000006524371
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
2.0
386,541
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Article
<p>Les parents d'élèves sont membres de la communauté éducative. Les formulaires administratifs qui leur sont destinés permettent de choisir entre les termes père, mère ou représentant légal et tiennent ainsi compte de la diversité des situations familiales.</p><p>Leur participation à la vie scolaire et le dialogue avec les enseignants et les autres personnels sont assurés dans chaque école et dans chaque établissement.</p><p>Les parents d'élèves participent, par leurs représentants aux conseils d'école, aux conseils d'administration des établissements scolaires et aux conseils de classe.</p>
32,472,144,000,000
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
<p><font color='black'>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions </font>entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
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Code de l'éducation, art. L111-5
Code de l'éducation
Le service public de l'enseignement supérieur rassemble les usagers et les personnels qui assurent le fonctionnement des établissements et participent à l'accomplissement des missions de ceux-ci dans une communauté universitaire. Il associe à sa gestion, outre ses usagers et son personnel, des représentants des intérêts publics et des activités économiques, culturelles et sociales. L'Etat est le garant de l'égalité devant le service public de l'enseignement supérieur sur l'ensemble du territoire.
1,374,624,000,000
32,472,144,000,000
L111-5
LEGIARTI000027747707
LEGIARTI000006524372
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
429,490
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Article
<p>Le service public de l'enseignement supérieur rassemble les usagers et les personnels qui assurent le fonctionnement des établissements et participent à l'accomplissement des missions de ceux-ci dans une communauté universitaire.</p><p></p><p>Il associe à sa gestion, outre ses usagers et son personnel, des représentants des intérêts publics et des activités économiques, culturelles et sociales.</p><p></p><p>L'Etat est le garant de l'égalité devant le service public de l'enseignement supérieur sur l'ensemble du territoire. </p><p></p>
32,472,144,000,000
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LEGIARTI000027747707
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
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Code de l'éducation, art. L111-6
Code de l'éducation
Aucun élève ou étudiant ne doit subir de faits de harcèlement résultant de propos ou comportements, commis au sein de l'établissement d'enseignement ou en marge de la vie scolaire ou universitaire et ayant pour objet ou pour effet de porter atteinte à sa dignité, d'altérer sa santé physique ou mentale ou de dégrader ses conditions d'apprentissage. Ces faits peuvent être constitutifs du délit de harcèlement scolaire prévu à l' article 222-33-2-3 du code pénal . Les établissements d'enseignement scolaire et supérieur publics et privés ainsi que le réseau des œuvres universitaires prennent les mesures appropriées visant à lutter contre le harcèlement dans le cadre scolaire et universitaire. Ces mesures visent notamment à prévenir l'apparition de situations de harcèlement, à favoriser leur détection par la communauté éducative afin d'y apporter une réponse rapide et coordonnée et à orienter les victimes, les témoins et les auteurs, le cas échéant, vers les services appropriés et les associations susceptibles de leur proposer un accompagnement. Une information sur les risques liés au harcèlement scolaire, notamment au cyberharcèlement, est délivrée chaque année aux élèves et parents d'élèves.
1,646,352,000,000
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Article
<p>Aucun élève ou étudiant ne doit subir de faits de harcèlement résultant de propos ou comportements, commis au sein de l'établissement d'enseignement ou en marge de la vie scolaire ou universitaire et ayant pour objet ou pour effet de porter atteinte à sa dignité, d'altérer sa santé physique ou mentale ou de dégrader ses conditions d'apprentissage. Ces faits peuvent être constitutifs du délit de harcèlement scolaire prévu à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000045289333&dateTexte=&categorieLien=cid'>article 222-33-2-3 du code pénal</a>. <br/><br/>Les établissements d'enseignement scolaire et supérieur publics et privés ainsi que le réseau des œuvres universitaires prennent les mesures appropriées visant à lutter contre le harcèlement dans le cadre scolaire et universitaire. Ces mesures visent notamment à prévenir l'apparition de situations de harcèlement, à favoriser leur détection par la communauté éducative afin d'y apporter une réponse rapide et coordonnée et à orienter les victimes, les témoins et les auteurs, le cas échéant, vers les services appropriés et les associations susceptibles de leur proposer un accompagnement. <br/><br/>Une information sur les risques liés au harcèlement scolaire, notamment au cyberharcèlement, est délivrée chaque année aux élèves et parents d'élèves.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231128
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LEGIARTI000045289043
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166558
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Chapitre Ier : Dispositions générales.
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LEGISCTA000006166558
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
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Code de l'éducation, art. L112-1
Code de l'éducation
Pour satisfaire aux obligations qui lui incombent en application des articles L. 111-1 et L. 111-2 , le service public de l'éducation assure une formation scolaire, professionnelle ou supérieure aux enfants, aux adolescents et aux adultes présentant un handicap ou un trouble de la santé invalidant. Dans ses domaines de compétence, l'Etat met en place les moyens financiers et humains nécessaires à la scolarisation en milieu ordinaire des enfants, adolescents ou adultes en situation de handicap. Tout enfant, tout adolescent présentant un handicap ou un trouble invalidant de la santé est inscrit dans l'école ou dans l'un des établissements mentionnés à l'article L. 351-1 , le plus proche de son domicile, qui constitue son établissement de référence. Dans le cadre de son projet personnalisé, si ses besoins nécessitent qu'il reçoive sa formation au sein de dispositifs adaptés, il peut être inscrit dans une autre école ou un autre établissement mentionné à l'article L. 351-1 par l'autorité administrative compétente, sur proposition de son établissement de référence et avec l'accord de ses parents ou de son représentant légal. Cette inscription n'exclut pas son retour à l'établissement de référence. De même, les enfants et les adolescents accueillis dans l'un des établissements ou services mentionnés au 2° du I de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles ou dans l'un des établissements mentionnés au livre Ier de la sixième partie du code de la santé publique peuvent être inscrits dans une école ou dans l'un des établissements mentionnés à l'article L. 351-1 du présent code autre que leur établissement de référence, proche de l'établissement où ils sont accueillis. Les conditions permettant cette inscription et cette fréquentation sont fixées par convention entre les autorités académiques et l'établissement de santé ou médico-social. Si nécessaire, des modalités aménagées d'enseignement à distance leur sont proposées par un établissement relevant de la tutelle du ministère de l'éducation nationale. Cette formation est entreprise avant l'âge de la scolarité obligatoire, si la famille en fait la demande. Elle est complétée, en tant que de besoin, par des actions pédagogiques, psychologiques, éducatives, sociales, médicales et paramédicales coordonnées dans le cadre d'un projet personnalisé prévu à l'article L. 112-2 . Lorsqu'une scolarisation en milieu ordinaire a été décidée par la commission mentionnée à l'article L. 146-9 du code de l'action sociale et des familles mais que les conditions d'accès à l'établissement de référence la rendent impossible, les surcoûts imputables au transport de l'enfant ou de l'adolescent en situation de handicap vers un établissement plus éloigné sont à la charge de la collectivité territoriale compétente pour la mise en accessibilité des locaux. Cette disposition ne fait pas obstacle à l'application de l'article L. 242-11 du même code lorsque l'inaccessibilité de l'établissement de référence n'est pas la cause des frais de transport.
1,567,382,400,000
32,472,144,000,000
L112-1
LEGIARTI000038902196
LEGIARTI000006524373
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
3.0
85,898
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Article
<p>Pour satisfaire aux obligations qui lui incombent en application des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006524363&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 111-1 et L. 111-2</a>, le service public de l'éducation assure une formation scolaire, professionnelle ou supérieure aux enfants, aux adolescents et aux adultes présentant un handicap ou un trouble de la santé invalidant. Dans ses domaines de compétence, l'Etat met en place les moyens financiers et humains nécessaires à la scolarisation en milieu ordinaire des enfants, adolescents ou adultes en situation de handicap.</p><p>Tout enfant, tout adolescent présentant un handicap ou un trouble invalidant de la santé est inscrit dans l'école ou dans l'un des établissements mentionnés à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006524862&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 351-1</a>, le plus proche de son domicile, qui constitue son établissement de référence.</p><p>Dans le cadre de son projet personnalisé, si ses besoins nécessitent qu'il reçoive sa formation au sein de dispositifs adaptés, il peut être inscrit dans une autre école ou un autre établissement mentionné à l'article L. 351-1 par l'autorité administrative compétente, sur proposition de son établissement de référence et avec l'accord de ses parents ou de son représentant légal. Cette inscription n'exclut pas son retour à l'établissement de référence.</p><p>De même, les enfants et les adolescents accueillis dans l'un des établissements ou services mentionnés au 2° du I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&idArticle=LEGIARTI000006797382&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles </a>ou dans l'un des établissements mentionnés au livre Ier de la sixième partie du code de la santé publique peuvent être inscrits dans une école ou dans l'un des établissements mentionnés à l'article L. 351-1 du présent code autre que leur établissement de référence, proche de l'établissement où ils sont accueillis. Les conditions permettant cette inscription et cette fréquentation sont fixées par convention entre les autorités académiques et l'établissement de santé ou médico-social.</p><p>Si nécessaire, des modalités aménagées d'enseignement à distance leur sont proposées par un établissement relevant de la tutelle du ministère de l'éducation nationale.</p><p>Cette formation est entreprise avant l'âge de la scolarité obligatoire, si la famille en fait la demande.</p><p>Elle est complétée, en tant que de besoin, par des actions pédagogiques, psychologiques, éducatives, sociales, médicales et paramédicales coordonnées dans le cadre d'un projet personnalisé prévu à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006524375&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 112-2</a>.</p><p>Lorsqu'une scolarisation en milieu ordinaire a été décidée par la commission mentionnée à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&idArticle=LEGIARTI000006796672&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 146-9 du code de l'action sociale et des familles </a>mais que les conditions d'accès à l'établissement de référence la rendent impossible, les surcoûts imputables au transport de l'enfant ou de l'adolescent en situation de handicap vers un établissement plus éloigné sont à la charge de la collectivité territoriale compétente pour la mise en accessibilité des locaux. Cette disposition ne fait pas obstacle à l'application de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&idArticle=LEGIARTI000006797071&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 242-11</a> du même code lorsque l'inaccessibilité de l'établissement de référence n'est pas la cause des frais de transport.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524374
MD-20231229_210203_164_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000038902196
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000044523885
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Chapitre II : Dispositions particulières aux enfants et adolescents en situation de handicap ou présentant une maladie chronique ou de longue durée
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LEGISCTA000006166559
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre II : Dispositions particulières aux enfants et adolescents en situation de handicap
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
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Code de l'éducation, art. L112-2
Code de l'éducation
Afin que lui soit assuré un parcours de formation adapté, chaque enfant, adolescent ou adulte en situation de handicap a droit à une évaluation de ses compétences, de ses besoins et des mesures mises en oeuvre dans le cadre de ce parcours, selon une périodicité adaptée à sa situation. Cette évaluation est réalisée par l'équipe pluridisciplinaire mentionnée à l'article L. 146-8 du code de l'action sociale et des familles. Les parents ou le représentant légal de l'enfant sont obligatoirement invités à s'exprimer à cette occasion. En fonction des résultats de l'évaluation, il est proposé à chaque enfant, adolescent ou adulte en situation de handicap, ainsi qu'à sa famille, un parcours de formation qui fait l'objet d'un projet personnalisé de scolarisation assorti des ajustements nécessaires en favorisant, chaque fois que possible, la formation en milieu scolaire ordinaire. Le projet personnalisé de scolarisation constitue un élément du plan de compensation visé à l'article L. 146-8 du code de l'action sociale et des familles . Il propose des modalités de déroulement de la scolarité coordonnées avec les mesures permettant l'accompagnement de celle-ci figurant dans le plan de compensation. Les élèves ou étudiants en situation de handicap ayant suivi une formation professionnelle ou technologique se voient délivrer par l'établissement de formation une attestation des compétences acquises au cours de la formation.
1,567,382,400,000
32,472,144,000,000
L112-2
LEGIARTI000038902191
LEGIARTI000006524375
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
4.0
128,847
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Article
<p>Afin que lui soit assuré un parcours de formation adapté, chaque enfant, adolescent ou adulte en situation de handicap a droit à une évaluation de ses compétences, de ses besoins et des mesures mises en oeuvre dans le cadre de ce parcours, selon une périodicité adaptée à sa situation. Cette évaluation est réalisée par l'équipe pluridisciplinaire mentionnée à l'article L. 146-8 du code de l'action sociale et des familles. Les parents ou le représentant légal de l'enfant sont obligatoirement invités à s'exprimer à cette occasion.</p><p>En fonction des résultats de l'évaluation, il est proposé à chaque enfant, adolescent ou adulte en situation de handicap, ainsi qu'à sa famille, un parcours de formation qui fait l'objet d'un projet personnalisé de scolarisation assorti des ajustements nécessaires en favorisant, chaque fois que possible, la formation en milieu scolaire ordinaire. Le projet personnalisé de scolarisation constitue un élément du plan de compensation visé à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&idArticle=LEGIARTI000006796671&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 146-8 du code de l'action sociale et des familles</a>. Il propose des modalités de déroulement de la scolarité coordonnées avec les mesures permettant l'accompagnement de celle-ci figurant dans le plan de compensation.</p><p>Les élèves ou étudiants en situation de handicap ayant suivi une formation professionnelle ou technologique se voient délivrer par l'établissement de formation une attestation des compétences acquises au cours de la formation.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000037386610
IG-20231129
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LEGIARTI000038902191
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000044523885
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Chapitre II : Dispositions particulières aux enfants et adolescents en situation de handicap ou présentant une maladie chronique ou de longue durée
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LEGISCTA000006166559
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre II : Dispositions particulières aux enfants et adolescents en situation de handicap
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
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Code de l'éducation, art. L112-2-1
Code de l'éducation
Des équipes de suivi de la scolarisation sont créées dans chaque département. Elles assurent le suivi des décisions de la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées, prises au titre du 2° du I de l'article L. 241-6 du code de l'action sociale et des familles , et l'accompagnement des familles. Ces équipes comprennent l'ensemble des personnes qui concourent à la mise en oeuvre du projet personnalisé de scolarisation et en particulier le ou les enseignants qui ont en charge l'enfant ou l'adolescent ainsi que les personnes chargées de l'aide individuelle ou mutualisée prescrite par la commission mentionnée à l'article L. 146-9 du même code. Le représentant de la collectivité territoriale compétente peut y être associé. Elles peuvent, avec l'accord de ses parents ou de son représentant légal, proposer à la commission mentionnée à l'article L. 241-5 du code de l'action sociale et des familles toute révision de l'orientation d'un enfant ou d'un adolescent qu'elles jugeraient utile. L'enseignant référent qui coordonne les équipes de suivi de la scolarisation est l'interlocuteur des familles pour la mise en place du projet personnalisé de scolarisation.
1,567,382,400,000
32,472,144,000,000
L112-2-1
LEGIARTI000038902120
LEGIARTI000006524377
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
2.0
214,745
null
null
null
Article
<p>Des équipes de suivi de la scolarisation sont créées dans chaque département. Elles assurent le suivi des décisions de la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées, prises au titre du 2° du I de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&idArticle=LEGIARTI000006797050&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 241-6 du code de l'action sociale et des familles</a>, et l'accompagnement des familles.</p><p>Ces équipes comprennent l'ensemble des personnes qui concourent à la mise en oeuvre du projet personnalisé de scolarisation et en particulier le ou les enseignants qui ont en charge l'enfant ou l'adolescent ainsi que les personnes chargées de l'aide individuelle ou mutualisée prescrite par la commission mentionnée à l'article L. 146-9 du même code. Le représentant de la collectivité territoriale compétente peut y être associé.</p><p>Elles peuvent, avec l'accord de ses parents ou de son représentant légal, proposer à la commission mentionnée à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&idArticle=LEGIARTI000006797049&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 241-5 du code de l'action sociale et des familles</a> toute révision de l'orientation d'un enfant ou d'un adolescent qu'elles jugeraient utile.</p><p>L'enseignant référent qui coordonne les équipes de suivi de la scolarisation est l'interlocuteur des familles pour la mise en place du projet personnalisé de scolarisation.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524377
MD-20240708_195128_543_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000038902120
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000044523885
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Chapitre II : Dispositions particulières aux enfants et adolescents en situation de handicap ou présentant une maladie chronique ou de longue durée
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LEGISCTA000006166559
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre II : Dispositions particulières aux enfants et adolescents en situation de handicap
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
null
Code de l'éducation, art. L112-3
Code de l'éducation
Dans l'éducation et le parcours scolaire des jeunes sourds, la liberté de choix entre une communication bilingue, langue des signes et langue française, et une communication en langue française est de droit. Un décret en Conseil d'Etat fixe, d'une part, les conditions d'exercice de ce choix pour les jeunes sourds et leurs familles, d'autre part, les dispositions à prendre par les établissements et services où est assurée l'éducation des jeunes sourds pour garantir l'application de ce choix.
1,229,126,400,000
32,472,144,000,000
L112-3
LEGIARTI000019911145
LEGIARTI000006524379
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p> Dans l'éducation et le parcours scolaire des jeunes sourds, la liberté de choix entre une communication bilingue, langue des signes et langue française, et une communication en langue française est de droit. Un décret en Conseil d'Etat fixe, d'une part, les conditions d'exercice de ce choix pour les jeunes sourds et leurs familles, d'autre part, les dispositions à prendre par les établissements et services où est assurée l'éducation des jeunes sourds pour garantir l'application de ce choix.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524379
IG-20231129
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LEGIARTI000019911145
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000044523885
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Chapitre II : Dispositions particulières aux enfants et adolescents en situation de handicap ou présentant une maladie chronique ou de longue durée
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LEGISCTA000006166559
null
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre II : Dispositions particulières aux enfants et adolescents handicapés.
null
Code de l'éducation, art. L112-4
Code de l'éducation
Pour garantir l'égalité des chances entre les candidats, des aménagements aux conditions de passation des épreuves orales, écrites, pratiques ou de contrôle continu des examens ou concours de l'enseignement scolaire et de l'enseignement supérieur, rendus nécessaires en raison d'un handicap ou d'un trouble de la santé invalidant, sont prévus par décret. Ces aménagements peuvent inclure notamment l'octroi d'un temps supplémentaire et sa prise en compte dans le déroulement des épreuves, la présence d'un assistant, un dispositif de communication adapté, la mise à disposition d'un équipement adapté ou l'utilisation, par le candidat, de son équipement personnel.
1,136,073,600,000
32,472,144,000,000
L112-4
LEGIARTI000006524380
LEGIARTI000006524380
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
343,592
null
null
null
Article
<p></p> Pour garantir l'égalité des chances entre les candidats, des aménagements aux conditions de passation des épreuves orales, écrites, pratiques ou de contrôle continu des examens ou concours de l'enseignement scolaire et de l'enseignement supérieur, rendus nécessaires en raison d'un handicap ou d'un trouble de la santé invalidant, sont prévus par décret. Ces aménagements peuvent inclure notamment l'octroi d'un temps supplémentaire et sa prise en compte dans le déroulement des épreuves, la présence d'un assistant, un dispositif de communication adapté, la mise à disposition d'un équipement adapté ou l'utilisation, par le candidat, de son équipement personnel.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006524380
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000044523885
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Chapitre II : Dispositions particulières aux enfants et adolescents en situation de handicap ou présentant une maladie chronique ou de longue durée
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LEGISCTA000006166559
null
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null
null
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre II : Dispositions particulières aux enfants et adolescents handicapés.
null
Code de l'éducation, art. L112-4-1
Code de l'éducation
Lorsqu'un élève bénéficiant d'un projet d'accueil individualisé se présente à des épreuves orales, écrites, pratiques ou de contrôle continu des examens de l'enseignement scolaire se déroulant dans un lieu ne relevant pas de l'établissement dans lequel il est inscrit, le projet d'accueil individualisé est préalablement communiqué au centre d'examen. Il peut être indiqué dans le projet d'accueil individualisé si la présence d'un professionnel de santé dans le centre d'examen est souhaitable lors de ces épreuves. Un décret précise les conditions d'application du présent article.
1,639,872,000,000
32,472,144,000,000
L112-4-1
LEGIARTI000044519962
LEGIARTI000044519962
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
365,066
null
null
null
Article
<p>Lorsqu'un élève bénéficiant d'un projet d'accueil individualisé se présente à des épreuves orales, écrites, pratiques ou de contrôle continu des examens de l'enseignement scolaire se déroulant dans un lieu ne relevant pas de l'établissement dans lequel il est inscrit, le projet d'accueil individualisé est préalablement communiqué au centre d'examen.<br/><br/> Il peut être indiqué dans le projet d'accueil individualisé si la présence d'un professionnel de santé dans le centre d'examen est souhaitable lors de ces épreuves.<br/><br/> Un décret précise les conditions d'application du présent article.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000044519962
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000044523885
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Chapitre II : Dispositions particulières aux enfants et adolescents en situation de handicap ou présentant une maladie chronique ou de longue durée
null
null
LEGISCTA000006166559
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre II : Dispositions particulières aux enfants et adolescents en situation de handicap ou présentant une maladie chronique ou de longue durée
null
Code de l'éducation, art. L112-5
Code de l'éducation
Les enseignants et les personnels d'encadrement, d'accueil, techniques et de service reçoivent, au cours de leur formation initiale et continue, une formation spécifique concernant l'accueil et l'éducation des élèves et étudiants en situation de handicap et qui comporte notamment une information sur le handicap tel que défini à l'article L. 114 du code de l'action sociale et des familles et les différentes modalités d'accompagnement scolaire.
1,567,382,400,000
32,472,144,000,000
L112-5
LEGIARTI000038902231
LEGIARTI000006524382
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
2.0
386,541
null
null
null
Article
<p>Les enseignants et les personnels d'encadrement, d'accueil, techniques et de service reçoivent, au cours de leur formation initiale et continue, une formation spécifique concernant l'accueil et l'éducation des élèves et étudiants en situation de handicap et qui comporte notamment une information sur le handicap tel que défini à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074069&idArticle=LEGIARTI000006796446&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 114 du code de l'action sociale et des familles</a> et les différentes modalités d'accompagnement scolaire.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524382
IG-20231129
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LEGIARTI000038902231
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000044523885
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Chapitre II : Dispositions particulières aux enfants et adolescents en situation de handicap ou présentant une maladie chronique ou de longue durée
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null
LEGISCTA000006166559
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null
null
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre II : Dispositions particulières aux enfants et adolescents en situation de handicap
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
null
Code de l'éducation, art. L113-1
Code de l'éducation
Dans les classes enfantines ou les écoles maternelles, les enfants peuvent être accueillis dès l'âge de deux ans révolus dans des conditions éducatives et pédagogiques adaptées à leur âge visant leur développement moteur, sensoriel et cognitif, précisées par le ministre chargé de l'éducation nationale. Cet accueil donne lieu à un dialogue avec les familles. Il est organisé en priorité dans les écoles situées dans un environnement social défavorisé, que ce soit dans les zones urbaines, rurales ou de montagne et dans les régions d'outre-mer. Dans ces classes et ces écoles, les enfants de moins de trois ans sont comptabilisés dans les prévisions d'effectifs d'élèves pour la rentrée. Les enfants de moins de six ans peuvent être scolarisés dans des classes réunissant des enfants relevant de l'enseignement préélémentaire et élémentaire. Les personnels qui interviennent dans ces classes portent une attention particulière aux enfants de moins de six ans qui y sont scolarisés. Afin d'acquérir une expertise et une culture communes et dans le cadre de l'accomplissement de leurs fonctions, les professionnels intervenant auprès d'enfants de moins de six ans bénéficient de modules de formation continue communs dans les conditions définies aux articles L. 6111-1 et L. 6311-1 du code du travail. L'expérience acquise par les personnels non enseignants travaillant dans les écoles maternelles peut être validée dans les conditions définies aux articles L. 6411-1 et L. 6422-1 du même code, en vue de l'obtention d'un diplôme national ou d'un titre professionnel enregistré et classé au niveau 5 ou au niveau 4 du répertoire national des certifications professionnelles. Le contenu de ces modules et les modalités de cette validation sont fixés par décret. La mise en place de ces modules peut donner lieu à la conclusion d'une convention entre l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation, l'agence régionale de santé, le département et les communes. Le schéma départemental des services aux familles élaboré en application de l'article L. 214-5 du code de l'action sociale et des familles permet le pilotage et favorise la mutualisation des moyens consacrés à l'accueil des enfants de moins de trois ans, quel que soit le type de structure où ils sont accueillis, et des dispositifs d'accueil et de soutien à l'intention de leurs parents, notamment au bénéfice des familles vivant dans un environnement social défavorisé, que ce soit dans les zones urbaines, rurales ou de montagne.
1,621,555,200,000
32,472,144,000,000
L113-1
LEGIARTI000043520202
LEGIARTI000006524383
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément aux dispositions de l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
5.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Dans les classes enfantines ou les écoles maternelles, les enfants peuvent être accueillis dès l'âge de deux ans révolus dans des conditions éducatives et pédagogiques adaptées à leur âge visant leur développement moteur, sensoriel et cognitif, précisées par le ministre chargé de l'éducation nationale. Cet accueil donne lieu à un dialogue avec les familles. Il est organisé en priorité dans les écoles situées dans un environnement social défavorisé, que ce soit dans les zones urbaines, rurales ou de montagne et dans les régions d'outre-mer.</p><p>Dans ces classes et ces écoles, les enfants de moins de trois ans sont comptabilisés dans les prévisions d'effectifs d'élèves pour la rentrée. Les enfants de moins de six ans peuvent être scolarisés dans des classes réunissant des enfants relevant de l'enseignement préélémentaire et élémentaire. Les personnels qui interviennent dans ces classes portent une attention particulière aux enfants de moins de six ans qui y sont scolarisés.</p><p>Afin d'acquérir une expertise et une culture communes et dans le cadre de l'accomplissement de leurs fonctions, les professionnels intervenant auprès d'enfants de moins de six ans bénéficient de modules de formation continue communs dans les conditions définies aux articles L. 6111-1 et L. 6311-1 du code du travail. L'expérience acquise par les personnels non enseignants travaillant dans les écoles maternelles peut être validée dans les conditions définies aux articles L. 6411-1 et L. 6422-1 du même code, en vue de l'obtention d'un diplôme national ou d'un titre professionnel enregistré et classé au niveau 5 ou au niveau 4 du répertoire national des certifications professionnelles. Le contenu de ces modules et les modalités de cette validation sont fixés par décret. La mise en place de ces modules peut donner lieu à la conclusion d'une convention entre l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation, l'agence régionale de santé, le département et les communes.<br/><br/> Le schéma départemental des services aux familles élaboré en application de l'article L. 214-5 du code de l'action sociale et des familles permet le pilotage et favorise la mutualisation des moyens consacrés à l'accueil des enfants de moins de trois ans, quel que soit le type de structure où ils sont accueillis, et des dispositifs d'accueil et de soutien à l'intention de leurs parents, notamment au bénéfice des familles vivant dans un environnement social défavorisé, que ce soit dans les zones urbaines, rurales ou de montagne.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000038901906
IG-20231128
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LEGIARTI000043520202
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000038901910
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Chapitre III : Dispositions particulières aux enfants d'âge préélémentaire
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LEGISCTA000006166560
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre III : Dispositions particulières aux enfants d'âge préélémentaire
<p>Conformément aux dispositions de l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
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Code de l'éducation, art. L114-1
Code de l'éducation
La formation est obligatoire pour tout jeune jusqu'à l'âge de sa majorité. A l'issue de l'instruction obligatoire définie à l'article L. 131-1, cette obligation est remplie lorsque le jeune poursuit sa scolarité dans un établissement d'enseignement public ou privé, lorsqu'il est apprenti ou stagiaire de la formation professionnelle, lorsqu'il occupe un emploi ou effectue un service civique ou lorsqu'il bénéficie d'un dispositif d'accompagnement ou d'insertion sociale et professionnelle. Le contrôle du respect de leur obligation de formation par les jeunes âgés de seize à dix-huit ans est assuré par les missions locales pour l'insertion professionnelle et sociale des jeunes mentionnées à l'article L. 5314-1 du code du travail, qui bénéficient à cet effet d'un dispositif de collecte et de transmission des données placé sous la responsabilité de l'Etat. Un décret en Conseil d'Etat fixe les conditions d'application du présent chapitre ainsi que les motifs d'exemption.
1,598,918,400,000
32,472,144,000,000
L114-1
LEGIARTI000038901960
LEGIARTI000038848542
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2020.
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>La formation est obligatoire pour tout jeune jusqu'à l'âge de sa majorité.<br/><br/> A l'issue de l'instruction obligatoire définie à l'article L. 131-1, cette obligation est remplie lorsque le jeune poursuit sa scolarité dans un établissement d'enseignement public ou privé, lorsqu'il est apprenti ou stagiaire de la formation professionnelle, lorsqu'il occupe un emploi ou effectue un service civique ou lorsqu'il bénéficie d'un dispositif d'accompagnement ou d'insertion sociale et professionnelle.<br/><br/> Le contrôle du respect de leur obligation de formation par les jeunes âgés de seize à dix-huit ans est assuré par les missions locales pour l'insertion professionnelle et sociale des jeunes mentionnées à l'article L. 5314-1 du code du travail, qui bénéficient à cet effet d'un dispositif de collecte et de transmission des données placé sous la responsabilité de l'Etat.<br/><br/> Un décret en Conseil d'Etat fixe les conditions d'application du présent chapitre ainsi que les motifs d'exemption.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240628_201239_060_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000038901960
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000038901962
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Chapitre IV : Dispositions relatives à l'obligation de formation
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LEGISCTA000038848540
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre Ier : Le droit à l'éducation &gt; Chapitre IV : Dispositions relatives à l'obligation de formation
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2020.</p>
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Code de l'éducation, art. L121-1
Code de l'éducation
Les écoles, les collèges, les lycées et les établissements d'enseignement supérieur sont chargés de transmettre et de faire acquérir connaissances et méthodes de travail. Ils contribuent à favoriser la mixité et l'égalité entre les hommes et les femmes, notamment en matière d'orientation. Ils concourent à l'éducation à la responsabilité civique, y compris dans l'utilisation d'internet et des services de communication au public en ligne, et participent à la prévention de la délinquance. Ils assurent une formation à la connaissance et au respect des droits de la personne ainsi qu'à la compréhension des situations concrètes qui y portent atteinte. Ils dispensent une formation adaptée dans ses contenus et ses méthodes aux évolutions économiques, sociales et culturelles du pays et de son environnement européen et international. Cette formation peut comprendre un enseignement, à tous les niveaux, de langues et cultures régionales. L'éducation artistique et culturelle ainsi que l'éducation physique et sportive concourent directement à la formation de tous les élèves. Dans l'enseignement supérieur, des activités physiques et sportives sont proposées aux étudiants. Les écoles, les collèges et les lycées assurent une mission d'information sur les violences, y compris en ligne, et une éducation à la sexualité ainsi qu'une obligation de sensibilisation des personnels enseignants aux violences sexistes et sexuelles ainsi qu'aux mutilations sexuelles féminines et à la formation au respect du non-consentement.
1,629,936,000,000
32,472,144,000,000
L121-1
LEGIARTI000043982346
LEGIARTI000006524385
AUTONOME
VIGUEUR
8.0
128,847
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null
Article
<p>Les écoles, les collèges, les lycées et les établissements d'enseignement supérieur sont chargés de transmettre et de faire acquérir connaissances et méthodes de travail. Ils contribuent à favoriser la mixité et l'égalité entre les hommes et les femmes, notamment en matière d'orientation. Ils concourent à l'éducation à la responsabilité civique, y compris dans l'utilisation d'internet et des services de communication au public en ligne, et participent à la prévention de la délinquance. Ils assurent une formation à la connaissance et au respect des droits de la personne ainsi qu'à la compréhension des situations concrètes qui y portent atteinte. Ils dispensent une formation adaptée dans ses contenus et ses méthodes aux évolutions économiques, sociales et culturelles du pays et de son environnement européen et international. Cette formation peut comprendre un enseignement, à tous les niveaux, de langues et cultures régionales. L'éducation artistique et culturelle ainsi que l'éducation physique et sportive concourent directement à la formation de tous les élèves. Dans l'enseignement supérieur, des activités physiques et sportives sont proposées aux étudiants. Les écoles, les collèges et les lycées assurent une mission d'information sur les violences, y compris en ligne, et une éducation à la sexualité ainsi qu'une obligation de sensibilisation des personnels enseignants aux violences sexistes et sexuelles ainsi qu'aux mutilations sexuelles féminines et à la formation au respect du non-consentement.</p><p></p>
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LEGIARTI000042038999
IG-20231128
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LEGIARTI000043982346
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166561
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Chapitre Ier : Dispositions générales.
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LEGISCTA000006166561
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
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Code de l'éducation, art. L121-2
Code de l'éducation
La lutte contre l'illettrisme et l'innumérisme constitue une priorité nationale. Cette priorité est prise en compte par le service public de l'éducation ainsi que par les personnes publiques et privées qui assurent une mission de formation ou d'action sociale. Tous les services publics contribuent de manière coordonnée à la lutte contre l'illettrisme et l'innumérisme dans leurs domaines d'action respectifs.
1,373,414,400,000
32,472,144,000,000
L121-2
LEGIARTI000027682621
LEGIARTI000006524388
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
171,796
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null
null
Article
<p>La lutte contre l'illettrisme et l'innumérisme constitue une priorité nationale. Cette priorité est prise en compte par le service public de l'éducation ainsi que par les personnes publiques et privées qui assurent une mission de formation ou d'action sociale. Tous les services publics contribuent de manière coordonnée à la lutte contre l'illettrisme et l'innumérisme dans leurs domaines d'action respectifs.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524388
IG-20231129
null
LEGIARTI000027682621
LEGI
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LEGISCTA000006166561
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Chapitre Ier : Dispositions générales.
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LEGISCTA000006166561
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
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Code de l'éducation, art. L121-3
Code de l'éducation
I.-La maîtrise de la langue française et la connaissance de deux autres langues font partie des objectifs fondamentaux de l'enseignement. II.-La langue de l'enseignement, des examens et concours, ainsi que des thèses et mémoires dans les établissements publics et privés d'enseignement est le français. Des exceptions peuvent être justifiées : 1° Par les nécessités de l'enseignement des langues et cultures régionales ou étrangères ; 2° Lorsque les enseignants sont des professeurs associés ou invités étrangers ; 3° Par des nécessités pédagogiques, lorsque les enseignements sont dispensés dans le cadre d'un accord avec une institution étrangère ou internationale tel que prévu à l'article L. 123-7 ou dans le cadre d'un programme européen ; 4° Par le développement de cursus et diplômes transfrontaliers multilingues. Dans ces hypothèses, les formations d'enseignement supérieur ne peuvent être que partiellement proposées en langue étrangère et à la condition que l'accréditation concernant ces formations fixe la proportion des enseignements à dispenser en français. Le ministre chargé de l'usage de la langue française en France est immédiatement informé des exceptions accordées, de leur délai et de la raison de ces dérogations. Les étudiants étrangers bénéficiant de formations en langue étrangère suivent un enseignement de langue française lorsqu'ils ne justifient pas d'une connaissance suffisante de cette dernière. Leur niveau de maîtrise suffisante de la langue française est évalué pour l'obtention du diplôme. Les enseignements proposés permettent aux étudiants francophones d'acquérir la maîtrise de la langue d'enseignement dans laquelle ces cours sont dispensés. Les écoles étrangères ou spécialement ouvertes pour accueillir des élèves de nationalité étrangère, ainsi que les établissements dispensant un enseignement à caractère international, ne sont pas soumis à l'obligation prévue au premier alinéa.
1,374,624,000,000
32,472,144,000,000
L121-3
LEGIARTI000027747711
LEGIARTI000006524389
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
214,745
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null
Article
<p>I.-La maîtrise de la langue française et la connaissance de deux autres langues font partie des objectifs fondamentaux de l'enseignement. </p><p>II.-La langue de l'enseignement, des examens et concours, ainsi que des thèses et mémoires dans les établissements publics et privés d'enseignement est le français. Des exceptions peuvent être justifiées : </p><p>1° Par les nécessités de l'enseignement des langues et cultures régionales ou étrangères ; </p><p>2° Lorsque les enseignants sont des professeurs associés ou invités étrangers ; </p><p>3° Par des nécessités pédagogiques, lorsque les enseignements sont dispensés dans le cadre d'un accord avec une institution étrangère ou internationale tel que prévu à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006524418&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 123-7</a> ou dans le cadre d'un programme européen ; </p><p>4° Par le développement de cursus et diplômes transfrontaliers multilingues. </p><p>Dans ces hypothèses, les formations d'enseignement supérieur ne peuvent être que partiellement proposées en langue étrangère et à la condition que l'accréditation concernant ces formations fixe la proportion des enseignements à dispenser en français. Le ministre chargé de l'usage de la langue française en France est immédiatement informé des exceptions accordées, de leur délai et de la raison de ces dérogations. </p><p>Les étudiants étrangers bénéficiant de formations en langue étrangère suivent un enseignement de langue française lorsqu'ils ne justifient pas d'une connaissance suffisante de cette dernière. Leur niveau de maîtrise suffisante de la langue française est évalué pour l'obtention du diplôme. </p><p>Les enseignements proposés permettent aux étudiants francophones d'acquérir la maîtrise de la langue d'enseignement dans laquelle ces cours sont dispensés. </p><p>Les écoles étrangères ou spécialement ouvertes pour accueillir des élèves de nationalité étrangère, ainsi que les établissements dispensant un enseignement à caractère international, ne sont pas soumis à l'obligation prévue au premier alinéa.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524389
IG-20231129
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LEGIARTI000027747711
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166561
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Chapitre Ier : Dispositions générales.
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LEGISCTA000006166561
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
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Code de l'éducation, art. L121-4
Code de l'éducation
Les enseignements scolaires et universitaires ont pour objet de dispenser les connaissances de base et les éléments d'une culture générale incluant les données scientifiques et techniques, de préparer à une qualification et de concourir à son perfectionnement et à son adaptation au cours de la vie professionnelle.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L121-4
LEGIARTI000006524390
LEGIARTI000006524390
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p> Les enseignements scolaires et universitaires ont pour objet de dispenser les connaissances de base et les éléments d'une culture générale incluant les données scientifiques et techniques, de préparer à une qualification et de concourir à son perfectionnement et à son adaptation au cours de la vie professionnelle.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
null
LEGIARTI000006524390
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166561
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Chapitre Ier : Dispositions générales.
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LEGISCTA000006166561
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
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Code de l'éducation, art. L121-4-1
Code de l'éducation
I.-Au titre de sa mission d'éducation à la citoyenneté, le service public de l'éducation prépare les élèves à vivre en société et à devenir des citoyens responsables et libres, conscients des principes et des règles qui fondent la démocratie. Les enseignements mentionnés à l'article L. 312-15 et les actions engagées dans le cadre du comité prévu à l'article L. 421-8 relèvent de cette mission. II.-Le champ de la mission de promotion de la santé à l'école comprend : 1° La mise en place d'un environnement scolaire favorable à la santé ; 2° L'élaboration, la mise en œuvre et l'évaluation de programmes d'éducation à la santé destinés à développer les connaissances des élèves à l'égard de leur santé et de celle des autres et à l'égard des services de santé ; 3° La participation à la politique de prévention sanitaire mise en œuvre en faveur des enfants et des adolescents, aux niveaux national, régional et départemental, et la promotion des liens entre services de santé scolaire, services de prévention territorialisée, services de santé ambulatoire et services hospitaliers ; 3° bis La coordination des actions conduites dans le cadre de la protection et de la promotion de la santé maternelle et infantile avec les missions conduites dans les écoles élémentaires et maternelles ; 4° La réalisation des examens médicaux et des bilans de santé définis dans le cadre de la politique de la santé en faveur des enfants et des adolescents ainsi que ceux nécessaires à la définition des conditions de scolarisation des élèves ayant des besoins particuliers ; 5° La détection précoce des problèmes de santé physique ou psychique ou des carences de soins pouvant entraver la scolarité ; 6° L'accueil, l'écoute, l'accompagnement et le suivi individualisé des élèves ; 7° La participation à la veille épidémiologique par le recueil et l'exploitation de données statistiques. La promotion de la santé à l'école telle que définie aux 1° à 7° du présent II relève en priorité des personnels médicaux, infirmiers, assistants de service social et psychologues de l'éducation nationale, travaillant ensemble de manière coordonnée. Elle est conduite, dans tous les établissements d'enseignement, y compris les instituts médico-éducatifs, conformément aux priorités de la politique de santé et dans les conditions prévues à l'article L. 1411-1-1 du code de la santé publique, par les autorités académiques en lien avec les agences régionales de santé, les collectivités territoriales et les organismes d'assurance maladie concernés. Elle veille également à sensibiliser l'environnement familial des élèves afin d'assurer une appropriation large des problématiques de santé publique. Des acteurs de proximité non professionnels de santé concourent également à la promotion de la santé à l'école. Des actions tendant à rendre les publics cibles acteurs de leur propre santé sont favorisées. Elles visent, dans une démarche de responsabilisation, à permettre l'appropriation des outils de prévention et d'éducation à la santé.
1,619,568,000,000
32,472,144,000,000
L121-4-1
LEGIARTI000043423981
LEGIARTI000027679850
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
279,168
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null
null
Article
<p>I.-Au titre de sa mission d'éducation à la citoyenneté, le service public de l'éducation prépare les élèves à vivre en société et à devenir des citoyens responsables et libres, conscients des principes et des règles qui fondent la démocratie. Les enseignements mentionnés à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006524773&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 312-15 </a>et les actions engagées dans le cadre du comité prévu à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006524932&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 421-8 </a>relèvent de cette mission.</p><p>II.-Le champ de la mission de promotion de la santé à l'école comprend :</p><p>1° La mise en place d'un environnement scolaire favorable à la santé ;</p><p>2° L'élaboration, la mise en œuvre et l'évaluation de programmes d'éducation à la santé destinés à développer les connaissances des élèves à l'égard de leur santé et de celle des autres et à l'égard des services de santé ;</p><p>3° La participation à la politique de prévention sanitaire mise en œuvre en faveur des enfants et des adolescents, aux niveaux national, régional et départemental, et la promotion des liens entre services de santé scolaire, services de prévention territorialisée, services de santé ambulatoire et services hospitaliers ;</p><p>3° bis La coordination des actions conduites dans le cadre de la protection et de la promotion de la santé maternelle et infantile avec les missions conduites dans les écoles élémentaires et maternelles ;</p><p>4° La réalisation des examens médicaux et des bilans de santé définis dans le cadre de la politique de la santé en faveur des enfants et des adolescents ainsi que ceux nécessaires à la définition des conditions de scolarisation des élèves ayant des besoins particuliers ;</p><p>5° La détection précoce des problèmes de santé physique ou psychique ou des carences de soins pouvant entraver la scolarité ;</p><p>6° L'accueil, l'écoute, l'accompagnement et le suivi individualisé des élèves ;</p><p>7° La participation à la veille épidémiologique par le recueil et l'exploitation de données statistiques.</p><p>La promotion de la santé à l'école telle que définie aux 1° à 7° du présent II relève en priorité des personnels médicaux, infirmiers, assistants de service social et psychologues de l'éducation nationale, travaillant ensemble de manière coordonnée.</p><p>Elle est conduite, dans tous les établissements d'enseignement, y compris les instituts médico-éducatifs, conformément aux priorités de la politique de santé et dans les conditions prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idArticle=LEGIARTI000006686894&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1411-1-1</a> du code de la santé publique, par les autorités académiques en lien avec les agences régionales de santé, les collectivités territoriales et les organismes d'assurance maladie concernés. Elle veille également à sensibiliser l'environnement familial des élèves afin d'assurer une appropriation large des problématiques de santé publique.</p><p>Des acteurs de proximité non professionnels de santé concourent également à la promotion de la santé à l'école. Des actions tendant à rendre les publics cibles acteurs de leur propre santé sont favorisées. Elles visent, dans une démarche de responsabilisation, à permettre l'appropriation des outils de prévention et d'éducation à la santé.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000038902242
IG-20231128
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LEGIARTI000043423981
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Code de l'éducation, art. L121-4-2
Code de l'éducation
L'autorité responsable des traitements de données à caractère personnel mis en œuvre dans les établissements publics d'enseignement scolaire met à la disposition du public le registre comportant la liste de ces traitements, établi conformément aux dispositions du règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016 relatif à la protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données, et abrogeant la directive 95/46/ CE comportant la liste de ces traitements.
1,535,932,800,000
32,472,144,000,000
L121-4-2
LEGIARTI000037090400
LEGIARTI000037087975
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 37 de la loi n° 2018-493 du 20 juin 2018, les présentes dispositions entrent en vigueur à compter de la rentrée de l'année scolaire 2018-2019.
1.0
289,905
null
null
null
Article
<p>L'autorité responsable des traitements de données à caractère personnel mis en œuvre dans les établissements publics d'enseignement scolaire met à la disposition du public le registre comportant la liste de ces traitements, établi conformément aux dispositions du règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016 relatif à la protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données, et abrogeant la directive 95/46/ CE comportant la liste de ces traitements.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000037090400
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166561
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Chapitre Ier : Dispositions générales.
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null
LEGISCTA000006166561
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null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
<p>Conformément à l'article 37 de la loi n° 2018-493 du 20 juin 2018, les présentes dispositions entrent en vigueur à compter de la rentrée de l'année scolaire 2018-2019.</p>
null
Code de l'éducation, art. L121-5
Code de l'éducation
L'éducation physique et sportive et le sport scolaire et universitaire contribuent à la rénovation du système éducatif, à la lutte contre l'échec scolaire, à l'éducation à la santé et à la citoyenneté et à la réduction des inégalités sociales et culturelles. Les contenus et l'enseignement de l'éducation physique et sportive sont de la responsabilité de l'éducation nationale. Le sport scolaire participe de la nécessaire complémentarité avec les pratiques périscolaires et extrascolaires en lien avec les projets éducatifs territoriaux et les partenariats avec le mouvement sportif associatif.
1,373,414,400,000
32,472,144,000,000
L121-5
LEGIARTI000027682631
LEGIARTI000006524391
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
300,643
null
null
null
Article
<p>L'éducation physique et sportive et le sport scolaire et universitaire contribuent à la rénovation du système éducatif, à la lutte contre l'échec scolaire, à l'éducation à la santé et à la citoyenneté et à la réduction des inégalités sociales et culturelles. Les contenus et l'enseignement de l'éducation physique et sportive sont de la responsabilité de l'éducation nationale. Le sport scolaire participe de la nécessaire complémentarité avec les pratiques périscolaires et extrascolaires en lien avec les projets éducatifs territoriaux et les partenariats avec le mouvement sportif associatif.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524391
IG-20231129
null
LEGIARTI000027682631
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166561
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Chapitre Ier : Dispositions générales.
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LEGISCTA000006166561
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
null
Code de l'éducation, art. L121-6
Code de l'éducation
L'éducation artistique et culturelle contribue à l'épanouissement des aptitudes individuelles et à l'égalité d'accès à la culture. Elle favorise la connaissance du patrimoine culturel et de la création contemporaine et participe au développement de la créativité et des pratiques artistiques. L'éducation artistique et culturelle est principalement fondée sur les enseignements artistiques. Elle comprend également un parcours pour tous les élèves tout au long de leur scolarité dont les modalités sont fixées par les ministres chargés de l'éducation nationale et de la culture. Ce parcours est mis en œuvre localement ; des acteurs du monde culturel et artistique et du monde associatif peuvent y être associés. Les enseignements artistiques portent sur l'histoire de l'art et sur la théorie et la pratique des disciplines artistiques, en particulier de la musique instrumentale et vocale, des arts plastiques et visuels, de l'architecture, du théâtre, du cinéma, de l'expression audiovisuelle, des arts du cirque, des arts du spectacle, de la danse et des arts appliqués. Les enseignements artistiques font partie intégrante de la formation scolaire primaire et secondaire. Ils font également l'objet d'enseignements spécialisés et d'un enseignement supérieur.
1,373,414,400,000
32,472,144,000,000
L121-6
LEGIARTI000027682625
LEGIARTI000006524393
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
343,592
null
null
null
Article
<p>L'éducation artistique et culturelle contribue à l'épanouissement des aptitudes individuelles et à l'égalité d'accès à la culture. Elle favorise la connaissance du patrimoine culturel et de la création contemporaine et participe au développement de la créativité et des pratiques artistiques. L'éducation artistique et culturelle est principalement fondée sur les enseignements artistiques. Elle comprend également un parcours pour tous les élèves tout au long de leur scolarité dont les modalités sont fixées par les ministres chargés de l'éducation nationale et de la culture. Ce parcours est mis en œuvre localement ; des acteurs du monde culturel et artistique et du monde associatif peuvent y être associés.</p><p></p><p>Les enseignements artistiques portent sur l'histoire de l'art et sur la théorie et la pratique des disciplines artistiques, en particulier de la musique instrumentale et vocale, des arts plastiques et visuels, de l'architecture, du théâtre, du cinéma, de l'expression audiovisuelle, des arts du cirque, des arts du spectacle, de la danse et des arts appliqués.</p><p></p><p>Les enseignements artistiques font partie intégrante de la formation scolaire primaire et secondaire. Ils font également l'objet d'enseignements spécialisés et d'un enseignement supérieur.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524393
IG-20231129
null
LEGIARTI000027682625
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166561
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Chapitre Ier : Dispositions générales.
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LEGISCTA000006166561
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
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Code de l'éducation, art. L121-7
Code de l'éducation
La technologie est une des composantes fondamentales de la culture. Les écoles, les collèges, les lycées et les établissements d'enseignement supérieur relevant des ministères de l'éducation nationale et de l'agriculture assurent un enseignement de technologie.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L121-7
LEGIARTI000006524394
LEGIARTI000006524394
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
386,541
null
null
null
Article
<p></p> La technologie est une des composantes fondamentales de la culture. Les écoles, les collèges, les lycées et les établissements d'enseignement supérieur relevant des ministères de l'éducation nationale et de l'agriculture assurent un enseignement de technologie.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006524394
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166561
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Chapitre Ier : Dispositions générales.
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LEGISCTA000006166561
null
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
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Code de l'éducation, art. L121-8
Code de l'éducation
L'éducation à l'environnement et au développement durable, à laquelle concourent l'ensemble des disciplines, permet aux élèves de comprendre les enjeux environnementaux, sanitaires, sociaux et économiques de la transition écologique et du développement durable. Elle est dispensée tout au long de la formation scolaire, d'une façon adaptée à chaque niveau et à chaque spécialisation, afin de développer les connaissances scientifiques et les compétences des élèves en vue de leur permettre de maîtriser ces enjeux, notamment ceux relatifs au changement climatique, à la santé environnementale et à la préservation de la biodiversité terrestre et marine, sur l'ensemble du territoire national, de maîtriser des savoir-faire et de préparer les élèves à l'exercice de leurs responsabilités de citoyen. Le ministère chargé de l'éducation nationale garantit les contenus, les modalités de mise en pratique de ces contenus et la cohérence du déploiement de l'éducation à l'environnement et au développement durable dans le cadre scolaire.
1,629,849,600,000
32,472,144,000,000
L121-8
LEGIARTI000043958813
LEGIARTI000043958813
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,935,094
null
null
null
Article
<p>L'éducation à l'environnement et au développement durable, à laquelle concourent l'ensemble des disciplines, permet aux élèves de comprendre les enjeux environnementaux, sanitaires, sociaux et économiques de la transition écologique et du développement durable. Elle est dispensée tout au long de la formation scolaire, d'une façon adaptée à chaque niveau et à chaque spécialisation, afin de développer les connaissances scientifiques et les compétences des élèves en vue de leur permettre de maîtriser ces enjeux, notamment ceux relatifs au changement climatique, à la santé environnementale et à la préservation de la biodiversité terrestre et marine, sur l'ensemble du territoire national, de maîtriser des savoir-faire et de préparer les élèves à l'exercice de leurs responsabilités de citoyen. Le ministère chargé de l'éducation nationale garantit les contenus, les modalités de mise en pratique de ces contenus et la cohérence du déploiement de l'éducation à l'environnement et au développement durable dans le cadre scolaire.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000043958813
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166561
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Chapitre Ier : Dispositions générales.
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LEGISCTA000006166561
null
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre Ier : Dispositions générales.
null
Code de l'éducation, art. L122-1-1
Code de l'éducation
La scolarité obligatoire doit garantir à chaque élève les moyens nécessaires à l'acquisition d'un socle commun de connaissances, de compétences et de culture, auquel contribue l'ensemble des enseignements dispensés au cours de la scolarité. Le socle doit permettre la poursuite d'études, la construction d'un avenir personnel et professionnel et préparer à l'exercice de la citoyenneté. Les éléments de ce socle commun et les modalités de son acquisition progressive sont fixés par décret, après avis du Conseil supérieur des programmes. L'acquisition du socle commun par les élèves fait l'objet d'une évaluation, qui est prise en compte dans la poursuite de la scolarité. Le Gouvernement présente tous les trois ans au Parlement un rapport sur la manière dont les programmes prennent en compte le socle commun et sur la maîtrise de celui-ci par les élèves au cours de leur scolarité.
1,373,414,400,000
32,472,144,000,000
L122-1-1
LEGIARTI000027682636
LEGIARTI000006524396
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p>La scolarité obligatoire doit garantir à chaque élève les moyens nécessaires à l'acquisition d'un socle commun de connaissances, de compétences et de culture, auquel contribue l'ensemble des enseignements dispensés au cours de la scolarité. Le socle doit permettre la poursuite d'études, la construction d'un avenir personnel et professionnel et préparer à l'exercice de la citoyenneté. Les éléments de ce socle commun et les modalités de son acquisition progressive sont fixés par décret, après avis du Conseil supérieur des programmes.</p><p></p><p>L'acquisition du socle commun par les élèves fait l'objet d'une évaluation, qui est prise en compte dans la poursuite de la scolarité.</p><p></p><p>Le Gouvernement présente tous les trois ans au Parlement un rapport sur la manière dont les programmes prennent en compte le socle commun et sur la maîtrise de celui-ci par les élèves au cours de leur scolarité.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524396
IG-20231129
null
LEGIARTI000027682636
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006166562
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Chapitre II : Objectifs et missions de l'enseignement scolaire.
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LEGISCTA000006166562
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null
null
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre II : Objectifs et missions de l'enseignement scolaire.
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Code de l'éducation, art. L122-2
Code de l'éducation
Tout élève qui, à l'issue de la scolarité obligatoire, n'a pas atteint un niveau de formation sanctionné par un diplôme national ou un titre professionnel enregistré et classé au niveau 3 du répertoire national des certifications professionnelles doit pouvoir poursuivre des études afin d'acquérir ce diplôme ou ce titre. L'Etat prévoit les moyens nécessaires, dans l'exercice de ses compétences, à la prolongation de scolarité qui en découle. Tout jeune sortant du système éducatif sans diplôme bénéficie d'une durée complémentaire de formation qualifiante qu'il peut utiliser dans des conditions fixées par décret. Cette durée complémentaire de formation qualifiante peut consister en un droit au retour en formation initiale sous statut scolaire. Tout mineur dispose du droit de poursuivre sa scolarité au-delà de l'âge de seize ans. Lorsque les personnes responsables d'un mineur s'opposent à la poursuite de sa scolarité au-delà de l'âge de seize ans, une mesure d'assistance éducative peut être ordonnée dans les conditions prévues aux articles 375 et suivants du code civil afin de garantir le droit de l'enfant à l'éducation.
1,598,918,400,000
32,472,144,000,000
L122-2
LEGIARTI000038901955
LEGIARTI000006524397
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2020.
5.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Tout élève qui, à l'issue de la scolarité obligatoire, n'a pas atteint un niveau de formation sanctionné par un diplôme national ou un titre professionnel enregistré et classé au niveau 3 du répertoire national des certifications professionnelles doit pouvoir poursuivre des études afin d'acquérir ce diplôme ou ce titre. L'Etat prévoit les moyens nécessaires, dans l'exercice de ses compétences, à la prolongation de scolarité qui en découle.</p><p>Tout jeune sortant du système éducatif sans diplôme bénéficie d'une durée complémentaire de formation qualifiante qu'il peut utiliser dans des conditions fixées par décret. Cette durée complémentaire de formation qualifiante peut consister en un droit au retour en formation initiale sous statut scolaire.</p><p>Tout mineur dispose du droit de poursuivre sa scolarité au-delà de l'âge de seize ans.</p><p>Lorsque les personnes responsables d'un mineur s'opposent à la poursuite de sa scolarité au-delà de l'âge de seize ans, une mesure d'assistance éducative peut être ordonnée dans les conditions prévues aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070721&idArticle=LEGIARTI000006426773&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles 375 et suivants</a> du code civil afin de garantir le droit de l'enfant à l'éducation.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000038952193
IG-20231129
null
LEGIARTI000038901955
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006166562
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Chapitre II : Objectifs et missions de l'enseignement scolaire.
null
null
LEGISCTA000006166562
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre II : Objectifs et missions de l'enseignement scolaire.
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2020.</p>
null
Code de l'éducation, art. L122-3
Code de l'éducation
Tout jeune doit se voir offrir, avant sa sortie du système éducatif et quel que soit le niveau d'enseignement qu'il a atteint, une formation professionnelle.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L122-3
LEGIARTI000006524399
LEGIARTI000006524399
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p> Tout jeune doit se voir offrir, avant sa sortie du système éducatif et quel que soit le niveau d'enseignement qu'il a atteint, une formation professionnelle.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006524399
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166562
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Chapitre II : Objectifs et missions de l'enseignement scolaire.
null
null
LEGISCTA000006166562
null
null
null
null
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre II : Objectifs et missions de l'enseignement scolaire.
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Code de l'éducation, art. L122-4
Code de l'éducation
L'Etat assure ou encourage des actions d'adaptation professionnelle au profit des élèves qui cessent leurs études sans qualification professionnelle.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L122-4
LEGIARTI000006524400
LEGIARTI000006524400
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p> L'Etat assure ou encourage des actions d'adaptation professionnelle au profit des élèves qui cessent leurs études sans qualification professionnelle.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006524400
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166562
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Chapitre II : Objectifs et missions de l'enseignement scolaire.
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LEGISCTA000006166562
null
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre II : Objectifs et missions de l'enseignement scolaire.
null
Code de l'éducation, art. L122-5
Code de l'éducation
L'éducation permanente constitue une obligation nationale. Elle a pour objet d'assurer à toutes les époques de sa vie la formation et le développement de l'homme, de lui permettre d'acquérir les connaissances et l'ensemble des aptitudes intellectuelles ou manuelles qui concourent à son épanouissement comme au progrès culturel, économique et social. L'éducation permanente fait partie des missions des établissements d'enseignement ; elle offre à chacun la possibilité d'élever son niveau de formation, de s'adapter aux changements économiques et sociaux et de valider les connaissances acquises.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L122-5
LEGIARTI000006524401
LEGIARTI000006524401
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p> L'éducation permanente constitue une obligation nationale. Elle a pour objet d'assurer à toutes les époques de sa vie la formation et le développement de l'homme, de lui permettre d'acquérir les connaissances et l'ensemble des aptitudes intellectuelles ou manuelles qui concourent à son épanouissement comme au progrès culturel, économique et social.<p></p><p></p> L'éducation permanente fait partie des missions des établissements d'enseignement ; elle offre à chacun la possibilité d'élever son niveau de formation, de s'adapter aux changements économiques et sociaux et de valider les connaissances acquises.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006524401
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166562
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Chapitre II : Objectifs et missions de l'enseignement scolaire.
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LEGISCTA000006166562
null
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null
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre II : Objectifs et missions de l'enseignement scolaire.
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Code de l'éducation, art. L122-6
Code de l'éducation
Comme il est dit aux articles L. 6211-1 et L. 6211-2 du code du travail , l'apprentissage est une forme d'éducation alternée, qui concourt aux objectifs éducatifs de la nation.
1,229,126,400,000
32,472,144,000,000
L122-6
LEGIARTI000019911237
LEGIARTI000006524402
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
343,592
null
null
null
Article
<p>Comme il est dit aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006903991&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L6211-1 (V)'>L. 6211-1 et L. 6211-2 du code du travail</a>, l'apprentissage est une forme d'éducation alternée, qui concourt aux objectifs éducatifs de la nation.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524402
IG-20231129
null
LEGIARTI000019911237
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006166562
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Chapitre II : Objectifs et missions de l'enseignement scolaire.
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null
LEGISCTA000006166562
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre II : Objectifs et missions de l'enseignement scolaire.
null
Code de l'éducation, art. L122-7
Code de l'éducation
Les missions et les objectifs de la formation professionnelle tout au long de la vie sont fixés par les dispositions des articles L. 6111-1, L. 6111-2 , L. 6311-1 , L. 6411-1 et L. 6422-1 du code du travail .
1,229,126,400,000
32,472,144,000,000
L122-7
LEGIARTI000019911231
LEGIARTI000006524404
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
429,490
null
null
null
Article
<p>Les missions et les objectifs de la formation professionnelle tout au long de la vie sont fixés par les dispositions des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006903977&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L6111-1 (V)'>L. 6111-1, L. 6111-2</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006904127&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L6311-1 (V)'>L. 6311-1</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006904468&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L6411-1 (V)'>L. 6411-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006904474&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L6422-1 (V)'>L. 6422-1 du code du travail</a>.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524406
IG-20231129
null
LEGIARTI000019911231
LEGI
32,472,144,000,000
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null
LEGISCTA000006166562
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Chapitre II : Objectifs et missions de l'enseignement scolaire.
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LEGISCTA000006166562
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre II : Objectifs et missions de l'enseignement scolaire.
null
Code de l'éducation, art. L123-1
Code de l'éducation
Le service public de l'enseignement supérieur comprend l'ensemble des formations postsecondaires relevant des différents départements ministériels. Le ministre chargé de l'enseignement supérieur en assure la coordination. Il assure, conjointement avec les autres ministres concernés, la tutelle des établissements d'enseignement supérieur relevant d'un autre département ministériel et participe à la définition de leur projet pédagogique. A cette fin, il peut être représenté à leur conseil d'administration. Il est associé aux accréditations et habilitations de ces établissements. Des modalités complémentaires peuvent être prévues dans les statuts des établissements. Une stratégie nationale de l'enseignement supérieur, comportant une programmation pluriannuelle des moyens, est élaborée et révisée tous les cinq ans sous la responsabilité du ministre chargé de l'enseignement supérieur. Les priorités en sont arrêtées après une concertation avec les partenaires culturels, sociaux et économiques, la communauté scientifique et d'enseignement supérieur, les ministères concernés et les collectivités territoriales. Avant d'être arrêtées définitivement, elles sont transmises aux commissions permanentes compétentes de l'Assemblée nationale et du Sénat. La stratégie nationale de l'enseignement supérieur repose sur le principe selon lequel les établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel définis au titre Ier du livre VII de la troisième partie sont au centre du système d'enseignement supérieur. Le ministre chargé de l'enseignement supérieur veille à la mise en œuvre de la stratégie nationale de l'enseignement supérieur. Les principes de répartition des moyens entre les acteurs de l'enseignement supérieur sont définis par la stratégie nationale. Cette stratégie et les conditions de sa mise en œuvre font l'objet d'un rapport biennal présenté au Parlement. Ce rapport présente une vision consolidée de l'ensemble des financements publics et privés, au niveau national et par site, activité, filière et niveau d'études, ainsi qu'une évaluation des besoins de financement. Les éléments quantitatifs de ce rapport sont composés de données sexuées. Ce rapport analyse notamment, au regard de cette stratégie, la situation des établissements d'enseignement supérieur ayant bénéficié des responsabilités et compétences élargies prévues aux articles L. 712-10, L. 762-5 et L. 954-1 à L. 954-3 . Il évalue l'impact du transfert de la gestion de la masse salariale sur la situation financière des établissements concernés. Il analyse les résultats des politiques mises en œuvre en faveur de la qualité de la vie étudiante, de la réussite et de l'insertion professionnelle des étudiants. Ce rapport peut également formuler des recommandations en vue de la révision périodique de cette stratégie.
1,640,995,200,000
32,472,144,000,000
L123-1
LEGIARTI000044588803
LEGIARTI000006524407
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 10 de l'ordonnance n° 2021-1747 du 22 décembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2022.
3.0
42,949
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null
null
Article
<p>Le service public de l'enseignement supérieur comprend l'ensemble des formations postsecondaires relevant des différents départements ministériels.</p><p>Le ministre chargé de l'enseignement supérieur en assure la coordination. Il assure, conjointement avec les autres ministres concernés, la tutelle des établissements d'enseignement supérieur relevant d'un autre département ministériel et participe à la définition de leur projet pédagogique. A cette fin, il peut être représenté à leur conseil d'administration. Il est associé aux accréditations et habilitations de ces établissements. Des modalités complémentaires peuvent être prévues dans les statuts des établissements.</p><p>Une stratégie nationale de l'enseignement supérieur, comportant une programmation pluriannuelle des moyens, est élaborée et révisée tous les cinq ans sous la responsabilité du ministre chargé de l'enseignement supérieur. Les priorités en sont arrêtées après une concertation avec les partenaires culturels, sociaux et économiques, la communauté scientifique et d'enseignement supérieur, les ministères concernés et les collectivités territoriales. Avant d'être arrêtées définitivement, elles sont transmises aux commissions permanentes compétentes de l'Assemblée nationale et du Sénat.</p><p>La stratégie nationale de l'enseignement supérieur repose sur le principe selon lequel les établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel définis au titre Ier du livre VII de la troisième partie sont au centre du système d'enseignement supérieur.</p><p>Le ministre chargé de l'enseignement supérieur veille à la mise en œuvre de la stratégie nationale de l'enseignement supérieur.</p><p>Les principes de répartition des moyens entre les acteurs de l'enseignement supérieur sont définis par la stratégie nationale.</p><p>Cette stratégie et les conditions de sa mise en œuvre font l'objet d'un rapport biennal présenté au Parlement. Ce rapport présente une vision consolidée de l'ensemble des financements publics et privés, au niveau national et par site, activité, filière et niveau d'études, ainsi qu'une évaluation des besoins de financement. Les éléments quantitatifs de ce rapport sont composés de données sexuées. Ce rapport analyse notamment, au regard de cette stratégie, la situation des établissements d'enseignement supérieur ayant bénéficié des responsabilités et compétences élargies prévues aux articles L. 712-10, L. 762-5 et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525653&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 954-1 à L. 954-3</a>. Il évalue l'impact du transfert de la gestion de la masse salariale sur la situation financière des établissements concernés. Il analyse les résultats des politiques mises en œuvre en faveur de la qualité de la vie étudiante, de la réussite et de l'insertion professionnelle des étudiants. Ce rapport peut également formuler des recommandations en vue de la révision périodique de cette stratégie.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000027747716
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Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
<p>Conformément à l'article 10 de l'ordonnance n° 2021-1747 du 22 décembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2022.</p>
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Code de l'éducation, art. L123-2
Code de l'éducation
Le service public de l'enseignement supérieur contribue : 1° A A la réussite de toutes les étudiantes et de tous les étudiants ; 1° Au développement de la recherche, support nécessaire des formations dispensées, à la diffusion des connaissances dans leur diversité et à l'élévation du niveau scientifique, culturel et professionnel de la nation et des individus qui la composent ; 2° A la croissance et à la compétitivité de l'économie et à la réalisation d'une politique de l'emploi prenant en compte les besoins économiques, sociaux, environnementaux et culturels et leur évolution prévisible ; 3° A la lutte contre les discriminations, à la réduction des inégalités sociales ou culturelles et à la réalisation de l'égalité entre les hommes et les femmes en assurant à toutes celles et à tous ceux qui en ont la volonté et la capacité l'accès aux formes les plus élevées de la culture et de la recherche. A cette fin, il contribue à l'amélioration des conditions de vie étudiante, à la promotion du sentiment d'appartenance des étudiants à la communauté de leur établissement, au renforcement du lien social et au développement des initiatives collectives ou individuelles en faveur de la solidarité et de l'animation de la vie étudiante ; 3° bis A la construction d'une société inclusive. A cette fin, il veille à favoriser l'inclusion des individus, sans distinction d'origine, de milieu social et de condition de santé ; 4° A la construction de l'espace européen de la recherche et de l'enseignement supérieur ; 4° bis A la sensibilisation et à la formation aux enjeux de la transition écologique et du développement durable ; 5° A l'attractivité et au rayonnement des territoires aux niveaux local, régional et national ; 6° Au développement et à la cohésion sociale du territoire national, par la présence de ses établissements ; 7° A la promotion et à la diffusion de la francophonie dans le monde ; 8° Au renforcement des interactions entre sciences et société.
1,609,027,200,000
32,472,144,000,000
L123-2
LEGIARTI000042815070
LEGIARTI000006524408
AUTONOME
VIGUEUR
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Article
<p>Le service public de l'enseignement supérieur contribue :</p><p>1° A A la réussite de toutes les étudiantes et de tous les étudiants ;</p><p>1° Au développement de la recherche, support nécessaire des formations dispensées, à la diffusion des connaissances dans leur diversité et à l'élévation du niveau scientifique, culturel et professionnel de la nation et des individus qui la composent ;</p><p>2° A la croissance et à la compétitivité de l'économie et à la réalisation d'une politique de l'emploi prenant en compte les besoins économiques, sociaux, environnementaux et culturels et leur évolution prévisible ;</p><p>3° A la lutte contre les discriminations, à la réduction des inégalités sociales ou culturelles et à la réalisation de l'égalité entre les hommes et les femmes en assurant à toutes celles et à tous ceux qui en ont la volonté et la capacité l'accès aux formes les plus élevées de la culture et de la recherche. A cette fin, il contribue à l'amélioration des conditions de vie étudiante, à la promotion du sentiment d'appartenance des étudiants à la communauté de leur établissement, au renforcement du lien social et au développement des initiatives collectives ou individuelles en faveur de la solidarité et de l'animation de la vie étudiante ;</p><p>3° bis A la construction d'une société inclusive. A cette fin, il veille à favoriser l'inclusion des individus, sans distinction d'origine, de milieu social et de condition de santé ;</p><p>4° A la construction de l'espace européen de la recherche et de l'enseignement supérieur ;</p><p>4° bis A la sensibilisation et à la formation aux enjeux de la transition écologique et du développement durable ;</p><p>5° A l'attractivité et au rayonnement des territoires aux niveaux local, régional et national ;</p><p>6° Au développement et à la cohésion sociale du territoire national, par la présence de ses établissements ;</p><p>7° A la promotion et à la diffusion de la francophonie dans le monde ;</p><p>8° Au renforcement des interactions entre sciences et société.</p>
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LEGIARTI000027747735
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Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Code de l'éducation, art. L123-3
Code de l'éducation
Les missions du service public de l'enseignement supérieur sont : 1° La formation initiale et continue tout au long de la vie ; 2° La recherche scientifique et technologique, la diffusion et la valorisation de ses résultats au service de la société. Cette dernière repose sur le développement de l'innovation, du transfert de technologie lorsque celui-ci est possible, de la capacité d'expertise et d'appui aux associations et fondations, reconnues d'utilité publique, et aux politiques publiques menées pour répondre aux défis sociétaux, aux besoins sociaux, économiques et de développement durable ; 3° L'orientation, la promotion sociale et l'insertion professionnelle ; 4° La diffusion de la culture humaniste, en particulier à travers le développement des sciences humaines et sociales, et de la culture scientifique, technique et industrielle ; 5° La participation à la construction de l'Espace européen de l'enseignement supérieur et de la recherche ; 6° La coopération internationale.
1,374,624,000,000
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L123-3
LEGIARTI000027747739
LEGIARTI000006524410
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
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Article
<p>Les missions du service public de l'enseignement supérieur sont :</p><p></p><p>1° La formation initiale et continue tout au long de la vie ;</p><p></p><p>2° La recherche scientifique et technologique, la diffusion et la valorisation de ses résultats au service de la société. Cette dernière repose sur le développement de l'innovation, du transfert de technologie lorsque celui-ci est possible, de la capacité d'expertise et d'appui aux associations et fondations, reconnues d'utilité publique, et aux politiques publiques menées pour répondre aux défis sociétaux, aux besoins sociaux, économiques et de développement durable ;</p><p></p><p>3° L'orientation, la promotion sociale et l'insertion professionnelle ;</p><p></p><p>4° La diffusion de la culture humaniste, en particulier à travers le développement des sciences humaines et sociales, et de la culture scientifique, technique et industrielle ; </p><p></p><p>5° La participation à la construction de l'Espace européen de l'enseignement supérieur et de la recherche ;</p><p></p><p>6° La coopération internationale.</p><p></p>
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Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Code de l'éducation, art. L123-4
Code de l'éducation
Le service public de l'enseignement supérieur offre des formations à la fois scientifiques, culturelles et professionnelles. A cet effet, le service public : 1° Accueille les étudiants et concourt à leur réussite et à leur orientation ; 2° Dispense la formation initiale ; 3° Participe à la formation continue ; 4° Assure la formation des formateurs. L'orientation des étudiants comporte une information sur le déroulement des études, sur les débouchés, sur les passages possibles d'une formation à une autre. La formation continue s'adresse à toutes les personnes engagées ou non dans la vie active. Organisée pour répondre à des besoins individuels ou collectifs, elle inclut l'ouverture aux adultes des cycles d'études de formation initiale, ainsi que l'organisation de formations professionnelles ou à caractère culturel particulières.
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L123-4
LEGIARTI000027747743
LEGIARTI000006524412
AUTONOME
VIGUEUR
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Article
<p></p>Le service public de l'enseignement supérieur offre des formations à la fois scientifiques, culturelles et professionnelles. <p></p><p></p>A cet effet, le service public : <p></p><p></p>1° Accueille les étudiants et concourt à leur réussite et à leur orientation ; <p></p><p></p>2° Dispense la formation initiale ; <p></p><p></p>3° Participe à la formation continue ; <p></p><p></p>4° Assure la formation des formateurs. <p></p><p></p>L'orientation des étudiants comporte une information sur le déroulement des études, sur les débouchés, sur les passages possibles d'une formation à une autre. <p></p><p></p>La formation continue s'adresse à toutes les personnes engagées ou non dans la vie active. Organisée pour répondre à des besoins individuels ou collectifs, elle inclut l'ouverture aux adultes des cycles d'études de formation initiale, ainsi que l'organisation de formations professionnelles ou à caractère culturel particulières.<p></p>
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LEGIARTI000006524412
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LEGIARTI000027747743
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Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Code de l'éducation, art. L123-4-1
Code de l'éducation
Le service public de l'enseignement supérieur met à disposition de ses usagers des services et des ressources pédagogiques numériques. Les logiciels libres sont utilisés en priorité.
1,374,624,000,000
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L123-4-1
LEGIARTI000027747749
LEGIARTI000006524413
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
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Article
<p>Le service public de l'enseignement supérieur met à disposition de ses usagers des services et des ressources pédagogiques numériques. </p><p> Les logiciels libres sont utilisés en priorité. </p><p></p>
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LEGIARTI000006524413
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Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Code de l'éducation, art. L123-4-2
Code de l'éducation
Les établissements d'enseignement supérieur inscrivent les étudiants en situation de handicap ou présentant un trouble de santé invalidant, dans le cadre des dispositions réglementant leur accès au même titre que les autres étudiants, et assurent leur formation en mettant en oeuvre les aménagements nécessaires à leur situation dans l'organisation, le déroulement et l'accompagnement de leurs études.
1,567,382,400,000
32,472,144,000,000
L123-4-2
LEGIARTI000038902229
LEGIARTI000027737431
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
2.0
365,066
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Article
<p>Les établissements d'enseignement supérieur inscrivent les étudiants en situation de handicap ou présentant un trouble de santé invalidant, dans le cadre des dispositions réglementant leur accès au même titre que les autres étudiants, et assurent leur formation en mettant en oeuvre les aménagements nécessaires à leur situation dans l'organisation, le déroulement et l'accompagnement de leurs études.</p>
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LEGIARTI000027737431
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Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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LEGISCTA000006166563
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
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Code de l'éducation, art. L123-5
Code de l'éducation
Le service public de l'enseignement supérieur s'attache à développer et à valoriser, dans toutes les disciplines et, notamment, les sciences humaines et sociales, la recherche fondamentale, la recherche appliquée et la technologie. Il soutient la valorisation des résultats de la recherche au service de la société. A cet effet, il veille au développement de l'innovation, du transfert de technologie lorsque celui-ci est possible, de la capacité d'expertise et d'appui aux associations et fondations, reconnues d'utilité publique, et aux politiques publiques menées pour répondre aux défis sociétaux, aux besoins sociaux, économiques et du développement durable. Il assure la liaison nécessaire entre les activités d'enseignement, de recherche et d'innovation. Il offre un moyen privilégié de formation à la recherche et par la recherche. A cette fin, il assure le développement continu de l'innovation et de l'expérimentation pédagogiques en son sein. Il favorise les interactions entre sciences et société. Il facilite la participation du public à la prospection, à la collecte de données et au progrès de la connaissance scientifique. Il participe à la politique de développement scientifique et technologique, reconnue comme priorité nationale, en liaison avec les grands organismes nationaux de recherche. Il contribue à la mise en oeuvre des objectifs définis par le code de la recherche. Il concourt à la politique d'aménagement du territoire par l'implantation et le développement dans les régions d'équipes de haut niveau scientifique. Il renforce les liens avec les secteurs socio-économiques publics et privés. Il améliore le potentiel scientifique de la nation en encourageant les travaux des jeunes chercheurs et de nouvelles équipes en même temps que ceux des formations confirmées, en favorisant les rapprochements entre équipes relevant de disciplines complémentaires ou d'établissements différents, en développant diverses formes d'association avec les grands organismes publics de recherche, en menant une politique de coopération et de progrès avec la recherche industrielle et l'ensemble des secteurs de la production. Les conditions dans lesquelles les établissements et les regroupements mentionnés au 2° de l'article L. 718-3 qui participent à ce service public assurent, par voie de convention, des prestations de services, exploitent des brevets et licences et commercialisent les produits de leurs activités sont fixées par leurs statuts. En vue de la valorisation des résultats de la recherche dans leurs domaines d'activité, ils peuvent, par convention et pour une durée limitée avec information de l'instance scientifique compétente, fournir à des entreprises ou à des personnes physiques des moyens de fonctionnement, notamment en mettant à leur disposition des locaux, des équipements et des matériels, dans des conditions fixées par décret ; ce décret définit en particulier les prestations de services qui peuvent faire l'objet de ces conventions, les modalités de leur évaluation et celles de la rémunération des établissements et des regroupements mentionnés au même 2°. Les activités mentionnées au précédent alinéa peuvent être gérées par des services d'activités industrielles et commerciales dans les conditions fixées par l'article L. 714-1 . Pour le fonctionnement de ces services et la réalisation de ces activités, les établissements peuvent recruter, dans des conditions définies, en tant que de besoin, par décret en Conseil d'Etat, des agents non titulaires par des contrats de droit public à durée déterminée ou indéterminée.
1,374,624,000,000
32,472,144,000,000
L123-5
LEGIARTI000027747771
LEGIARTI000006524414
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
429,490
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Article
<p>Le service public de l'enseignement supérieur s'attache à développer et à valoriser, dans toutes les disciplines et, notamment, les sciences humaines et sociales, la recherche fondamentale, la recherche appliquée et la technologie. </p><p>Il soutient la valorisation des résultats de la recherche au service de la société. A cet effet, il veille au développement de l'innovation, du transfert de technologie lorsque celui-ci est possible, de la capacité d'expertise et d'appui aux associations et fondations, reconnues d'utilité publique, et aux politiques publiques menées pour répondre aux défis sociétaux, aux besoins sociaux, économiques et du développement durable. </p><p>Il assure la liaison nécessaire entre les activités d'enseignement, de recherche et d'innovation. Il offre un moyen privilégié de formation à la recherche et par la recherche. A cette fin, il assure le développement continu de l'innovation et de l'expérimentation pédagogiques en son sein. Il favorise les interactions entre sciences et société. Il facilite la participation du public à la prospection, à la collecte de données et au progrès de la connaissance scientifique. </p><p>Il participe à la politique de développement scientifique et technologique, reconnue comme priorité nationale, en liaison avec les grands organismes nationaux de recherche. Il contribue à la mise en oeuvre des objectifs définis par le code de la recherche. </p><p>Il concourt à la politique d'aménagement du territoire par l'implantation et le développement dans les régions d'équipes de haut niveau scientifique. Il renforce les liens avec les secteurs socio-économiques publics et privés. </p><p>Il améliore le potentiel scientifique de la nation en encourageant les travaux des jeunes chercheurs et de nouvelles équipes en même temps que ceux des formations confirmées, en favorisant les rapprochements entre équipes relevant de disciplines complémentaires ou d'établissements différents, en développant diverses formes d'association avec les grands organismes publics de recherche, en menant une politique de coopération et de progrès avec la recherche industrielle et l'ensemble des secteurs de la production. </p><p>Les conditions dans lesquelles les établissements et les regroupements mentionnés au 2° de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000027738675&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 718-3</a> qui participent à ce service public assurent, par voie de convention, des prestations de services, exploitent des brevets et licences et commercialisent les produits de leurs activités sont fixées par leurs statuts. En vue de la valorisation des résultats de la recherche dans leurs domaines d'activité, ils peuvent, par convention et pour une durée limitée avec information de l'instance scientifique compétente, fournir à des entreprises ou à des personnes physiques des moyens de fonctionnement, notamment en mettant à leur disposition des locaux, des équipements et des matériels, dans des conditions fixées par décret ; ce décret définit en particulier les prestations de services qui peuvent faire l'objet de ces conventions, les modalités de leur évaluation et celles de la rémunération des établissements et des regroupements mentionnés au même 2°. </p><p>Les activités mentionnées au précédent alinéa peuvent être gérées par des services d'activités industrielles et commerciales dans les conditions fixées par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525376&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 714-1</a>. Pour le fonctionnement de ces services et la réalisation de ces activités, les établissements peuvent recruter, dans des conditions définies, en tant que de besoin, par décret en Conseil d'Etat, des agents non titulaires par des contrats de droit public à durée déterminée ou indéterminée.</p>
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LEGIARTI000006524416
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LEGISCTA000006166563
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Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Code de l'éducation, art. L123-6
Code de l'éducation
Le service public de l'enseignement supérieur a pour mission le développement de la culture et la diffusion des connaissances et des résultats de la recherche. Il favorise l'innovation, la création individuelle et collective dans le domaine des arts, des lettres, des sciences et des techniques. Il assure le développement de l'activité physique et sportive et des formations qui s'y rapportent. Il veille à la promotion et à l'enrichissement de la langue française et des langues et cultures régionales. Il participe à l'étude et à la mise en valeur des éléments du patrimoine national et régional. Il assure la conservation et l'enrichissement des collections confiées aux établissements. Il promeut des valeurs d'éthique, de responsabilité et d'exemplarité. Il mène une action contre les stéréotypes sexués, tant dans les enseignements que dans les différents aspects de la vie de la communauté éducative. Les établissements qui participent à ce service public peuvent être prestataires de services pour contribuer au développement socio-économique de leur environnement. Ils peuvent également assurer l'édition et la commercialisation d'ouvrages et de périodiques scientifiques ou techniques ou de vulgarisation, ainsi que la création, la rénovation, l'extension de musées, de centres d'information et de documentation et de banques de données. Ils sont autorisés à transiger au sens de l'article 2044 du code civil et à recourir à l'arbitrage en cas de litiges nés de l'exécution de contrats passés avec des organismes étrangers, dans des conditions fixées par décret.
1,374,624,000,000
32,472,144,000,000
L123-6
LEGIARTI000027747777
LEGIARTI000006524417
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
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Article
<p>Le service public de l'enseignement supérieur a pour mission le développement de la culture et la diffusion des connaissances et des résultats de la recherche. </p><p></p><p>Il favorise l'innovation, la création individuelle et collective dans le domaine des arts, des lettres, des sciences et des techniques. Il assure le développement de l'activité physique et sportive et des formations qui s'y rapportent. </p><p></p><p>Il veille à la promotion et à l'enrichissement de la langue française et des langues et cultures régionales. Il participe à l'étude et à la mise en valeur des éléments du patrimoine national et régional. Il assure la conservation et l'enrichissement des collections confiées aux établissements. </p><p>Il promeut des valeurs d'éthique, de responsabilité et d'exemplarité. </p><p>Il mène une action contre les stéréotypes sexués, tant dans les enseignements que dans les différents aspects de la vie de la communauté éducative. </p><p>Les établissements qui participent à ce service public peuvent être prestataires de services pour contribuer au développement socio-économique de leur environnement. Ils peuvent également assurer l'édition et la commercialisation d'ouvrages et de périodiques scientifiques ou techniques ou de vulgarisation, ainsi que la création, la rénovation, l'extension de musées, de centres d'information et de documentation et de banques de données. Ils sont autorisés à transiger au sens de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070721&idArticle=LEGIARTI000006445609&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 2044</a> du code civil et à recourir à l'arbitrage en cas de litiges nés de l'exécution de contrats passés avec des organismes étrangers, dans des conditions fixées par décret.</p><p></p>
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LEGIARTI000006524417
IG-20231129
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LEGIARTI000027747777
LEGI
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Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Code de l'éducation, art. L123-7
Code de l'éducation
Le service public de l'enseignement supérieur contribue, au sein de la communauté scientifique et culturelle internationale, au débat des idées, au progrès de la recherche et à la rencontre des cultures. Il promeut, aux plans européen et international, un meilleur partage des savoirs et leur diffusion auprès des sociétés civiles. Il encourage les coopérations transfrontalières et incite, à cet effet, les établissements d'enseignement supérieur implantés dans les collectivités relevant de l'article 73 de la Constitution à contribuer au rayonnement international des départements et régions d'outre-mer. Il favorise le développement de parcours comprenant des périodes d'études et d'activités à l'étranger sans porter préjudice au déroulement de carrière ou d'études des personnels et étudiants concernés. Il favorise également l'accueil des personnels de recherche étrangers pour la durée de leurs missions scientifiques. Il assure l'accueil des étudiants étrangers, en lien avec le réseau des œuvres universitaires et scolaires mentionné à l'article L. 822-1 et l'établissement public mentionné à l'article 6 de la loi n° 2010-873 du 27 juillet 2010 relative à l'action extérieure de l'Etat ainsi que leur formation. Il soutient le développement des établissements français et des enseignements en langue française à l'étranger ainsi que le développement de services et ressources pédagogiques numériques favorisant la connaissance et la promotion de la langue française. Il concourt au développement de centres de formation et de recherche dans les pays qui le souhaitent. Il favorise l'orientation vers l'enseignement supérieur français des élèves français scolarisés à l'étranger et des élèves étrangers scolarisés dans des établissements d'enseignement français à l'étranger. Les programmes de coopération qu'il met en oeuvre permettent notamment aux personnels français et étrangers d'acquérir une formation aux technologies nouvelles et à la pratique de la recherche scientifique. Dans le cadre défini par les pouvoirs publics, les établissements qui participent à ce service public passent des accords avec des institutions étrangères ou internationales, notamment avec les institutions d'enseignement supérieur des différents Etats et nouent des liens particuliers avec celles des Etats membres de l'Union européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen et avec les établissements étrangers qui assurent leurs enseignements partiellement ou entièrement en langue française. Ces accords visent à la délivrance de diplômes nationaux ou d'établissement, conjointement ou non avec des établissements d'enseignement supérieur à l'étranger.
1,374,624,000,000
32,472,144,000,000
L123-7
LEGIARTI000027747782
LEGIARTI000006524418
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
515,388
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null
Article
<p>Le service public de l'enseignement supérieur contribue, au sein de la communauté scientifique et culturelle internationale, au débat des idées, au progrès de la recherche et à la rencontre des cultures. Il promeut, aux plans européen et international, un meilleur partage des savoirs et leur diffusion auprès des sociétés civiles. Il encourage les coopérations transfrontalières et incite, à cet effet, les établissements d'enseignement supérieur implantés dans les collectivités relevant de <a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000571356&idArticle=LEGIARTI000006527580&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 73 </a>de la Constitution à contribuer au rayonnement international des départements et régions d'outre-mer. Il favorise le développement de parcours comprenant des périodes d'études et d'activités à l'étranger sans porter préjudice au déroulement de carrière ou d'études des personnels et étudiants concernés. Il favorise également l'accueil des personnels de recherche étrangers pour la durée de leurs missions scientifiques. Il assure l'accueil des étudiants étrangers, en lien avec le réseau des œuvres universitaires et scolaires mentionné à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525532&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 822-1 </a>et l'établissement public mentionné à <a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000022521532&idArticle=JORFARTI000022521577&categorieLien=cid'>l'article 6</a> de la loi n° 2010-873 du 27 juillet 2010 relative à l'action extérieure de l'Etat ainsi que leur formation. Il soutient le développement des établissements français et des enseignements en langue française à l'étranger ainsi que le développement de services et ressources pédagogiques numériques favorisant la connaissance et la promotion de la langue française. Il concourt au développement de centres de formation et de recherche dans les pays qui le souhaitent. Il favorise l'orientation vers l'enseignement supérieur français des élèves français scolarisés à l'étranger et des élèves étrangers scolarisés dans des établissements d'enseignement français à l'étranger. Les programmes de coopération qu'il met en oeuvre permettent notamment aux personnels français et étrangers d'acquérir une formation aux technologies nouvelles et à la pratique de la recherche scientifique. </p><p>Dans le cadre défini par les pouvoirs publics, les établissements qui participent à ce service public passent des accords avec des institutions étrangères ou internationales, notamment avec les institutions d'enseignement supérieur des différents Etats et nouent des liens particuliers avec celles des Etats membres de l'Union européenne ou d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen et avec les établissements étrangers qui assurent leurs enseignements partiellement ou entièrement en langue française. Ces accords visent à la délivrance de diplômes nationaux ou d'établissement, conjointement ou non avec des établissements d'enseignement supérieur à l'étranger.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000019911148
MD-20241002_191127_943_BDJQUOT
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LEGI
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Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Code de l'éducation, art. L123-7-1
Code de l'éducation
Les établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel contractent librement avec les institutions étrangères ou internationales, universitaires ou non. Tout projet d'accord est transmis au ministre chargé de l'enseignement supérieur et au ministre des affaires étrangères. Si, à l'expiration d'un délai d'un mois à compter de la réception du projet, le ministre chargé de l'enseignement supérieur n'a pas notifié une opposition totale ou partielle de l'un ou l'autre ministre, l'accord envisagé peut être conclu. A son expiration, l'accord fait l'objet d'une évaluation communiquée au ministre chargé de l'enseignement supérieur et au ministre des affaires étrangères. Un décret précise les modalités d'application du présent article.
1,405,728,000,000
32,472,144,000,000
L123-7-1
LEGIARTI000029259120
LEGIARTI000029259120
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
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Article
<p>Les établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel contractent librement avec les institutions étrangères ou internationales, universitaires ou non. </p><p> Tout projet d'accord est transmis au ministre chargé de l'enseignement supérieur et au ministre des affaires étrangères. </p><p> Si, à l'expiration d'un délai d'un mois à compter de la réception du projet, le ministre chargé de l'enseignement supérieur n'a pas notifié une opposition totale ou partielle de l'un ou l'autre ministre, l'accord envisagé peut être conclu. </p><p> A son expiration, l'accord fait l'objet d'une évaluation communiquée au ministre chargé de l'enseignement supérieur et au ministre des affaires étrangères. </p><p> Un décret précise les modalités d'application du présent article.</p><p></p>
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Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Code de l'éducation, art. L123-8
Code de l'éducation
Les établissements d'enseignement supérieur ont la responsabilité de la formation initiale et continue de tous les maîtres de l'éducation nationale, et concourent, en liaison avec les départements ministériels concernés, à la formation des autres formateurs. Cette formation est à la fois scientifique et pédagogique. Elle inclut des contacts concrets avec les divers cycles d'enseignement. Pour cette action, les établissements d'enseignement supérieur développent une recherche scientifique concernant l'éducation et favorisent le contact des maîtres avec les réalités économiques et sociales.
961,632,000,000
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L123-8
LEGIARTI000006524420
LEGIARTI000006524420
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
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Article
<p></p> Les établissements d'enseignement supérieur ont la responsabilité de la formation initiale et continue de tous les maîtres de l'éducation nationale, et concourent, en liaison avec les départements ministériels concernés, à la formation des autres formateurs. Cette formation est à la fois scientifique et pédagogique. Elle inclut des contacts concrets avec les divers cycles d'enseignement. Pour cette action, les établissements d'enseignement supérieur développent une recherche scientifique concernant l'éducation et favorisent le contact des maîtres avec les réalités économiques et sociales.<p></p><p></p>
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IG-20231129
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LEGIARTI000006524420
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Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Code de l'éducation, art. L123-9
Code de l'éducation
A l'égard des enseignants-chercheurs, des enseignants et des chercheurs, les universités et les établissements d'enseignement supérieur doivent assurer les moyens d'exercer leur activité d'enseignement et de recherche dans les conditions d'indépendance et de sérénité indispensables à la réflexion et à la création intellectuelle.
961,632,000,000
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L123-9
LEGIARTI000006524421
LEGIARTI000006524421
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
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Article
<p></p> A l'égard des enseignants-chercheurs, des enseignants et des chercheurs, les universités et les établissements d'enseignement supérieur doivent assurer les moyens d'exercer leur activité d'enseignement et de recherche dans les conditions d'indépendance et de sérénité indispensables à la réflexion et à la création intellectuelle.<p></p><p></p>
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IG-20231129
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LEGIARTI000006524421
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LEGISCTA000006166563
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Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre III : Objectifs et missions de l'enseignement supérieur.
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Code de l'éducation, art. L124-1
Code de l'éducation
Les enseignements scolaires et universitaires peuvent comporter, respectivement, des périodes de formation en milieu professionnel ou des stages. Les périodes de formation en milieu professionnel sont obligatoires dans les conditions prévues à l'article L. 331-4 du présent code. Les périodes de formation en milieu professionnel et les stages ne relevant ni du 2° de l'article L. 4153-1 du code du travail , ni de la formation professionnelle tout au long de la vie, définie à la sixième partie du même code, font l'objet d'une convention entre le stagiaire, l'organisme d'accueil et l'établissement d'enseignement, dont les mentions obligatoires sont déterminées par décret. Les périodes de formation en milieu professionnel et les stages correspondent à des périodes temporaires de mise en situation en milieu professionnel au cours desquelles l'élève ou l'étudiant acquiert des compétences professionnelles et met en œuvre les acquis de sa formation en vue d'obtenir un diplôme ou une certification et de favoriser son insertion professionnelle. Le stagiaire se voit confier une ou des missions conformes au projet pédagogique défini par son établissement d'enseignement et approuvées par l'organisme d'accueil. L'enseignant référent prévu à l'article L. 124-2 du présent code est tenu de s'assurer auprès du tuteur mentionné à l'article L. 124-9 , à plusieurs reprises durant le stage ou la période de formation en milieu professionnel, de son bon déroulement et de proposer à l'organisme d'accueil, le cas échéant, une redéfinition d'une ou des missions pouvant être accomplies.
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L124-1
LEGIARTI000029233449
LEGIARTI000029233449
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
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Article
Les enseignements scolaires et universitaires peuvent comporter, respectivement, des périodes de formation en milieu professionnel ou des stages. Les périodes de formation en milieu professionnel sont obligatoires dans les conditions prévues à l'article L. 331-4 du présent code. <br/><br/>Les périodes de formation en milieu professionnel et les stages ne relevant ni du <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006903179&dateTexte=&categorieLien=cid'>2° de l'article L. 4153-1 du code du travail</a>, ni de la formation professionnelle tout au long de la vie, définie à la sixième partie du même code, font l'objet d'une convention entre le stagiaire, l'organisme d'accueil et l'établissement d'enseignement, dont les mentions obligatoires sont déterminées par décret. <br/><br/>Les périodes de formation en milieu professionnel et les stages correspondent à des périodes temporaires de mise en situation en milieu professionnel au cours desquelles l'élève ou l'étudiant acquiert des compétences professionnelles et met en œuvre les acquis de sa formation en vue d'obtenir un diplôme ou une certification et de favoriser son insertion professionnelle. Le stagiaire se voit confier une ou des missions conformes au projet pédagogique défini par son établissement d'enseignement et approuvées par l'organisme d'accueil. <br/><br/>L'enseignant référent prévu à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000029233451&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L124-2 (V)'>L. 124-2 </a>du présent code est tenu de s'assurer auprès du tuteur mentionné à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000029234123&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L124-9 (V)'>L. 124-9</a>, à plusieurs reprises durant le stage ou la période de formation en milieu professionnel, de son bon déroulement et de proposer à l'organisme d'accueil, le cas échéant, une redéfinition d'une ou des missions pouvant être accomplies.
32,472,144,000,000
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MD-20240826_184132_463_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-1-1
Code de l'éducation
Par dérogation au troisième alinéa de l'article L. 124-1 et à l'article L. 124-3, les périodes de césure prévues à l'article L. 611-12 peuvent se dérouler sous forme de stage dans des conditions fixées par décret.
1,609,027,200,000
32,472,144,000,000
L124-1-1
LEGIARTI000042775599
LEGIARTI000042775599
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,342,177,279
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Article
<p>Par dérogation au troisième alinéa de l'article L. 124-1 et à l'article L. 124-3, les périodes de césure prévues à l'article L. 611-12 peuvent se dérouler sous forme de stage dans des conditions fixées par décret.</p>
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IG-20231129
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LEGIARTI000042775599
LEGI
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-2
Code de l'éducation
L'établissement d'enseignement est chargé : 1° D'appuyer et d'accompagner les élèves ou les étudiants dans leur recherche de périodes de formation en milieu professionnel ou de stages correspondant à leur cursus et à leurs aspirations et de favoriser un égal accès des élèves et des étudiants, respectivement, aux périodes de formation en milieu professionnel et aux stages ; 2° De définir dans la convention, en lien avec l'organisme d'accueil et le stagiaire, les compétences à acquérir ou à développer au cours de la période de formation en milieu professionnel ou du stage et la manière dont ce temps s'inscrit dans le cursus de formation ; 3° De désigner un enseignant référent au sein des équipes pédagogiques de l'établissement, qui s'assure du bon déroulement de la période de formation en milieu professionnel ou du stage et du respect des stipulations de la convention mentionnée à l'article L. 124-1 . Le nombre de stagiaires suivis simultanément par un même enseignant référent et les modalités de ce suivi pédagogique et administratif constant sont définis par le conseil d'administration de l'établissement, dans la limite d'un plafond fixé par décret ; 4° D'encourager la mobilité internationale des stagiaires, notamment dans le cadre des programmes de l'Union européenne.
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L124-2
LEGIARTI000029233451
LEGIARTI000029233451
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,610,612,735
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Article
<p align='left'>L'établissement d'enseignement est chargé : <br/><br/>1° D'appuyer et d'accompagner les élèves ou les étudiants dans leur recherche de périodes de formation en milieu professionnel ou de stages correspondant à leur cursus et à leurs aspirations et de favoriser un égal accès des élèves et des étudiants, respectivement, aux périodes de formation en milieu professionnel et aux stages ; <br/><br/>2° De définir dans la convention, en lien avec l'organisme d'accueil et le stagiaire, les compétences à acquérir ou à développer au cours de la période de formation en milieu professionnel ou du stage et la manière dont ce temps s'inscrit dans le cursus de formation ; <br/><br/>3° De désigner un enseignant référent au sein des équipes pédagogiques de l'établissement, qui s'assure du bon déroulement de la période de formation en milieu professionnel ou du stage et du respect des stipulations de la convention mentionnée à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000029233449&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L124-1 (V)'>L. 124-1</a>. Le nombre de stagiaires suivis simultanément par un même enseignant référent et les modalités de ce suivi pédagogique et administratif constant sont définis par le conseil d'administration de l'établissement, dans la limite d'un plafond fixé par décret ; <br/><br/>4° D'encourager la mobilité internationale des stagiaires, notamment dans le cadre des programmes de l'Union européenne.<br/></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000029233451
LEGI
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-2-1
Code de l'éducation
Chaque académie comporte au moins un pôle de stages qui associe aux établissements publics locaux d'enseignement les acteurs du monde éducatif, professionnel et associatif. Il accompagne les élèves des classes de troisième des collèges et des lycées professionnels dans la recherche de lieux de stages et de périodes de formation en milieu professionnel et leur assure un accès équitable et de qualité à ces stages et périodes.
1,485,648,000,000
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L124-2-1
LEGIARTI000033956646
LEGIARTI000033956641
AUTONOME
VIGUEUR
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Article
<p> Chaque académie comporte au moins un pôle de stages qui associe aux établissements publics locaux d'enseignement les acteurs du monde éducatif, professionnel et associatif. Il accompagne les élèves des classes de troisième des collèges et des lycées professionnels dans la recherche de lieux de stages et de périodes de formation en milieu professionnel et leur assure un accès équitable et de qualité à ces stages et périodes.</p>
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LEGI
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-3
Code de l'éducation
Les périodes de formation en milieu professionnel et les stages sont intégrés à un cursus pédagogique scolaire ou universitaire, selon des modalités déterminées par décret. Un volume pédagogique minimal de formation en établissement ou selon les modalités d'enseignement à distance proposées par l'établissement ainsi que les modalités d'encadrement de la période de formation en milieu professionnel ou du stage par l'établissement d'enseignement et l'organisme d'accueil sont fixés par ce décret et précisés dans la convention de stage.
1,609,027,200,000
32,472,144,000,000
L124-3
LEGIARTI000042815051
LEGIARTI000029233453
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,879,048,191
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null
Article
<p align='left'>Les périodes de formation en milieu professionnel et les stages sont intégrés à un cursus pédagogique scolaire ou universitaire, selon des modalités déterminées par décret. Un volume pédagogique minimal de formation en établissement ou selon les modalités d'enseignement à distance proposées par l'établissement ainsi que les modalités d'encadrement de la période de formation en milieu professionnel ou du stage par l'établissement d'enseignement et l'organisme d'accueil sont fixés par ce décret et précisés dans la convention de stage.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000029233453
MD-20240617_190006_385_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042815051
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-3-1
Code de l'éducation
Des périodes d'observation en milieu professionnel dans une entreprise, une administration ou une association, d'une durée maximale d'une semaine, peuvent être proposées, en dehors des semaines réservées aux cours et au contrôle de connaissances, aux étudiants de l'enseignement supérieur, en vue de l'élaboration de leur projet d'orientation professionnelle. Dans l'exercice de leurs compétences, les chambres consulaires apportent leur appui à l'organisation de ces périodes.
1,546,300,800,000
32,472,144,000,000
L124-3-1
LEGIARTI000037386035
LEGIARTI000037371152
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,946,157,055
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Article
<p>Des périodes d'observation en milieu professionnel dans une entreprise, une administration ou une association, d'une durée maximale d'une semaine, peuvent être proposées, en dehors des semaines réservées aux cours et au contrôle de connaissances, aux étudiants de l'enseignement supérieur, en vue de l'élaboration de leur projet d'orientation professionnelle. Dans l'exercice de leurs compétences, les chambres consulaires apportent leur appui à l'organisation de ces périodes.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231128
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LEGIARTI000037386035
LEGI
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-4
Code de l'éducation
Tout élève ou étudiant ayant achevé sa période de formation en milieu professionnel ou son stage transmet aux services de son établissement d'enseignement chargés de l'accompagner dans son projet d'études et d'insertion professionnelle un document dans lequel il évalue la qualité de l'accueil dont il a bénéficié au sein de l'organisme. Ce document n'est pas pris en compte dans son évaluation ou dans l'obtention de son diplôme.
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L124-4
LEGIARTI000029233865
LEGIARTI000029233783
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,013,265,919
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Article
<p>Tout élève ou étudiant ayant achevé sa période de formation en milieu professionnel ou son stage transmet aux services de son établissement d'enseignement chargés de l'accompagner dans son projet d'études et d'insertion professionnelle un document dans lequel il évalue la qualité de l'accueil dont il a bénéficié au sein de l'organisme. Ce document n'est pas pris en compte dans son évaluation ou dans l'obtention de son diplôme. </p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000029233865
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-5
Code de l'éducation
La durée du ou des stages ou périodes de formation en milieu professionnel effectués par un même stagiaire dans un même organisme d'accueil ne peut excéder six mois par année d'enseignement.
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L124-5
LEGIARTI000029234973
LEGIARTI000029233818
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au VI de l'article 1 de la loi n° 2014-788 du 10 juillet 2014, un décret fixe la liste des formations pour lesquelles il peut être dérogé à la durée de stage ou de période de formation en milieu professionnel prévue à l'article L. 124-5 du code de l'éducation pour une période de transition de deux ans à compter du 10 juillet 2014.
1.0
2,080,374,783
null
null
null
Article
<p>La durée du ou des stages ou périodes de formation en milieu professionnel effectués par un même stagiaire dans un même organisme d'accueil ne peut excéder six mois par année d'enseignement.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000029234973
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
<p>Conformément au VI de l'article 1 de la loi n° 2014-788 du 10 juillet 2014, un décret fixe la liste des formations pour lesquelles il peut être dérogé à la durée de stage ou de période de formation en milieu professionnel prévue à l'article L. 124-5 du code de l'éducation pour une période de transition de deux ans à compter du 10 juillet 2014.</p>
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Code de l'éducation, art. L124-6
Code de l'éducation
Lorsque la durée du stage ou de la période de formation en milieu professionnel au sein d'un même organisme d'accueil est supérieure à deux mois consécutifs ou, au cours d'une même année scolaire ou universitaire, à deux mois consécutifs ou non, le ou les stages ou la ou les périodes de formation en milieu professionnel font l'objet d'une gratification versée mensuellement dont le montant est fixé par convention de branche ou par accord professionnel étendu ou, à défaut, par décret, à un niveau minimal de 15 % du plafond horaire de la sécurité sociale défini en application de l'article L. 241-3 du code de la sécurité sociale. Cette gratification n'a pas le caractère d'un salaire au sens de l'article L. 3221-3 du code du travail. Le premier alinéa s'applique sans préjudice des dispositions de l'article L. 4381-1 du code de la santé publique. La gratification mentionnée au premier alinéa est due au stagiaire à compter du premier jour du premier mois de la période de stage ou de formation en milieu professionnel. Son montant minimal forfaitaire n'est pas fonction du nombre de jours ouvrés dans le mois. Un décret fixe les conditions dans lesquelles il peut être dérogé à la durée prévue au premier alinéa du présent article pour les périodes de formation en milieu professionnel réalisées dans le cadre des formations mentionnées à l'article L. 813-9 du code rural et de la pêche maritime.
1,441,065,600,000
32,472,144,000,000
L124-6
LEGIARTI000029234400
LEGIARTI000029233846
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au II de l'article 1 de la loi n° 2014-788 du 10 juillet 2014, les trois premiers alinéas de l'article L. 124-6 du code de l'éducation, dans leur rédaction résultant de la présente loi, sont applicables aux conventions de stage signées à compter du 1er septembre 2015.
1.0
2,113,929,215
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Article
<p>Lorsque la durée du stage ou de la période de formation en milieu professionnel au sein d'un même organisme d'accueil est supérieure à deux mois consécutifs ou, au cours d'une même année scolaire ou universitaire, à deux mois consécutifs ou non, le ou les stages ou la ou les périodes de formation en milieu professionnel font l'objet d'une gratification versée mensuellement dont le montant est fixé par convention de branche ou par accord professionnel étendu ou, à défaut, par décret, à un niveau minimal de 15 % du plafond horaire de la sécurité sociale défini en application de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006741897&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la sécurité sociale. - art. L241-3 (V)'>l'article L. 241-3 </a>du code de la sécurité sociale. Cette gratification n'a pas le caractère d'un salaire au sens de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006902819&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L3221-3 (V)'>l'article L. 3221-3 </a>du code du travail. </p><p>Le premier alinéa s'applique sans préjudice des dispositions de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idArticle=LEGIARTI000006689550&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la santé publique - art. L4381-1 (V)'>l'article L. 4381-1 </a>du code de la santé publique. </p><p>La gratification mentionnée au premier alinéa est due au stagiaire à compter du premier jour du premier mois de la période de stage ou de formation en milieu professionnel. Son montant minimal forfaitaire n'est pas fonction du nombre de jours ouvrés dans le mois. </p><p>Un décret fixe les conditions dans lesquelles il peut être dérogé à la durée prévue au premier alinéa du présent article pour les périodes de formation en milieu professionnel réalisées dans le cadre des formations mentionnées à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071367&idArticle=LEGIARTI000006586169&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code rural - art. L813-9 (V)'>l'article L. 813-9</a> du code rural et de la pêche maritime.</p><p></p>
32,472,144,000,000
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MD-20240912_191406_223_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000029234400
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
<p>Conformément au II de l'article 1 de la loi n° 2014-788 du 10 juillet 2014, les trois premiers alinéas de l'article L. 124-6 du code de l'éducation, dans leur rédaction résultant de la présente loi, sont applicables aux conventions de stage signées à compter du 1er septembre 2015.</p>
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Code de l'éducation, art. L124-7
Code de l'éducation
Aucune convention de stage ne peut être conclue pour exécuter une tâche régulière correspondant à un poste de travail permanent, pour faire face à un accroissement temporaire de l'activité de l'organisme d'accueil, pour occuper un emploi saisonnier ou pour remplacer un salarié ou un agent en cas d'absence ou de suspension de son contrat de travail.
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L124-7
LEGIARTI000029234119
LEGIARTI000029234119
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,130,706,431
null
null
null
Article
Aucune convention de stage ne peut être conclue pour exécuter une tâche régulière correspondant à un poste de travail permanent, pour faire face à un accroissement temporaire de l'activité de l'organisme d'accueil, pour occuper un emploi saisonnier ou pour remplacer un salarié ou un agent en cas d'absence ou de suspension de son contrat de travail. <br/>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
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LEGIARTI000029234119
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-8
Code de l'éducation
Le nombre de stagiaires dont la convention de stage est en cours sur une même semaine civile dans l'organisme d'accueil ne peut pas être supérieur à un nombre fixé par décret en Conseil d'Etat. Ce nombre tient compte des effectifs de l'organisme d'accueil. Pour l'application de cette limite, il n'est pas tenu compte des périodes de prolongation prévues à l'article L. 124-15 . Par dérogation au premier alinéa du présent article, l'autorité académique fixe, dans des conditions déterminées par le décret en Conseil d'Etat prévu au même premier alinéa, le nombre de stagiaires qui peuvent être accueillis dans un même organisme d'accueil pendant une même semaine civile au titre de la période de formation en milieu professionnel prévue par le règlement du diplôme qu'ils préparent.
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L124-8
LEGIARTI000029234121
LEGIARTI000029234121
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,139,095,039
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Article
<p align='left'>Le nombre de stagiaires dont la convention de stage est en cours sur une même semaine civile dans l'organisme d'accueil ne peut pas être supérieur à un nombre fixé par décret en Conseil d'Etat. Ce nombre tient compte des effectifs de l'organisme d'accueil. Pour l'application de cette limite, il n'est pas tenu compte des périodes de prolongation prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000029234219&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L124-15 (V)'>L. 124-15</a>. <br/><br/>Par dérogation au premier alinéa du présent article, l'autorité académique fixe, dans des conditions déterminées par le décret en Conseil d'Etat prévu au même premier alinéa, le nombre de stagiaires qui peuvent être accueillis dans un même organisme d'accueil pendant une même semaine civile au titre de la période de formation en milieu professionnel prévue par le règlement du diplôme qu'ils préparent.<br/></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000029234121
LEGI
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-8-1
Code de l'éducation
L'autorité administrative se prononce de manière explicite sur toute demande précise et circonstanciée d'un organisme d'accueil ayant pour objet de connaître les modalités de prise en compte des effectifs servant de base au calcul du plafond de stagiaires autorisés. La demande mentionnée au premier alinéa n'est pas recevable dès lors que les services chargés de l'application de la législation du travail ont engagé un contrôle sur le respect des dispositions de l'article L. 124-8. La réponse de l'autorité administrative ne s'applique qu'à l'organisme d'accueil demandeur et est opposable pour l'avenir à l'autorité administrative tant que la situation de fait exposée dans la demande ou la législation au regard de laquelle la situation a été appréciée n'ont pas été modifiées ou jusqu'à ce que l'autorité administrative notifie au demandeur une modification de son appréciation.
1,534,032,000,000
32,472,144,000,000
L124-8-1
LEGIARTI000037310167
LEGIARTI000037310059
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au VIII de l'article 21 de la loi n° 2018-727 du 10 août 2018, un décret en Conseil d'Etat précise les modalités d'application du présent article, notamment le contenu, les modalités de dépôt et d'avis de réception des demandes ainsi que les conditions et délais dans lesquels il y est répondu.
1.0
2,141,192,191
null
null
null
Article
<p>L'autorité administrative se prononce de manière explicite sur toute demande précise et circonstanciée d'un organisme d'accueil ayant pour objet de connaître les modalités de prise en compte des effectifs servant de base au calcul du plafond de stagiaires autorisés.<br/><br/> La demande mentionnée au premier alinéa n'est pas recevable dès lors que les services chargés de l'application de la législation du travail ont engagé un contrôle sur le respect des dispositions de l'article L. 124-8.<br/><br/> La réponse de l'autorité administrative ne s'applique qu'à l'organisme d'accueil demandeur et est opposable pour l'avenir à l'autorité administrative tant que la situation de fait exposée dans la demande ou la législation au regard de laquelle la situation a été appréciée n'ont pas été modifiées ou jusqu'à ce que l'autorité administrative notifie au demandeur une modification de son appréciation.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231128
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LEGIARTI000037310167
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
<p>Conformément au VIII de l'article 21 de la loi n° 2018-727 du 10 août 2018, un décret en Conseil d'Etat précise les modalités d'application du présent article, notamment le contenu, les modalités de dépôt et d'avis de réception des demandes ainsi que les conditions et délais dans lesquels il y est répondu.</p><p></p>
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Code de l'éducation, art. L124-9
Code de l'éducation
L'organisme d'accueil désigne un tuteur chargé de l'accueil et de l'accompagnement du stagiaire. Le tuteur est garant du respect des stipulations pédagogiques de la convention prévues au 2° de l'article L. 124-2 . Un accord d'entreprise peut préciser les tâches confiées au tuteur, ainsi que les conditions de l'éventuelle valorisation de cette fonction.
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L124-9
LEGIARTI000029234123
LEGIARTI000029234123
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,143,289,343
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null
Article
<p align='left'>L'organisme d'accueil désigne un tuteur chargé de l'accueil et de l'accompagnement du stagiaire. Le tuteur est garant du respect des stipulations pédagogiques de la convention prévues au 2° de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000029233451&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L124-2 (V)'>L. 124-2</a>. <br/><br/>Un accord d'entreprise peut préciser les tâches confiées au tuteur, ainsi que les conditions de l'éventuelle valorisation de cette fonction.</p>
32,472,144,000,000
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-10
Code de l'éducation
Un tuteur de stage ne peut pas être désigné si, à la date de la conclusion de la convention, il est par ailleurs désigné en cette qualité dans un nombre de conventions prenant fin au-delà de la semaine civile en cours supérieur à un nombre fixé par décret en Conseil d'Etat.
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L124-10
LEGIARTI000029234125
LEGIARTI000029234125
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,145,386,495
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null
Article
<p align='left'>Un tuteur de stage ne peut pas être désigné si, à la date de la conclusion de la convention, il est par ailleurs désigné en cette qualité dans un nombre de conventions prenant fin au-delà de la semaine civile en cours supérieur à un nombre fixé par décret en Conseil d'Etat.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000029234125
LEGI
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-11
Code de l'éducation
L'accueil successif de stagiaires, au titre de conventions de stage différentes, pour effectuer des stages dans un même poste n'est possible qu'à l'expiration d'un délai de carence égal au tiers de la durée du stage précédent. Cette disposition n'est pas applicable lorsque ce stage précédent a été interrompu avant son terme à l'initiative du stagiaire.
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L124-11
LEGIARTI000029234172
LEGIARTI000029234172
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,146,435,071
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Article
L'accueil successif de stagiaires, au titre de conventions de stage différentes, pour effectuer des stages dans un même poste n'est possible qu'à l'expiration d'un délai de carence égal au tiers de la durée du stage précédent. Cette disposition n'est pas applicable lorsque ce stage précédent a été interrompu avant son terme à l'initiative du stagiaire.<br/><br/>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000029234172
LEGI
32,472,144,000,000
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-12
Code de l'éducation
Les stagiaires bénéficient des protections et droits mentionnés aux articles L. 1121-1 , L. 1152-1 et L. 1153-1 du code du travail, dans les mêmes conditions que les salariés.
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L124-12
LEGIARTI000029234213
LEGIARTI000029234213
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,146,959,359
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Article
Les stagiaires bénéficient des protections et droits mentionnés aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900785&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1121-1 (V)'>L. 1121-1</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900818&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1152-1 (V)'>L. 1152-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900824&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1153-1 (V)'>L. 1153-1</a> du code du travail, dans les mêmes conditions que les salariés.
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000029234213
LEGI
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-13
Code de l'éducation
En cas de grossesse, de paternité ou d'adoption, le stagiaire bénéficie de congés et d'autorisations d'absence d'une durée équivalente à celles prévues pour les salariés aux articles L. 1225-16 à L. 1225-28 , L. 1225-35 , L. 1225-37 et L. 1225-46 du code du travail. Pour les stages et les périodes de formation en milieu professionnel dont la durée est supérieure à deux mois et dans la limite de la durée maximale prévue à l'article L. 124-5 du présent code, la convention de stage doit prévoir la possibilité de congés et d'autorisations d'absence au bénéfice du stagiaire au cours de la période de formation en milieu professionnel ou du stage. Le stagiaire a accès au restaurant d'entreprise ou aux titres-restaurant prévus à l'article L. 3262-1 du code du travail, dans les mêmes conditions que les salariés de l'organisme d'accueil. Il bénéficie également de la prise en charge des frais de transport prévue à l'article L. 3261-2 du même code
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L124-13
LEGIARTI000029234215
LEGIARTI000029234215
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,147,221,503
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Article
<p align='left'>En cas de grossesse, de paternité ou d'adoption, le stagiaire bénéficie de congés et d'autorisations d'absence d'une durée équivalente à celles prévues pour les salariés aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900896&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-16 (V)'>L. 1225-16 à L. 1225-28</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900917&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-35 (V)'>L. 1225-35</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006900919&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L1225-37 (V)'>L. 1225-37 </a>et L. 1225-46 du code du travail. <br/><br/>Pour les stages et les périodes de formation en milieu professionnel dont la durée est supérieure à deux mois et dans la limite de la durée maximale prévue à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000029233818&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L124-5 (V)'>L. 124-5 </a>du présent code, la convention de stage doit prévoir la possibilité de congés et d'autorisations d'absence au bénéfice du stagiaire au cours de la période de formation en milieu professionnel ou du stage. <br/><br/>Le stagiaire a accès au restaurant d'entreprise ou aux titres-restaurant prévus à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006902943&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L3262-1 (V)'>L. 3262-1 </a>du code du travail, dans les mêmes conditions que les salariés de l'organisme d'accueil. Il bénéficie également de la prise en charge des frais de transport prévue à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006902931&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L3261-2 (V)'>L. 3261-2</a> du même code</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000029234215
LEGI
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-14
Code de l'éducation
La présence du stagiaire dans l'organisme d'accueil suit les règles applicables aux salariés de l'organisme pour ce qui a trait : 1° Aux durées maximales quotidienne et hebdomadaire de présence ; 2° A la présence de nuit ; 3° Au repos quotidien, au repos hebdomadaire et aux jours fériés. Pour l'application du présent article, l'organisme d'accueil établit, selon tous moyens, un décompte des durées de présence du stagiaire. Il est interdit de confier au stagiaire des tâches dangereuses pour sa santé ou sa sécurité.
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L124-14
LEGIARTI000029234217
LEGIARTI000029234217
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,147,352,575
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Article
<p align='left'>La présence du stagiaire dans l'organisme d'accueil suit les règles applicables aux salariés de l'organisme pour ce qui a trait : <br/><br/> 1° Aux durées maximales quotidienne et hebdomadaire de présence ; <br/><br/> 2° A la présence de nuit ; <br/><br/> 3° Au repos quotidien, au repos hebdomadaire et aux jours fériés. <br/><br/> Pour l'application du présent article, l'organisme d'accueil établit, selon tous moyens, un décompte des durées de présence du stagiaire. <br/><br/> Il est interdit de confier au stagiaire des tâches dangereuses pour sa santé ou sa sécurité. <br/><br/><br/></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000029234217
LEGI
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-15
Code de l'éducation
Lorsque le stagiaire interrompt sa période de formation en milieu professionnel ou son stage pour un motif lié à la maladie, à un accident, à la grossesse, à la paternité, à l'adoption ou, en accord avec l'établissement, en cas de non-respect des stipulations pédagogiques de la convention ou en cas de rupture de la convention à l'initiative de l'organisme d'accueil, l'autorité académique ou l'établissement d'enseignement supérieur valide la période de formation en milieu professionnel ou le stage, même s'il n'a pas atteint la durée prévue dans le cursus, ou propose au stagiaire une modalité alternative de validation de sa formation. En cas d'accord des parties à la convention, un report de la fin de la période de formation en milieu professionnel ou du stage, en tout ou partie, est également possible.
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L124-15
LEGIARTI000029234219
LEGIARTI000029234219
AUTONOME
VIGUEUR
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2,147,418,111
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Article
<p align='left'>Lorsque le stagiaire interrompt sa période de formation en milieu professionnel ou son stage pour un motif lié à la maladie, à un accident, à la grossesse, à la paternité, à l'adoption ou, en accord avec l'établissement, en cas de non-respect des stipulations pédagogiques de la convention ou en cas de rupture de la convention à l'initiative de l'organisme d'accueil, l'autorité académique ou l'établissement d'enseignement supérieur valide la période de formation en milieu professionnel ou le stage, même s'il n'a pas atteint la durée prévue dans le cursus, ou propose au stagiaire une modalité alternative de validation de sa formation. En cas d'accord des parties à la convention, un report de la fin de la période de formation en milieu professionnel ou du stage, en tout ou partie, est également possible. </p>
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IG-20231129
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LEGIARTI000029234219
LEGI
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-16
Code de l'éducation
Les stagiaires accèdent aux activités sociales et culturelles mentionnées à l'article L. 2323-83 du code du travail dans les mêmes conditions que les salariés.
1,405,123,200,000
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L124-16
LEGIARTI000029234235
LEGIARTI000029234235
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,147,450,879
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Article
Les stagiaires accèdent aux activités sociales et culturelles mentionnées à l'article L. 2323-83 du code du travail dans les mêmes conditions que les salariés.<br/><br/>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000029234235
LEGI
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-17
Code de l'éducation
La méconnaissance des articles L. 124-8 , L. 124-14 et de la première phrase du premier alinéa de l'article L. 124-9 est constatée par les agents de contrôle de l'inspection du travail mentionnés aux articles L. 8112-1 et L. 8112-5 du code du travail. Les manquements sont passibles d'une amende administrative prononcée par l'autorité administrative. Le montant de l'amende est d'au plus 2 000 € par stagiaire concerné par le manquement et d'au plus 4 000 € en cas de réitération dans un délai d'un an à compter du jour de la notification de la première amende. Le délai de prescription de l'action de l'administration pour la sanction du manquement par une amende administrative est de deux années révolues à compter du jour où le manquement a été commis. L'amende est recouvrée comme les créances de l'Etat étrangères à l'impôt et au domaine.
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L124-17
LEGIARTI000029234262
LEGIARTI000029234262
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
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Article
La méconnaissance des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000029234121&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L124-8 (V)'>L. 124-8</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000029234217&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L124-14 (V)'>L. 124-14 </a>et de la première phrase du premier alinéa de l'article L. 124-9 est constatée par les agents de contrôle de l'inspection du travail mentionnés aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006904788&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L8112-1 (V)'>L. 8112-1</a> et L. 8112-5 du code du travail. <br/><br/>Les manquements sont passibles d'une amende administrative prononcée par l'autorité administrative. <br/><br/>Le montant de l'amende est d'au plus 2 000 € par stagiaire concerné par le manquement et d'au plus 4 000 € en cas de réitération dans un délai d'un an à compter du jour de la notification de la première amende. <br/><br/>Le délai de prescription de l'action de l'administration pour la sanction du manquement par une amende administrative est de deux années révolues à compter du jour où le manquement a été commis. <br/><br/>L'amende est recouvrée comme les créances de l'Etat étrangères à l'impôt et au domaine.<br/>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000029234262
LEGI
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-18
Code de l'éducation
La durée du ou des stages et de la ou des périodes de formation en milieu professionnel prévue aux articles L. 124-5 et L. 124-6 est appréciée en tenant compte de la présence effective du stagiaire dans l'organisme d'accueil, sous réserve de l'application de l'article L. 124-13 .
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
L124-18
LEGIARTI000029234264
LEGIARTI000029234264
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
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Article
<p align='left'>La durée du ou des stages et de la ou des périodes de formation en milieu professionnel prévue aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000029233818&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L124-5 (V)'>L. 124-5</a> et L. 124-6 est appréciée en tenant compte de la présence effective du stagiaire dans l'organisme d'accueil, sous réserve de l'application de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000029234215&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L124-13 (V)'>L. 124-13</a>.</p>
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IG-20231129
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LEGIARTI000029234264
LEGI
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-19
Code de l'éducation
Pour favoriser la mobilité internationale, les stages ou les périodes de formation en milieu professionnel peuvent être effectués à l'étranger. Les dispositions relatives au déroulement et à l'encadrement du stage ou de la période de formation en milieu professionnel à l'étranger font l'objet d'un échange préalable entre l'établissement d'enseignement, le stagiaire et l'organisme d'accueil, sur la base de la convention définie au deuxième alinéa de l'article L. 124-1 .
1,405,123,200,000
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L124-19
LEGIARTI000029234266
LEGIARTI000029234266
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,147,479,551
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Article
<p align='left'>Pour favoriser la mobilité internationale, les stages ou les périodes de formation en milieu professionnel peuvent être effectués à l'étranger. Les dispositions relatives au déroulement et à l'encadrement du stage ou de la période de formation en milieu professionnel à l'étranger font l'objet d'un échange préalable entre l'établissement d'enseignement, le stagiaire et l'organisme d'accueil, sur la base de la convention définie au deuxième alinéa de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000029233449&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L124-1 (V)'>L. 124-1</a>.<br/></p>
32,472,144,000,000
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MD-20240513_190432_640_BDJQUOT
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L124-20
Code de l'éducation
Pour chaque stage ou période de formation en milieu professionnel à l'étranger, est annexée à la convention de stage une fiche d'information présentant la réglementation du pays d'accueil sur les droits et devoirs du stagiaire.
1,405,123,200,000
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L124-20
LEGIARTI000029234268
LEGIARTI000029234268
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,147,481,599
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Article
<p align='left'>Pour chaque stage ou période de formation en milieu professionnel à l'étranger, est annexée à la convention de stage une fiche d'information présentant la réglementation du pays d'accueil sur les droits et devoirs du stagiaire. </p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000029234268
LEGI
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LEGISCTA000029233447
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Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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LEGISCTA000029233447
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre II : Objectifs et missions du service public de l'enseignement &gt; Chapitre IV : Stages et périodes de formation en milieu professionnel.
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Code de l'éducation, art. L131-1
Code de l'éducation
L'instruction est obligatoire pour chaque enfant dès l'âge de trois ans et jusqu'à l'âge de seize ans. La présente disposition ne fait pas obstacle à l'application des prescriptions particulières imposant une scolarité plus longue.
1,567,382,400,000
32,472,144,000,000
L131-1
LEGIARTI000038901859
LEGIARTI000006524422
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>L'instruction est obligatoire pour chaque enfant dès l'âge de trois ans et jusqu'à l'âge de seize ans.</p><p>La présente disposition ne fait pas obstacle à l'application des prescriptions particulières imposant une scolarité plus longue.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524422
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166564
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Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
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LEGISCTA000006166564
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
null
Code de l'éducation, art. L131-1-1
Code de l'éducation
Le droit de l'enfant à l'instruction a pour objet de lui garantir, d'une part, l'acquisition des instruments fondamentaux du savoir, des connaissances de base, des éléments de la culture générale et, selon les choix, de la formation professionnelle et technique et, d'autre part, l'éducation lui permettant de développer sa personnalité, son sens moral et son esprit critique, d'élever son niveau de formation initiale et continue, de s'insérer dans la vie sociale et professionnelle, de partager les valeurs de la République et d'exercer sa citoyenneté. Cette instruction obligatoire est assurée prioritairement dans les établissements d'enseignement.
1,373,414,400,000
32,472,144,000,000
L131-1-1
LEGIARTI000027682645
LEGIARTI000006524423
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
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Article
<p></p><p>Le droit de l'enfant à l'instruction a pour objet de lui garantir, d'une part, l'acquisition des instruments fondamentaux du savoir, des connaissances de base, des éléments de la culture générale et, selon les choix, de la formation professionnelle et technique et, d'autre part, l'éducation lui permettant de développer sa personnalité, son sens moral et son esprit critique, d'élever son niveau de formation initiale et continue, de s'insérer dans la vie sociale et professionnelle, de partager les valeurs de la République et d'exercer sa citoyenneté.</p><p>Cette instruction obligatoire est assurée prioritairement dans les établissements d'enseignement.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524423
MD-20240403_193652_550_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000027682645
LEGI
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LEGISCTA000006166564
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Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
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Code de l'éducation, art. L131-2
Code de l'éducation
L'instruction obligatoire est donnée dans les établissements ou écoles publics ou privés. Elle peut également, par dérogation, être dispensée dans la famille par les parents, par l'un d'entre eux ou par toute personne de leur choix, sur autorisation délivrée dans les conditions fixées à l'article L. 131-5. Dans le cadre du service public de l'enseignement et afin de contribuer à ses missions, un service public du numérique éducatif et de l'enseignement à distance est organisé pour, notamment : 1° Mettre à disposition des écoles et des établissements scolaires une offre diversifiée de services numériques permettant de prolonger l'offre des enseignements qui y sont dispensés, d'enrichir les modalités d'enseignement et de faciliter la mise en œuvre d'une aide personnalisée à tous les élèves ; 2° Proposer aux enseignants une offre diversifiée de ressources pédagogiques, des contenus et des services contribuant à leur formation ainsi que des outils de suivi de leurs élèves et de communication avec les familles ; 3° Assurer l'instruction des enfants qui ne peuvent être scolarisés dans une école ou dans un établissement scolaire, notamment ceux à besoins éducatifs particuliers. Des supports numériques adaptés peuvent être fournis en fonction des besoins spécifiques de l'élève ; 4° Contribuer au développement de projets innovants et à des expérimentations pédagogiques favorisant les usages du numérique à l'école et la coopération ; 5° Mettre à la disposition des familles assurant l'instruction obligatoire conformément au premier alinéa du présent article ainsi que de leurs circonscriptions ou établissements de rattachement, dans le respect des conditions fixées à l'article L. 131-5 : a) Une offre numérique minimale assurant pour chaque enfant le partage des valeurs de la République et l'exercice de la citoyenneté, tels que prévus à l'article L. 111-1 ; b) Une offre diversifiée et adaptée pour les parents et les accompagnants des enfants instruits en famille ; c) Des outils adaptés et innovants de suivi, de communication, d'échange et de retour d'expérience avec les familles assurant l'instruction obligatoire. Dans le cadre de ce service public, la détermination du choix des ressources utilisées tient compte de l'offre de logiciels libres et de documents au format ouvert, si elle existe.
1,661,990,400,000
32,472,144,000,000
L131-2
LEGIARTI000043982602
LEGIARTI000006524424
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au IV de l'article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2022.
4.0
171,796
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Article
<p>L'instruction obligatoire est donnée dans les établissements ou écoles publics ou privés. Elle peut également, par dérogation, être dispensée dans la famille par les parents, par l'un d'entre eux ou par toute personne de leur choix, sur autorisation délivrée dans les conditions fixées à l'article L. 131-5.</p><p>Dans le cadre du service public de l'enseignement et afin de contribuer à ses missions, un service public du numérique éducatif et de l'enseignement à distance est organisé pour, notamment :</p><p>1° Mettre à disposition des écoles et des établissements scolaires une offre diversifiée de services numériques permettant de prolonger l'offre des enseignements qui y sont dispensés, d'enrichir les modalités d'enseignement et de faciliter la mise en œuvre d'une aide personnalisée à tous les élèves ;</p><p>2° Proposer aux enseignants une offre diversifiée de ressources pédagogiques, des contenus et des services contribuant à leur formation ainsi que des outils de suivi de leurs élèves et de communication avec les familles ;</p><p>3° Assurer l'instruction des enfants qui ne peuvent être scolarisés dans une école ou dans un établissement scolaire, notamment ceux à besoins éducatifs particuliers. Des supports numériques adaptés peuvent être fournis en fonction des besoins spécifiques de l'élève ;</p><p>4° Contribuer au développement de projets innovants et à des expérimentations pédagogiques favorisant les usages du numérique à l'école et la coopération ;</p><p>5° Mettre à la disposition des familles assurant l'instruction obligatoire conformément au premier alinéa du présent article ainsi que de leurs circonscriptions ou établissements de rattachement, dans le respect des conditions fixées à l'article L. 131-5 :<br/><br/> a) Une offre numérique minimale assurant pour chaque enfant le partage des valeurs de la République et l'exercice de la citoyenneté, tels que prévus à l'article L. 111-1 ;<br/><br/> b) Une offre diversifiée et adaptée pour les parents et les accompagnants des enfants instruits en famille ;<br/><br/> c) Des outils adaptés et innovants de suivi, de communication, d'échange et de retour d'expérience avec les familles assurant l'instruction obligatoire.</p><p>Dans le cadre de ce service public, la détermination du choix des ressources utilisées tient compte de l'offre de logiciels libres et de documents au format ouvert, si elle existe.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000027682649
MD-20240403_193652_550_BDJQUOT
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LEGI
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LEGISCTA000006166564
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Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
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LEGISCTA000006166564
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
<p>Conformément au IV de l'article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2022.</p>
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Code de l'éducation, art. L131-3
Code de l'éducation
Le versement des prestations familiales afférentes à un enfant soumis à l'obligation scolaire est subordonné aux conditions fixées à l'article L. 552-4 du code de la sécurité sociale
1,485,648,000,000
32,472,144,000,000
L131-3
LEGIARTI000033975435
LEGIARTI000006524426
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
214,745
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Article
<p>Le versement des prestations familiales afférentes à un enfant soumis à l'obligation scolaire est subordonné aux conditions fixées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006743415&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 552-4</a> du code de la sécurité sociale</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524426
IG-20231129
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LEGIARTI000033975435
LEGI
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LEGISCTA000006166564
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Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
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LEGISCTA000006166564
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
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Code de l'éducation, art. L131-4
Code de l'éducation
Sont personnes responsables, pour l'application du présent chapitre, les parents, le tuteur ou ceux qui ont la charge de l'enfant, soit qu'ils en assument la charge à la demande des parents, du tuteur ou d'une autorité compétente, soit qu'ils exercent sur lui, de façon continue, une autorité de fait.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L131-4
LEGIARTI000006524427
LEGIARTI000006524427
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
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null
Article
<p></p> Sont personnes responsables, pour l'application du présent chapitre, les parents, le tuteur ou ceux qui ont la charge de l'enfant, soit qu'ils en assument la charge à la demande des parents, du tuteur ou d'une autorité compétente, soit qu'ils exercent sur lui, de façon continue, une autorité de fait.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006524427
LEGI
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LEGISCTA000006166564
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Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
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LEGISCTA000006166564
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation et la gratuité scolaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
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Code de l'éducation, art. L131-5
Code de l'éducation
Les personnes responsables d'un enfant soumis à l'obligation scolaire définie à l'article L. 131-1 doivent le faire inscrire dans un établissement d'enseignement public ou privé ou bien, à condition d'y avoir été autorisées par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation, lui donner l'instruction en famille. Les mêmes formalités doivent être accomplies dans les huit jours qui suivent tout changement de résidence. La présente obligation s'applique à compter de la rentrée scolaire de l'année civile où l'enfant atteint l'âge de trois ans. L'autorisation mentionnée au premier alinéa est accordée pour les motifs suivants, sans que puissent être invoquées d'autres raisons que l'intérêt supérieur de l'enfant : 1° L'état de santé de l'enfant ou son handicap ; 2° La pratique d'activités sportives ou artistiques intensives ; 3° L'itinérance de la famille en France ou l'éloignement géographique de tout établissement scolaire public ; 4° L'existence d'une situation propre à l'enfant motivant le projet éducatif, sous réserve que les personnes qui en sont responsables justifient de la capacité de la ou des personnes chargées d'instruire l'enfant à assurer l'instruction en famille dans le respect de l'intérêt supérieur de l'enfant. Dans ce cas, la demande d'autorisation comporte une présentation écrite du projet éducatif, l'engagement d'assurer cette instruction majoritairement en langue française ainsi que les pièces justifiant de la capacité à assurer l'instruction en famille. L'autorisation mentionnée au premier alinéa est accordée pour une durée qui ne peut excéder l'année scolaire. Elle peut être accordée pour une durée supérieure lorsqu'elle est justifiée par l'un des motifs prévus au 1°. Un décret en Conseil d'Etat précise les modalités de délivrance de cette autorisation. L'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation peut convoquer l'enfant, ses responsables et, le cas échéant, les personnes chargées d'instruire l'enfant à un entretien afin d'apprécier la situation de l'enfant et de sa famille et de vérifier leur capacité à assurer l'instruction en famille. En application de l'article L. 231-1 du code des relations entre le public et l'administration, le silence gardé pendant deux mois par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation sur une demande d'autorisation formulée en application du premier alinéa du présent article vaut décision d'acceptation. La décision de refus d'autorisation fait l'objet d'un recours administratif préalable auprès d'une commission présidée par le recteur d'académie, dans des conditions fixées par décret. Le président du conseil départemental et le maire de la commune de résidence de l'enfant sont informés de la délivrance de l'autorisation. Lorsqu'un enfant recevant l'instruction dans la famille ou l'un des enfants du même foyer fait l'objet de l'information préoccupante prévue à l'article L. 226-3 du code de l'action sociale et des familles, le président du conseil départemental en informe l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation, qui peut alors suspendre ou abroger l'autorisation qui a été délivrée aux personnes responsables de l'enfant. Dans cette hypothèse, ces dernières sont mises en demeure de l'inscrire dans un établissement d'enseignement scolaire, dans les conditions et selon les modalités prévues à l'article L. 131-5-1 du présent code. Lorsque, après concertation avec le directeur de l'établissement d'enseignement public ou privé dans lequel est inscrit un enfant, il est établi que l'intégrité physique ou morale de cet enfant est menacée, les personnes responsables de l'enfant peuvent lui donner l'instruction dans la famille après avoir sollicité l'autorisation mentionnée au premier alinéa du présent article, dans le délai restant à courir avant que cette autorisation ne leur soit accordée ou refusée. L'enfant instruit dans la famille est rattaché administrativement à une circonscription d'enseignement du premier degré ou à un établissement d'enseignement scolaire public désigné par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation. Le fait, pour les parents d'un enfant ou pour toute personne exerçant à son égard l'autorité parentale ou une autorité de fait de façon continue, d'inscrire cet enfant dans un établissement d'enseignement privé qui a ouvert malgré l'opposition prévue au chapitre Ier du titre IV du livre IV du présent code ou sans remplir les conditions prescrites au même chapitre Ier, alors qu'ils ont obtenu l'autorisation mentionnée au premier alinéa, est passible des peines prévues au premier alinéa de l'article 441-7 du code pénal. Les familles domiciliées à proximité de deux ou plusieurs écoles publiques ont la faculté de faire inscrire leurs enfants à l'une ou l'autre de ces écoles, qu'elle soit ou non sur le territoire de leur commune, à moins qu'elle ne compte déjà le nombre maximum d'élèves autorisé par voie réglementaire. Toutefois, lorsque le ressort des écoles publiques a été déterminé conformément aux dispositions de l'article L. 212-7 du présent code, les familles doivent se conformer à la délibération du conseil municipal ou de l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale compétent, déterminant le ressort de chacune de ces écoles. Lorsque le ressort des écoles publiques a été déterminé conformément aux dispositions de l'article L. 212-7, l'inscription des élèves, dans les écoles publiques ou privées, se fait sur présentation d'un certificat d'inscription sur la liste scolaire prévue à l'article L. 131-6 . Ce certificat est délivré par le maire, qui y indique l'école que l'enfant doit fréquenter. En cas de refus d'inscription sur la liste scolaire de la part du maire sans motif légitime, le directeur académique des services de l'éducation nationale agissant sur délégation du préfet procède à cette inscription, en application de l'article L. 2122-34 du code général des collectivités territoriales, après en avoir requis le maire. La domiciliation des parents à l'étranger ne peut être une cause de refus d'inscription d'un enfant soumis à l'obligation scolaire. Chaque enfant est inscrit soit dans la commune où ses parents ont une résidence, soit dans celle du domicile de la personne qui en a la garde, soit dans celle où est situé un établissement ou une section d'établissement destinés plus particulièrement aux enfants de Français établis hors de France. Le statut ou le mode d'habitat des familles installées sur le territoire de la commune ne peut être une cause de refus d'inscription d'un enfant soumis à l'obligation scolaire. Lorsque la famille n'a pas de domicile stable, l'inscription dans un établissement public ou privé peut être cumulée avec l'inscription auprès du service public du numérique éducatif et de l'enseignement à distance prévu à l'article L. 131-2 . La conclusion d'un contrat de travail à caractère saisonnier ouvre le droit de faire inscrire ses enfants dans une école de la commune de son lieu de résidence temporaire ou de travail.
1,661,990,400,000
32,472,144,000,000
L131-5
LEGIARTI000043982594
LEGIARTI000006524428
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au IV de l'article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2022. Par dérogation, l'autorisation prévue à l'article L. 131-5 du code de l'éducation est accordée de plein droit, pour les années scolaires 2022-2023 et 2023-2024, aux enfants régulièrement instruits dans la famille au cours de l'année scolaire 2021-2022 et pour lesquels les résultats du contrôle organisé en application du troisième alinéa de l'article L. 131-10 du même code ont été jugés suffisants. Par décision du Conseil constitutionnel n° 2021-823 DC du 13 août 2021, les mots à condition d'y avoir été autorisées par l'autorité de l'État compétente en matière d'éducation figurant au premier alinéa et le huitième alinéa de l'article L. 131-5 du code de l'éducation, dans sa rédaction résultant de l’article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021 confortant le respect des principes de la République, ont été déclarés conformes à la Constitution sous la réserve énoncée au paragraphe 76 aux termes de laquelle : " il appartiendra, sous le contrôle du juge, au pouvoir réglementaire de déterminer les modalités de délivrance de l'autorisation d'instruction en famille conformément à ces critères et aux autorités administratives compétentes de fonder leur décision sur ces seuls critères excluant toute discrimination de quelque nature que ce soit. "
10.0
429,490
null
null
null
Article
<p>Les personnes responsables d'un enfant soumis à l'obligation scolaire définie à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006524422&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 131-1 </a>doivent le faire inscrire dans un établissement d'enseignement public ou privé ou bien, à condition d'y avoir été autorisées par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation, lui donner l'instruction en famille.</p><p>Les mêmes formalités doivent être accomplies dans les huit jours qui suivent tout changement de résidence.</p><p>La présente obligation s'applique à compter de la rentrée scolaire de l'année civile où l'enfant atteint l'âge de trois ans.</p><p>L'autorisation mentionnée au premier alinéa est accordée pour les motifs suivants, sans que puissent être invoquées d'autres raisons que l'intérêt supérieur de l'enfant :<br/><br/> 1° L'état de santé de l'enfant ou son handicap ;<br/><br/> 2° La pratique d'activités sportives ou artistiques intensives ;<br/><br/> 3° L'itinérance de la famille en France ou l'éloignement géographique de tout établissement scolaire public ;<br/><br/> 4° L'existence d'une situation propre à l'enfant motivant le projet éducatif, sous réserve que les personnes qui en sont responsables justifient de la capacité de la ou des personnes chargées d'instruire l'enfant à assurer l'instruction en famille dans le respect de l'intérêt supérieur de l'enfant. Dans ce cas, la demande d'autorisation comporte une présentation écrite du projet éducatif, l'engagement d'assurer cette instruction majoritairement en langue française ainsi que les pièces justifiant de la capacité à assurer l'instruction en famille.<br/><br/> L'autorisation mentionnée au premier alinéa est accordée pour une durée qui ne peut excéder l'année scolaire. Elle peut être accordée pour une durée supérieure lorsqu'elle est justifiée par l'un des motifs prévus au 1°. Un décret en Conseil d'Etat précise les modalités de délivrance de cette autorisation.<br/><br/> L'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation peut convoquer l'enfant, ses responsables et, le cas échéant, les personnes chargées d'instruire l'enfant à un entretien afin d'apprécier la situation de l'enfant et de sa famille et de vérifier leur capacité à assurer l'instruction en famille.<br/><br/> En application de l'article L. 231-1 du code des relations entre le public et l'administration, le silence gardé pendant deux mois par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation sur une demande d'autorisation formulée en application du premier alinéa du présent article vaut décision d'acceptation.<br/><br/> La décision de refus d'autorisation fait l'objet d'un recours administratif préalable auprès d'une commission présidée par le recteur d'académie, dans des conditions fixées par décret.<br/><br/> Le président du conseil départemental et le maire de la commune de résidence de l'enfant sont informés de la délivrance de l'autorisation. Lorsqu'un enfant recevant l'instruction dans la famille ou l'un des enfants du même foyer fait l'objet de l'information préoccupante prévue à l'article L. 226-3 du code de l'action sociale et des familles, le président du conseil départemental en informe l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation, qui peut alors suspendre ou abroger l'autorisation qui a été délivrée aux personnes responsables de l'enfant. Dans cette hypothèse, ces dernières sont mises en demeure de l'inscrire dans un établissement d'enseignement scolaire, dans les conditions et selon les modalités prévues à l'article L. 131-5-1 du présent code.<br/><br/> Lorsque, après concertation avec le directeur de l'établissement d'enseignement public ou privé dans lequel est inscrit un enfant, il est établi que l'intégrité physique ou morale de cet enfant est menacée, les personnes responsables de l'enfant peuvent lui donner l'instruction dans la famille après avoir sollicité l'autorisation mentionnée au premier alinéa du présent article, dans le délai restant à courir avant que cette autorisation ne leur soit accordée ou refusée.<br/><br/> L'enfant instruit dans la famille est rattaché administrativement à une circonscription d'enseignement du premier degré ou à un établissement d'enseignement scolaire public désigné par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation.</p><p>Le fait, pour les parents d'un enfant ou pour toute personne exerçant à son égard l'autorité parentale ou une autorité de fait de façon continue, d'inscrire cet enfant dans un établissement d'enseignement privé qui a ouvert malgré l'opposition prévue au chapitre Ier du titre IV du livre IV du présent code ou sans remplir les conditions prescrites au même chapitre Ier, alors qu'ils ont obtenu l'autorisation mentionnée au premier alinéa, est passible des peines prévues au premier alinéa de l'article 441-7 du code pénal.</p><p>Les familles domiciliées à proximité de deux ou plusieurs écoles publiques ont la faculté de faire inscrire leurs enfants à l'une ou l'autre de ces écoles, qu'elle soit ou non sur le territoire de leur commune, à moins qu'elle ne compte déjà le nombre maximum d'élèves autorisé par voie réglementaire.</p><p>Toutefois, lorsque le ressort des écoles publiques a été déterminé conformément aux dispositions de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006524515&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 212-7</a> du présent code, les familles doivent se conformer à la délibération du conseil municipal ou de l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale compétent, déterminant le ressort de chacune de ces écoles.</p><p>Lorsque le ressort des écoles publiques a été déterminé conformément aux dispositions de l'article L. 212-7, l'inscription des élèves, dans les écoles publiques ou privées, se fait sur présentation d'un certificat d'inscription sur la liste scolaire prévue à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006524432&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 131-6</a>. Ce certificat est délivré par le maire, qui y indique l'école que l'enfant doit fréquenter. En cas de refus d'inscription sur la liste scolaire de la part du maire sans motif légitime, le directeur académique des services de l'éducation nationale agissant sur délégation du préfet procède à cette inscription, en application de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006389979&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2122-34 </a>du code général des collectivités territoriales, après en avoir requis le maire.</p><p>La domiciliation des parents à l'étranger ne peut être une cause de refus d'inscription d'un enfant soumis à l'obligation scolaire. Chaque enfant est inscrit soit dans la commune où ses parents ont une résidence, soit dans celle du domicile de la personne qui en a la garde, soit dans celle où est situé un établissement ou une section d'établissement destinés plus particulièrement aux enfants de Français établis hors de France.</p><p>Le statut ou le mode d'habitat des familles installées sur le territoire de la commune ne peut être une cause de refus d'inscription d'un enfant soumis à l'obligation scolaire. Lorsque la famille n'a pas de domicile stable, l'inscription dans un établissement public ou privé peut être cumulée avec l'inscription auprès du service public du numérique éducatif et de l'enseignement à distance prévu à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000043982602&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code de l'éducation - art. L131-2 (VD)'>L. 131-2</a>.</p><p>La conclusion d'un contrat de travail à caractère saisonnier ouvre le droit de faire inscrire ses enfants dans une école de la commune de son lieu de résidence temporaire ou de travail.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000038904403
IG-20231128
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LEGIARTI000043982594
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166564
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Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
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LEGISCTA000006166564
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
<p>Conformément au IV de l'article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2022.</p><p>Par dérogation, l'autorisation prévue à l'article L. 131-5 du code de l'éducation est accordée de plein droit, pour les années scolaires 2022-2023 et 2023-2024, aux enfants régulièrement instruits dans la famille au cours de l'année scolaire 2021-2022 et pour lesquels les résultats du contrôle organisé en application du troisième alinéa de l'article L. 131-10 du même code ont été jugés suffisants.</p><p>Par décision du Conseil constitutionnel n° 2021-823 DC du 13 août 2021, les mots à condition d'y avoir été autorisées par l'autorité de l'État compétente en matière d'éducation figurant au premier alinéa et le huitième alinéa de l'article L. 131-5 du code de l'éducation, dans sa rédaction résultant de l’article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021 confortant le respect des principes de la République, ont été déclarés conformes à la Constitution sous la réserve énoncée au paragraphe 76 aux termes de laquelle : " il appartiendra, sous le contrôle du juge, au pouvoir réglementaire de déterminer les modalités de délivrance de l'autorisation d'instruction en famille conformément à ces critères et aux autorités administratives compétentes de fonder leur décision sur ces seuls critères excluant toute discrimination de quelque nature que ce soit. "</p><p></p><p></p>
null
Code de l'éducation, art. L131-5-1
Code de l'éducation
I.-Lorsqu'elle constate qu'un enfant reçoit l'instruction dans la famille sans l'autorisation mentionnée à l'article L. 131-5, l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation met en demeure les personnes responsables de l'enfant de l'inscrire, dans un délai de quinze jours à compter de la notification de la mise en demeure, dans un établissement d'enseignement scolaire public ou privé et de faire aussitôt connaître au maire, qui en informe l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation, l'école ou l'établissement qu'elles ont choisi. II.-Lorsqu'elle est obtenue par fraude, l'autorisation mentionnée à l'article L. 131-5 est retirée sans délai, sans préjudice des sanctions pénales. Ce retrait est assorti d'une mise en demeure d'inscrire l'enfant dans un établissement d'enseignement scolaire public ou privé, dans les conditions et selon les modalités prévues au I du présent article.
1,661,990,400,000
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L131-5-1
LEGIARTI000043974537
LEGIARTI000043974537
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au IV de l'article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2022.
1.0
450,964
null
null
null
Article
<p>I.-Lorsqu'elle constate qu'un enfant reçoit l'instruction dans la famille sans l'autorisation mentionnée à l'article L. 131-5, l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation met en demeure les personnes responsables de l'enfant de l'inscrire, dans un délai de quinze jours à compter de la notification de la mise en demeure, dans un établissement d'enseignement scolaire public ou privé et de faire aussitôt connaître au maire, qui en informe l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation, l'école ou l'établissement qu'elles ont choisi.<br/><br/> II.-Lorsqu'elle est obtenue par fraude, l'autorisation mentionnée à l'article L. 131-5 est retirée sans délai, sans préjudice des sanctions pénales. Ce retrait est assorti d'une mise en demeure d'inscrire l'enfant dans un établissement d'enseignement scolaire public ou privé, dans les conditions et selon les modalités prévues au I du présent article.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000043974537
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166564
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false
Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
null
LEGISCTA000006166564
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
<p>Conformément au IV de l'article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L131-5-2
Code de l'éducation
Une instance départementale chargée de la prévention de l'évitement scolaire associe les services de l'Etat compétents, les services municipaux concernés, le conseil départemental, l'organisme chargé du versement des prestations familiales et le ministère public. Elle assure notamment le suivi des élèves scolarisés à la suite de la mise en demeure mentionnée à l'article L. 131-10. Les modalités d'application du présent article sont précisées par décret.
1,661,990,400,000
32,472,144,000,000
L131-5-2
LEGIARTI000043974539
LEGIARTI000043974539
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au IV de l'article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2022.
1.0
461,701
null
null
null
Article
<p>Une instance départementale chargée de la prévention de l'évitement scolaire associe les services de l'Etat compétents, les services municipaux concernés, le conseil départemental, l'organisme chargé du versement des prestations familiales et le ministère public. Elle assure notamment le suivi des élèves scolarisés à la suite de la mise en demeure mentionnée à l'article L. 131-10. Les modalités d'application du présent article sont précisées par décret.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000043974539
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006166564
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Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
null
LEGISCTA000006166564
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
<p>Conformément au IV de l'article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L131-6
Code de l'éducation
Chaque année, à la rentrée scolaire, le maire dresse la liste de tous les enfants résidant dans sa commune et qui sont soumis à l'obligation scolaire. Les personnes responsables doivent y faire inscrire les enfants dont elles ont la garde. La liste des pièces qui peuvent être demandées à l'appui de cette demande d'inscription est fixée par décret. Afin de procéder au recensement prévu au premier alinéa et d'améliorer le suivi de l'obligation d'assiduité scolaire, le maire peut mettre en oeuvre un traitement automatisé de données à caractère personnel où sont enregistrées les données à caractère personnel relatives aux enfants en âge scolaire domiciliés dans la commune, qui lui sont transmises par les organismes chargés du versement des prestations familiales ainsi que par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation et par le directeur ou la directrice de l'établissement d'enseignement ainsi qu'en cas d'exclusion temporaire ou définitive de l'établissement ou lorsqu'un élève inscrit dans un établissement le quitte en cours ou en fin d'année. Un décret en Conseil d'Etat, pris après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, détermine les conditions d'application du troisième alinéa. Il précise la liste des données à caractère personnel collectées, la durée de conservation de ces données, les modalités d'habilitation des destinataires ainsi que les conditions dans lesquelles les personnes intéressées peuvent exercer leur droit d'accès.
1,564,358,400,000
32,472,144,000,000
L131-6
LEGIARTI000038901964
LEGIARTI000006524432
AUTONOME
VIGUEUR
5.0
472,439
null
null
null
Article
<p>Chaque année, à la rentrée scolaire, le maire dresse la liste de tous les enfants résidant dans sa commune et qui sont soumis à l'obligation scolaire.</p><p>Les personnes responsables doivent y faire inscrire les enfants dont elles ont la garde. La liste des pièces qui peuvent être demandées à l'appui de cette demande d'inscription est fixée par décret.</p><p>Afin de procéder au recensement prévu au premier alinéa et d'améliorer le suivi de l'obligation d'assiduité scolaire, le maire peut mettre en oeuvre un traitement automatisé de données à caractère personnel où sont enregistrées les données à caractère personnel relatives aux enfants en âge scolaire domiciliés dans la commune, qui lui sont transmises par les organismes chargés du versement des prestations familiales ainsi que par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation et par le directeur ou la directrice de l'établissement d'enseignement ainsi qu'en cas d'exclusion temporaire ou définitive de l'établissement ou lorsqu'un élève inscrit dans un établissement le quitte en cours ou en fin d'année.</p><p>Un décret en Conseil d'Etat, pris après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, détermine les conditions d'application du troisième alinéa. Il précise la liste des données à caractère personnel collectées, la durée de conservation de ces données, les modalités d'habilitation des destinataires ainsi que les conditions dans lesquelles les personnes intéressées peuvent exercer leur droit d'accès.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000027014974
IG-20231129
null
LEGIARTI000038901964
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166564
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Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
null
LEGISCTA000006166564
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
Code de l'éducation, art. L131-6-1
Code de l'éducation
Afin notamment de renforcer le suivi de l'obligation d'instruction par le maire et l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation et de s'assurer ainsi qu'aucun enfant n'est privé de son droit à l'instruction, chaque enfant soumis à l'obligation d'instruction prévue à l'article L. 131-1 se voit attribuer un identifiant national.
1,629,936,000,000
32,472,144,000,000
L131-6-1
LEGIARTI000043971221
LEGIARTI000043971221
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
515,388
null
null
null
Article
<p>Afin notamment de renforcer le suivi de l'obligation d'instruction par le maire et l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation et de s'assurer ainsi qu'aucun enfant n'est privé de son droit à l'instruction, chaque enfant soumis à l'obligation d'instruction prévue à l'article L. 131-1 se voit attribuer un identifiant national.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000043971221
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166564
false
false
Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
null
LEGISCTA000006166564
null
null
null
null
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
Code de l'éducation, art. L131-7
Code de l'éducation
L'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation invite les personnes responsables de l'enfant à se conformer à la loi et leur fait connaître les sanctions pénales encourues.
1,328,054,400,000
32,472,144,000,000
L131-7
LEGIARTI000025165407
LEGIARTI000006524434
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
558,337
null
null
null
Article
<p></p> L'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation invite les personnes responsables de l'enfant à se conformer à la loi et leur fait connaître les sanctions pénales encourues.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524434
IG-20231128
null
LEGIARTI000025165407
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006166564
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Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
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LEGISCTA000006166564
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
Code de l'éducation, art. L131-8
Code de l'éducation
Lorsqu'un enfant manque momentanément la classe, les personnes responsables doivent, sans délai, faire connaître au directeur ou à la directrice de l'établissement d'enseignement les motifs de cette absence. Les seuls motifs réputés légitimes sont les suivants : maladie de l'enfant, maladie transmissible ou contagieuse d'un membre de la famille, réunion solennelle de famille, empêchement résultant de la difficulté accidentelle des communications, absence temporaire des personnes responsables lorsque les enfants les suivent. Les autres motifs sont appréciés par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation. Celle-ci peut consulter les assistantes sociales agréées par elle, et les charger de conduire une enquête, en ce qui concerne les enfants en cause. Le directeur ou la directrice de l'établissement d'enseignement saisit l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation afin qu'elle adresse un avertissement aux personnes responsables de l'enfant, leur rappelant les sanctions pénales applicables et les informant sur les dispositifs d'accompagnement parental auxquels elles peuvent avoir recours : 1° Lorsque, malgré l'invitation du directeur ou de la directrice de l'établissement d'enseignement, elles n'ont pas fait connaître les motifs d'absence de l'enfant ou qu'elles ont donné des motifs d'absence inexacts ; 2° Lorsque l'enfant a manqué la classe sans motif légitime ni excuses valables au moins quatre demi-journées dans le mois. En cas de persistance du défaut d'assiduité, le directeur de l'établissement d'enseignement réunit les membres concernés de la communauté éducative, au sens de l'article L. 111-3 , afin de proposer aux personnes responsables de l'enfant une aide et un accompagnement adaptés et contractualisés avec celles-ci. Un personnel d'éducation référent est désigné pour suivre les mesures mises en œuvre au sein de l'établissement d'enseignement. Le directeur de l'établissement d'enseignement informe les collectivités territoriales et les autorités concernées par la protection de l'enfance des mesures prises dans l'établissement scolaire contre l'absentéisme et le décrochage scolaire. Il est l'interlocuteur de ces collectivités et de ces autorités et doit être informé, en retour, du soutien dont il peut bénéficier afin de mener à bien les missions d'accompagnement des personnes responsables de l'enfant et de prévention de l'absentéisme. L'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation peut, sur demande des responsables légaux de l'enfant et après avis du directeur de l'école arrêté dans le cadre d'un dialogue avec l'équipe éducative, autoriser un aménagement du temps de présence à l'école maternelle des enfants scolarisés en petite section, dans les conditions définies par décret.
1,567,382,400,000
32,472,144,000,000
L131-8
LEGIARTI000038901903
LEGIARTI000006524435
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément aux dispositions de l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
9.0
687,184
null
null
null
Article
<p>Lorsqu'un enfant manque momentanément la classe, les personnes responsables doivent, sans délai, faire connaître au directeur ou à la directrice de l'établissement d'enseignement les motifs de cette absence.</p><p>Les seuls motifs réputés légitimes sont les suivants : maladie de l'enfant, maladie transmissible ou contagieuse d'un membre de la famille, réunion solennelle de famille, empêchement résultant de la difficulté accidentelle des communications, absence temporaire des personnes responsables lorsque les enfants les suivent. Les autres motifs sont appréciés par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation. Celle-ci peut consulter les assistantes sociales agréées par elle, et les charger de conduire une enquête, en ce qui concerne les enfants en cause.</p><p>Le directeur ou la directrice de l'établissement d'enseignement saisit l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation afin qu'elle adresse un avertissement aux personnes responsables de l'enfant, leur rappelant les sanctions pénales applicables et les informant sur les dispositifs d'accompagnement parental auxquels elles peuvent avoir recours :</p><p>1° Lorsque, malgré l'invitation du directeur ou de la directrice de l'établissement d'enseignement, elles n'ont pas fait connaître les motifs d'absence de l'enfant ou qu'elles ont donné des motifs d'absence inexacts ;</p><p>2° Lorsque l'enfant a manqué la classe sans motif légitime ni excuses valables au moins quatre demi-journées dans le mois.</p><p>En cas de persistance du défaut d'assiduité, le directeur de l'établissement d'enseignement réunit les membres concernés de la communauté éducative, au sens de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000038902126&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code de l'éducation - art. L111-3 (VD)'>l'article L. 111-3</a>, afin de proposer aux personnes responsables de l'enfant une aide et un accompagnement adaptés et contractualisés avec celles-ci. Un personnel d'éducation référent est désigné pour suivre les mesures mises en œuvre au sein de l'établissement d'enseignement.</p><p>Le directeur de l'établissement d'enseignement informe les collectivités territoriales et les autorités concernées par la protection de l'enfance des mesures prises dans l'établissement scolaire contre l'absentéisme et le décrochage scolaire. Il est l'interlocuteur de ces collectivités et de ces autorités et doit être informé, en retour, du soutien dont il peut bénéficier afin de mener à bien les missions d'accompagnement des personnes responsables de l'enfant et de prévention de l'absentéisme.</p><p>L'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation peut, sur demande des responsables légaux de l'enfant et après avis du directeur de l'école arrêté dans le cadre d'un dialogue avec l'équipe éducative, autoriser un aménagement du temps de présence à l'école maternelle des enfants scolarisés en petite section, dans les conditions définies par décret.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000032207314
MD-20240720_184103_654_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000038901903
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166564
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Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
null
LEGISCTA000006166564
null
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
<p>Conformément aux dispositions de l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
null
Code de l'éducation, art. L131-9
Code de l'éducation
L'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation ou le maire saisit le procureur de la République des faits constitutifs d'infraction aux dispositions du présent chapitre.
1,567,382,400,000
32,472,144,000,000
L131-9
LEGIARTI000038902082
LEGIARTI000006524438
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
5.0
773,082
null
null
null
Article
<p>L'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation ou le maire saisit le procureur de la République des faits constitutifs d'infraction aux dispositions du présent chapitre.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000027014966
IG-20231129
null
LEGIARTI000038902082
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166564
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Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
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null
LEGISCTA000006166564
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null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
null
Code de l'éducation, art. L131-10
Code de l'éducation
Les enfants soumis à l'obligation scolaire qui reçoivent l'instruction dans leur famille, y compris dans le cadre d'une inscription dans un établissement d'enseignement à distance, sont dès la première année, et tous les deux ans, l'objet d'une enquête de la mairie compétente, uniquement aux fins de vérifier la réalité des motifs avancés par les personnes responsables de l'enfant pour obtenir l'autorisation mentionnée à l'article L. 131-5, et s'il leur est donné une instruction dans la mesure compatible avec leur état de santé et les conditions de vie de la famille. Dans le cadre de cette enquête, une attestation de suivi médical est fournie par les personnes responsables de l'enfant. Le résultat de cette enquête est communiqué à l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation et aux personnes responsables de l'enfant. Lorsque l'enquête n'a pas été effectuée, elle est diligentée par le représentant de l'Etat dans le département. L'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation doit au moins une fois par an, à partir du troisième mois suivant la délivrance de l'autorisation prévue au premier alinéa de l'article L. 131-5, faire vérifier, d'une part, que l'instruction dispensée au même domicile l'est pour les enfants d'une seule famille et, d'autre part, que l'enseignement assuré est conforme au droit de l'enfant à l'instruction tel que défini à l'article L. 131-1-1. A cet effet, ce contrôle permet de s'assurer de l'acquisition progressive par l'enfant de chacun des domaines du socle commun de connaissances, de compétences et de culture défini à l'article L. 122-1-1 au regard des objectifs de connaissances et de compétences attendues à la fin de chaque cycle d'enseignement de la scolarité obligatoire. Il est adapté à l'âge de l'enfant et, lorsqu'il présente un handicap ou un trouble de santé invalidant, à ses besoins particuliers. Le contrôle est prescrit par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation selon des modalités qu'elle détermine. Il est organisé en principe au domicile où l'enfant est instruit. Les personnes responsables de l'enfant sont informées, à la suite de l'autorisation qui leur est accordée en application du premier alinéa de l'article L. 131-5, de l'objet et des modalités des contrôles qui seront conduits en application du présent article. Les résultats du contrôle sont notifiés aux personnes responsables de l'enfant. Lorsque ces résultats sont jugés insuffisants, les personnes responsables de l'enfant sont informées du délai au terme duquel un second contrôle est prévu et des insuffisances de l'enseignement dispensé auxquelles il convient de remédier. Elles sont également avisées des sanctions dont elles peuvent faire l'objet, au terme de la procédure, en application du premier alinéa de l'article 227-17-1 du code pénal. Si les résultats du second contrôle sont jugés insuffisants, l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation met en demeure les personnes responsables de l'enfant de l'inscrire, dans les quinze jours suivant la notification de cette mise en demeure, dans un établissement d'enseignement scolaire public ou privé et de faire aussitôt connaître au maire, qui en informe l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation, l'école ou l'établissement qu'elles auront choisi. Les personnes responsables ainsi mises en demeure sont tenues de scolariser l'enfant dans un établissement d'enseignement scolaire public ou privé au moins jusqu'à la fin de l'année scolaire suivant celle au cours de laquelle la mise en demeure leur a été notifiée. Lorsque les personnes responsables de l'enfant ont refusé, sans motif légitime, de soumettre leur enfant au contrôle annuel prévu au troisième alinéa du présent article, elles sont informées qu'en cas de second refus, sans motif légitime, l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation est en droit de les mettre en demeure d'inscrire leur enfant dans un établissement d'enseignement scolaire public ou privé dans les conditions et selon les modalités prévues au sixième alinéa. Elles sont également avisées des sanctions dont elles peuvent faire l'objet, au terme de la procédure, en application du premier alinéa de l'article 227-17-1 du code pénal. Un décret en Conseil d'Etat fixe les modalités d'application du présent article.
1,661,990,400,000
32,472,144,000,000
L131-10
LEGIARTI000043982589
LEGIARTI000006524440
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au IV de l'article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2022. Par dérogation, l'autorisation prévue à l'article L. 131-5 du code de l'éducation est accordée de plein droit, pour les années scolaires 2022-2023 et 2023-2024, aux enfants régulièrement instruits dans la famille au cours de l'année scolaire 2021-2022 et pour lesquels les résultats du contrôle organisé en application du troisième alinéa de l'article L. 131-10 du même code ont été jugés suffisants.
7.0
901,929
null
null
null
Article
<p>Les enfants soumis à l'obligation scolaire qui reçoivent l'instruction dans leur famille, y compris dans le cadre d'une inscription dans un établissement d'enseignement à distance, sont dès la première année, et tous les deux ans, l'objet d'une enquête de la mairie compétente, uniquement aux fins de vérifier la réalité des motifs avancés par les personnes responsables de l'enfant pour obtenir l'autorisation mentionnée à l'article L. 131-5, et s'il leur est donné une instruction dans la mesure compatible avec leur état de santé et les conditions de vie de la famille. Dans le cadre de cette enquête, une attestation de suivi médical est fournie par les personnes responsables de l'enfant. Le résultat de cette enquête est communiqué à l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation et aux personnes responsables de l'enfant.</p><p>Lorsque l'enquête n'a pas été effectuée, elle est diligentée par le représentant de l'Etat dans le département.</p><p>L'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation doit au moins une fois par an, à partir du troisième mois suivant la délivrance de l'autorisation prévue au premier alinéa de l'article L. 131-5, faire vérifier, d'une part, que l'instruction dispensée au même domicile l'est pour les enfants d'une seule famille et, d'autre part, que l'enseignement assuré est conforme au droit de l'enfant à l'instruction tel que défini à l'article L. 131-1-1. A cet effet, ce contrôle permet de s'assurer de l'acquisition progressive par l'enfant de chacun des domaines du socle commun de connaissances, de compétences et de culture défini à l'article L. 122-1-1 au regard des objectifs de connaissances et de compétences attendues à la fin de chaque cycle d'enseignement de la scolarité obligatoire. Il est adapté à l'âge de l'enfant et, lorsqu'il présente un handicap ou un trouble de santé invalidant, à ses besoins particuliers.<br/><br/> Le contrôle est prescrit par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation selon des modalités qu'elle détermine. Il est organisé en principe au domicile où l'enfant est instruit. Les personnes responsables de l'enfant sont informées, à la suite de l'autorisation qui leur est accordée en application du premier alinéa de l'article L. 131-5, de l'objet et des modalités des contrôles qui seront conduits en application du présent article.</p><p>Les résultats du contrôle sont notifiés aux personnes responsables de l'enfant. Lorsque ces résultats sont jugés insuffisants, les personnes responsables de l'enfant sont informées du délai au terme duquel un second contrôle est prévu et des insuffisances de l'enseignement dispensé auxquelles il convient de remédier. Elles sont également avisées des sanctions dont elles peuvent faire l'objet, au terme de la procédure, en application du premier alinéa de l'article 227-17-1 du code pénal.<br/><br/> Si les résultats du second contrôle sont jugés insuffisants, l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation met en demeure les personnes responsables de l'enfant de l'inscrire, dans les quinze jours suivant la notification de cette mise en demeure, dans un établissement d'enseignement scolaire public ou privé et de faire aussitôt connaître au maire, qui en informe l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation, l'école ou l'établissement qu'elles auront choisi. Les personnes responsables ainsi mises en demeure sont tenues de scolariser l'enfant dans un établissement d'enseignement scolaire public ou privé au moins jusqu'à la fin de l'année scolaire suivant celle au cours de laquelle la mise en demeure leur a été notifiée.<br/><br/> Lorsque les personnes responsables de l'enfant ont refusé, sans motif légitime, de soumettre leur enfant au contrôle annuel prévu au troisième alinéa du présent article, elles sont informées qu'en cas de second refus, sans motif légitime, l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation est en droit de les mettre en demeure d'inscrire leur enfant dans un établissement d'enseignement scolaire public ou privé dans les conditions et selon les modalités prévues au sixième alinéa. Elles sont également avisées des sanctions dont elles peuvent faire l'objet, au terme de la procédure, en application du premier alinéa de l'article 227-17-1 du code pénal.<br/><br/> Un décret en Conseil d'Etat fixe les modalités d'application du présent article.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000038901972
IG-20231128
null
LEGIARTI000043982589
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166564
false
false
Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
null
LEGISCTA000006166564
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
<p>Conformément au IV de l'article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2022.</p><p>Par dérogation, l'autorisation prévue à l'article L. 131-5 du code de l'éducation est accordée de plein droit, pour les années scolaires 2022-2023 et 2023-2024, aux enfants régulièrement instruits dans la famille au cours de l'année scolaire 2021-2022 et pour lesquels les résultats du contrôle organisé en application du troisième alinéa de l'article L. 131-10 du même code ont été jugés suffisants.</p>
null
Code de l'éducation, art. L131-10-1
Code de l'éducation
Les personnes responsables d'un enfant qui sont autorisées à donner l'instruction dans la famille et qui ont satisfait aux obligations des contrôles effectués par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation ou par le représentant de l'Etat dans le département bénéficient, après deux années complètes d'instruction en famille, de la valorisation des acquis de leur expérience professionnelle, dont les modalités sont déterminées par décret pris sur le rapport des ministres chargés du travail et de l'éducation.
1,661,990,400,000
32,472,144,000,000
L131-10-1
LEGIARTI000043974554
LEGIARTI000043974554
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au IV de l'article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2022.
1.0
944,878
null
null
null
Article
<p>Les personnes responsables d'un enfant qui sont autorisées à donner l'instruction dans la famille et qui ont satisfait aux obligations des contrôles effectués par l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation ou par le représentant de l'Etat dans le département bénéficient, après deux années complètes d'instruction en famille, de la valorisation des acquis de leur expérience professionnelle, dont les modalités sont déterminées par décret pris sur le rapport des ministres chargés du travail et de l'éducation.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000043974554
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166564
false
false
Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
null
LEGISCTA000006166564
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
<p>Conformément au IV de l'article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L131-11
Code de l'éducation
Les manquements aux obligations résultant des articles L. 131-5-1 , L. 131-10 et L. 442-2 du présent code sont sanctionnés par les dispositions des articles 227-17-1 et 227-17-2 du code pénal, ci-après reproduites : " Art. 227-17-1 .-Le fait, par les parents d'un enfant ou toute personne exerçant à son égard l'autorité parentale ou une autorité de fait de façon continue, de ne pas l'inscrire dans un établissement d'enseignement, sans excuse valable, en dépit d'une mise en demeure de l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation, est puni de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende. Le fait, par un directeur d'établissement privé accueillant des classes hors contrat, de n'avoir pas pris, malgré la mise en demeure de l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation, les dispositions nécessaires pour que l'enseignement qui y est dispensé soit conforme à l'objet de l'instruction obligatoire, tel que celui-ci est défini par l'article L. 131-1-1 du code de l'éducation, et permette aux élèves concernés l'acquisition progressive du socle commun défini à l'article L. 122-1-1 du même code, et de n'avoir pas procédé à la fermeture de ces classes est puni de six mois d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende. En outre, le tribunal peut ordonner à l'encontre de celui-ci l'interdiction de diriger ou d'enseigner ainsi que la fermeture de l'établissement. " " Art. 227-17-2 .-Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l'article 121-2, des infractions définies aux articles 227-15 à 227-17-1 encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article 131-38, les peines prévues par l'article 131-39 . "
1,661,990,400,000
32,472,144,000,000
L131-11
LEGIARTI000043982572
LEGIARTI000006524444
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au IV de l'article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2022. Conformément à la décision du Conseil constitutionnel n° 2018-710 QPC du 1er juin 2018, le second alinéa de l'article 227-17-1 du code pénal, dans sa rédaction résultant du décret n° 2012-16 du 5 janvier 2012 relatif à l'organisation académique, est conforme à la Constitution sous les réserves suivantes : - Pour que les dispositions contestées satisfassent au principe de légalité des délits et des peines, la mise en demeure adressée au directeur de l'établissement doit exposer de manière précise et circonstanciée les mesures nécessaires pour que l'enseignement dispensé soit mis en conformité avec l'objet de l'instruction obligatoire ; - Lorsque la personne exploitant l'établissement d'enseignement n'est pas celle poursuivie sur le fondement des dispositions contestées, la mesure de fermeture de l'établissement ne saurait, sans méconnaître le principe selon lequel nul n'est punissable que de son propre fait, être prononcée sans que le ministère public ait cité cette personne devant le tribunal correctionnel en indiquant la nature des poursuites exercées et la possibilité pour ce tribunal de prononcer cette mesure.
6.0
987,827
null
null
null
Article
<p>Les manquements aux obligations résultant des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000043974537&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 131-5-1</a>, L. 131-10 et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525004&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 442-2 </a>du présent code sont sanctionnés par les dispositions des articles 227-17-1 et 227-17-2 du code pénal, ci-après reproduites : </p><p>" Art. <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000043982715&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code pénal - art. 227-17-1 (V)'>227-17-1</a>.-Le fait, par les parents d'un enfant ou toute personne exerçant à son égard l'autorité parentale ou une autorité de fait de façon continue, de ne pas l'inscrire dans un établissement d'enseignement, sans excuse valable, en dépit d'une mise en demeure de l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation, est puni de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende. </p><p>Le fait, par un directeur d'établissement privé accueillant des classes hors contrat, de n'avoir pas pris, malgré la mise en demeure de l'autorité de l'Etat compétente en matière d'éducation, les dispositions nécessaires pour que l'enseignement qui y est dispensé soit conforme à l'objet de l'instruction obligatoire, tel que celui-ci est défini par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006524423&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 131-1-1 </a>du code de l'éducation, et permette aux élèves concernés l'acquisition progressive du socle commun défini à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006524396&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 122-1-1 </a>du même code, et de n'avoir pas procédé à la fermeture de ces classes est puni de six mois d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende. En outre, le tribunal peut ordonner à l'encontre de celui-ci l'interdiction de diriger ou d'enseigner ainsi que la fermeture de l'établissement. " </p><p>" Art. <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006418059&dateTexte=&categorieLien=cid'>227-17-2</a>.-Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l'article 121-2, des infractions définies aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006418047&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles 227-15 à 227-17-1 </a>encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article 131-38, les peines prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417335&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-39</a>. "</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000037012297
IG-20231128
null
LEGIARTI000043982572
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166564
false
false
Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
null
LEGISCTA000006166564
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
<p>Conformément au IV de l'article 49 de la loi n° 2021-1109 du 24 août 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2022.</p><p>Conformément à la décision du Conseil constitutionnel n° 2018-710 QPC du 1er juin 2018, le second alinéa de l'article 227-17-1 du code pénal, dans sa rédaction résultant du décret n° 2012-16 du 5 janvier 2012 relatif à l'organisation académique, est conforme à la Constitution sous les réserves suivantes :</p><p>- Pour que les dispositions contestées satisfassent au principe de légalité des délits et des peines, la mise en demeure adressée au directeur de l'établissement doit exposer de manière précise et circonstanciée les mesures nécessaires pour que l'enseignement dispensé soit mis en conformité avec l'objet de l'instruction obligatoire ;</p><p>- Lorsque la personne exploitant l'établissement d'enseignement n'est pas celle poursuivie sur le fondement des dispositions contestées, la mesure de fermeture de l'établissement ne saurait, sans méconnaître le principe selon lequel nul n'est punissable que de son propre fait, être prononcée sans que le ministère public ait cité cette personne devant le tribunal correctionnel en indiquant la nature des poursuites exercées et la possibilité pour ce tribunal de prononcer cette mesure.</p>
null
Code de l'éducation, art. L131-11-1
Code de l'éducation
Ne peuvent être chargées de l'instruction en famille d'un enfant les personnes qui ont été définitivement condamnées par le juge pénal pour crime ou délit à caractère terroriste ni les personnes inscrites au fichier judiciaire national automatisé des auteurs d'infractions sexuelles ou violentes pour une condamnation définitive.
1,629,936,000,000
32,472,144,000,000
L131-11-1
LEGIARTI000043977585
LEGIARTI000043977585
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,030,776
null
null
null
Article
<p>Ne peuvent être chargées de l'instruction en famille d'un enfant les personnes qui ont été définitivement condamnées par le juge pénal pour crime ou délit à caractère terroriste ni les personnes inscrites au fichier judiciaire national automatisé des auteurs d'infractions sexuelles ou violentes pour une condamnation définitive.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000043977585
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166564
false
false
Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
null
LEGISCTA000006166564
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
Code de l'éducation, art. L131-12
Code de l'éducation
Les modalités du contrôle de l'obligation, de la fréquentation et de l'assiduité scolaires sont déterminées par décret en Conseil d'Etat.
1,073,088,000,000
32,472,144,000,000
L131-12
LEGIARTI000006524447
LEGIARTI000006524446
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,073,725
null
null
null
Article
<p></p> Les modalités du contrôle de l'obligation, de la fréquentation et de l'assiduité scolaires sont déterminées par décret en Conseil d'Etat.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524446
IG-20231129
null
LEGIARTI000006524447
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166564
false
false
Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
null
LEGISCTA000006166564
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation et la gratuité scolaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
Code de l'éducation, art. L131-13
Code de l'éducation
L'inscription à la cantine des écoles primaires, lorsque ce service existe, est un droit pour tous les enfants scolarisés. Il ne peut être établi aucune discrimination selon leur situation ou celle de leur famille.
1,485,648,000,000
32,472,144,000,000
L131-13
LEGIARTI000033956550
LEGIARTI000033956545
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,074,278,686
null
null
null
Article
<p> L'inscription à la cantine des écoles primaires, lorsque ce service existe, est un droit pour tous les enfants scolarisés. Il ne peut être établi aucune discrimination selon leur situation ou celle de leur famille. </p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000033956550
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166564
false
false
Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
null
LEGISCTA000006166564
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre Ier : L'obligation scolaire.
null
Code de l'éducation, art. L132-1
Code de l'éducation
L'enseignement public dispensé dans les écoles maternelles et élémentaires est gratuit.
1,567,382,400,000
32,472,144,000,000
L132-1
LEGIARTI000038901897
LEGIARTI000006524448
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément aux dispositions de l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>L'enseignement public dispensé dans les écoles maternelles et élémentaires est gratuit.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006524448
IG-20231129
null
LEGIARTI000038901897
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166565
false
false
Chapitre II : La gratuité de l'enseignement scolaire public.
null
null
LEGISCTA000006166565
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre II : La gratuité de l'enseignement scolaire public.
<p>Conformément aux dispositions de l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
null
Code de l'éducation, art. L132-2
Code de l'éducation
L'enseignement est gratuit pour les élèves des lycées et collèges publics qui donnent l'enseignement du second degré, ainsi que pour les élèves des classes préparatoires aux grandes écoles et à l'enseignement supérieur des établissements d'enseignement public du second degré.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L132-2
LEGIARTI000006524449
LEGIARTI000006524449
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> L'enseignement est gratuit pour les élèves des lycées et collèges publics qui donnent l'enseignement du second degré, ainsi que pour les élèves des classes préparatoires aux grandes écoles et à l'enseignement supérieur des établissements d'enseignement public du second degré.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006524449
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166565
false
false
Chapitre II : La gratuité de l'enseignement scolaire public.
null
null
LEGISCTA000006166565
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation et la gratuité scolaires &gt; Chapitre II : La gratuité de l'enseignement scolaire public.
null
Code de l'éducation, art. L133-1
Code de l'éducation
Tout enfant scolarisé dans une école maternelle ou élémentaire publique ou privée sous contrat est accueilli pendant le temps scolaire pour y suivre les enseignements prévus par les programmes. Il bénéficie gratuitement d'un service d'accueil lorsque ces enseignements ne peuvent lui être délivrés en raison de l'absence imprévisible de son professeur et de l'impossibilité de le remplacer. Il en est de même en cas de grève, dans les conditions prévues aux articles L. 133-3 à L. 133-12.
1,220,227,200,000
32,472,144,000,000
L133-1
LEGIARTI000019346674
LEGIARTI000019345247
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>Tout enfant scolarisé dans une école maternelle ou élémentaire publique ou privée sous contrat est accueilli pendant le temps scolaire pour y suivre les enseignements prévus par les programmes. Il bénéficie gratuitement d'un service d'accueil lorsque ces enseignements ne peuvent lui être délivrés en raison de l'absence imprévisible de son professeur et de l'impossibilité de le remplacer. Il en est de même en cas de grève, dans les conditions prévues aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000019345408&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L133-3 (V)'>articles L. 133-3 à L. 133-12.</a></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000019346674
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000019346670
false
false
Chapitre III : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires
null
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LEGISCTA000019345235
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre III : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires
null
Code de l'éducation, art. L133-2
Code de l'éducation
I.-Afin de prévenir les conflits, un préavis de grève concernant les personnels enseignants du premier degré des écoles publiques ne peut être déposé par une ou plusieurs organisations syndicales représentatives qu'à l'issue d'une négociation préalable entre l'Etat et ces mêmes organisations. II.-Les règles d'organisation et de déroulement de cette négociation préalable sont fixées par un décret en Conseil d'Etat qui détermine notamment : 1° Les conditions dans lesquelles une organisation syndicale représentative procède à la notification à l'autorité administrative des motifs pour lesquels elle envisage de déposer un préavis de grève conformément à l'article L. 2512-2 du code du travail ; 2° Le délai dans lequel, à compter de cette notification, l'autorité administrative est tenue de réunir les organisations syndicales représentatives qui ont procédé à la notification. Ce délai ne peut dépasser trois jours ; 3° La durée dont l'autorité administrative et les organisations syndicales représentatives qui ont procédé à la notification disposent pour conduire la négociation préalable mentionnée au I. Cette durée ne peut excéder huit jours francs à compter de cette notification ; 4° Les informations qui doivent être transmises par l'autorité administrative aux organisations syndicales représentatives qui ont procédé à la notification en vue de favoriser la réussite du processus de négociation, ainsi que le délai dans lequel ces informations doivent être fournies ; 5° Les conditions dans lesquelles la négociation préalable entre les organisations syndicales représentatives qui ont procédé à la notification et l'autorité administrative se déroule ; 6° Les modalités d'élaboration du relevé de conclusions de la négociation préalable ainsi que les informations qui doivent y figurer ; 7° Les conditions dans lesquelles les enseignants du premier degré sont informés des motifs du conflit, de la position de l'autorité administrative et de la position des organisations syndicales représentatives qui ont procédé à la notification ainsi que les conditions dans lesquelles ils reçoivent communication du relevé de conclusions de la négociation préalable. III.-Lorsqu'un préavis de grève concernant les personnels enseignants des écoles maternelles et élémentaires publiques a été déposé dans les conditions prévues par l'article L. 2512-2 du code du travail par une ou plusieurs organisations syndicales représentatives, un nouveau préavis ne peut être déposé par la ou les mêmes organisations et pour les mêmes motifs qu'à l'issue du délai du préavis en cours et avant que la procédure prévue aux I et II du présent article n'ait été mise en œuvre.
1,219,363,200,000
32,472,144,000,000
L133-2
LEGIARTI000019346677
LEGIARTI000019345278
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
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Article
<p>I.-Afin de prévenir les conflits, un préavis de grève concernant les personnels enseignants du premier degré des écoles publiques ne peut être déposé par une ou plusieurs organisations syndicales représentatives qu'à l'issue d'une négociation préalable entre l'Etat et ces mêmes organisations. </p><p>II.-Les règles d'organisation et de déroulement de cette négociation préalable sont fixées par un décret en Conseil d'Etat qui détermine notamment : </p><p>1° Les conditions dans lesquelles une organisation syndicale représentative procède à la notification à l'autorité administrative des motifs pour lesquels elle envisage de déposer un préavis de grève conformément à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006902378&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L2512-2 (V)'>L. 2512-2 du code du travail</a> ; </p><p>2° Le délai dans lequel, à compter de cette notification, l'autorité administrative est tenue de réunir les organisations syndicales représentatives qui ont procédé à la notification. Ce délai ne peut dépasser trois jours ; </p><p>3° La durée dont l'autorité administrative et les organisations syndicales représentatives qui ont procédé à la notification disposent pour conduire la négociation préalable mentionnée au I. Cette durée ne peut excéder huit jours francs à compter de cette notification ; </p><p>4° Les informations qui doivent être transmises par l'autorité administrative aux organisations syndicales représentatives qui ont procédé à la notification en vue de favoriser la réussite du processus de négociation, ainsi que le délai dans lequel ces informations doivent être fournies ; </p><p>5° Les conditions dans lesquelles la négociation préalable entre les organisations syndicales représentatives qui ont procédé à la notification et l'autorité administrative se déroule ; </p><p>6° Les modalités d'élaboration du relevé de conclusions de la négociation préalable ainsi que les informations qui doivent y figurer ; </p><p>7° Les conditions dans lesquelles les enseignants du premier degré sont informés des motifs du conflit, de la position de l'autorité administrative et de la position des organisations syndicales représentatives qui ont procédé à la notification ainsi que les conditions dans lesquelles ils reçoivent communication du relevé de conclusions de la négociation préalable. </p><p>III.-Lorsqu'un préavis de grève concernant les personnels enseignants des écoles maternelles et élémentaires publiques a été déposé dans les conditions prévues par l'article L. 2512-2 du code du travail par une ou plusieurs organisations syndicales représentatives, un nouveau préavis ne peut être déposé par la ou les mêmes organisations et pour les mêmes motifs qu'à l'issue du délai du préavis en cours et avant que la procédure prévue aux I et II du présent article n'ait été mise en œuvre.</p>
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IG-20231129
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LEGIARTI000019346677
LEGI
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LEGISCTA000019346680
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Section 1 : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires publiques
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LEGISCTA000019345268
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre III : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Section 1 : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires publiques
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Code de l'éducation, art. L133-3
Code de l'éducation
En cas de grève des enseignants d'une école maternelle ou élémentaire publique, les enfants scolarisés dans cette école bénéficient gratuitement, pendant le temps scolaire, d'un service d'accueil qui est organisé par l'Etat, sauf lorsque la commune en est chargée en application du quatrième alinéa de l'article L. 133-4 .
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L133-3
LEGIARTI000019346682
LEGIARTI000019345408
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,610,612,735
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Article
<p>En cas de grève des enseignants d'une école maternelle ou élémentaire publique, les enfants scolarisés dans cette école bénéficient gratuitement, pendant le temps scolaire, d'un service d'accueil qui est organisé par l'Etat, sauf lorsque la commune en est chargée en application du quatrième alinéa de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000019345420&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 133-4</a>.</p>
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IG-20231129
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LEGIARTI000019346682
LEGI
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Section 1 : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires publiques
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LEGISCTA000019345268
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre III : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Section 1 : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires publiques
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Code de l'éducation, art. L133-4
Code de l'éducation
Dans le cas où un préavis de grève a été déposé dans les conditions prévues par l'article L. 2512-2 du code du travail et en vue de la mise en place d'un service d'accueil, toute personne exerçant des fonctions d'enseignement dans une école maternelle ou élémentaire publique déclare à l'autorité administrative, au moins quarante-huit heures, comprenant au moins un jour ouvré, avant de participer à la grève, son intention d'y prendre part. Dans le cadre de la négociation préalable prévue à l'article L. 133-2 du présent code, l'Etat et la ou les organisations syndicales représentatives qui ont procédé à la notification prévue au II de ce même article peuvent s'entendre sur les modalités selon lesquelles ces déclarations préalables sont portées à la connaissance de l'autorité administrative. En tout état de cause, cette dernière doit être informée, au plus tard quarante-huit heures avant le début de la grève, du nombre, par école, des personnes ayant déclaré leur intention d'y participer. L'autorité administrative communique sans délai au maire, pour chaque école, le nombre de personnes ayant fait cette déclaration et exerçant dans la commune. La commune met en place le service d'accueil à destination des élèves d'une école maternelle ou élémentaire publique située sur son territoire lorsque le nombre des personnes qui ont déclaré leur intention de participer à la grève en application du premier alinéa est égal ou supérieur à 25 % du nombre de personnes qui exercent des fonctions d'enseignement dans cette école. Les familles sont informées des modalités d'organisation du service d'accueil par la commune et, le cas échéant, par les maires d'arrondissement. Pour les communes de Paris, Lyon et Marseille, le maire de la commune informe sans délai le président de la caisse des écoles de ces modalités.
1,220,227,200,000
32,472,144,000,000
L133-4
LEGIARTI000019346685
LEGIARTI000019345420
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
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Article
<p>Dans le cas où un préavis de grève a été déposé dans les conditions prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006902378&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du travail - art. L2512-2 (V)'>L. 2512-2 du code du travail </a>et en vue de la mise en place d'un service d'accueil, toute personne exerçant des fonctions d'enseignement dans une école maternelle ou élémentaire publique déclare à l'autorité administrative, au moins quarante-huit heures, comprenant au moins un jour ouvré, avant de participer à la grève, son intention d'y prendre part. </p><p>Dans le cadre de la négociation préalable prévue à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000019345278&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L133-2 (V)'>L. 133-2</a> du présent code, l'Etat et la ou les organisations syndicales représentatives qui ont procédé à la notification prévue au II de ce même article peuvent s'entendre sur les modalités selon lesquelles ces déclarations préalables sont portées à la connaissance de l'autorité administrative. En tout état de cause, cette dernière doit être informée, au plus tard quarante-huit heures avant le début de la grève, du nombre, par école, des personnes ayant déclaré leur intention d'y participer. </p><p>L'autorité administrative communique sans délai au maire, pour chaque école, le nombre de personnes ayant fait cette déclaration et exerçant dans la commune. </p><p>La commune met en place le service d'accueil à destination des élèves d'une école maternelle ou élémentaire publique située sur son territoire lorsque le nombre des personnes qui ont déclaré leur intention de participer à la grève en application du premier alinéa est égal ou supérieur à 25 % du nombre de personnes qui exercent des fonctions d'enseignement dans cette école. </p><p>Les familles sont informées des modalités d'organisation du service d'accueil par la commune et, le cas échéant, par les maires d'arrondissement. </p><p>Pour les communes de Paris, Lyon et Marseille, le maire de la commune informe sans délai le président de la caisse des écoles de ces modalités.</p>
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IG-20231129
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LEGIARTI000019346685
LEGI
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Section 1 : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires publiques
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LEGISCTA000019345268
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre III : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Section 1 : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires publiques
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Code de l'éducation, art. L133-5
Code de l'éducation
Les informations issues des déclarations individuelles ne peuvent être utilisées que pour l'organisation, durant la grève, du service mentionné à l'article L. 133-4 . Elles sont couvertes par le secret professionnel. Leur utilisation à d'autres fins ou leur communication à toute autre personne que celles qui doivent en connaître est passible des peines prévues à l'article 226-13 du code pénal .
1,220,227,200,000
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L133-5
LEGIARTI000019346689
LEGIARTI000019345440
AUTONOME
VIGUEUR
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Article
<p>Les informations issues des déclarations individuelles ne peuvent être utilisées que pour l'organisation, durant la grève, du service mentionné à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000019345420&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L133-4 (V)'>L. 133-4</a>. Elles sont couvertes par le secret professionnel. Leur utilisation à d'autres fins ou leur communication à toute autre personne que celles qui doivent en connaître est passible des peines prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417944&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 226-13 (V)'>226-13 du code pénal</a>.</p>
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IG-20231129
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LEGIARTI000019346689
LEGI
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Section 1 : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires publiques
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LEGISCTA000019345268
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre III : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Section 1 : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires publiques
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Code de l'éducation, art. L133-6
Code de l'éducation
Pour la mise en œuvre du service prévu au quatrième alinéa de l'article L. 133-4 , la commune peut accueillir les élèves dans les locaux des écoles maternelles et élémentaires publiques, y compris lorsque ceux-ci continuent d'être utilisés en partie pour les besoins de l'enseignement.
1,220,227,200,000
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L133-6
LEGIARTI000019346693
LEGIARTI000019345455
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
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Article
<p>Pour la mise en œuvre du service prévu au quatrième alinéa de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000019345420&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 133-4</a>, la commune peut accueillir les élèves dans les locaux des écoles maternelles et élémentaires publiques, y compris lorsque ceux-ci continuent d'être utilisés en partie pour les besoins de l'enseignement.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000019346693
LEGI
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Section 1 : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires publiques
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LEGISCTA000019345268
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre III : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Section 1 : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires publiques
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Code de l'éducation, art. L133-7
Code de l'éducation
Le maire établit une liste des personnes susceptibles d'assurer le service d'accueil prévu à l'article L. 133-4 en veillant à ce qu'elles possèdent les qualités nécessaires pour accueillir et encadrer des enfants. Cette liste est transmise à l'autorité académique qui s'assure, par une vérification opérée dans les conditions prévues au 3° de l'article 706-53-7 du code de procédure pénale , que ces personnes, préalablement informées de la vérification, ne figurent pas dans le fichier judiciaire national automatisé des auteurs d'infractions sexuelles ou violentes. Lorsque l'autorité académique est conduite à écarter certaines personnes de la liste, elle en informe le maire sans en divulguer les motifs. Cette liste est transmise pour information aux représentants des parents d'élèves élus au conseil d'école. Les personnes y figurant sont préalablement informées de cette transmission.
1,220,227,200,000
32,472,144,000,000
L133-7
LEGIARTI000019346696
LEGIARTI000019345488
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,113,929,215
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Article
<p>Le maire établit une liste des personnes susceptibles d'assurer le service d'accueil prévu à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000019345420&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L133-4 (V)'>L. 133-4 </a>en veillant à ce qu'elles possèdent les qualités nécessaires pour accueillir et encadrer des enfants. </p><p>Cette liste est transmise à l'autorité académique qui s'assure, par une vérification opérée dans les conditions prévues au <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006577716&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de procédure pénale - art. 706-53-7 (V)'>3° de l'article 706-53-7 du code de procédure pénale</a>, que ces personnes, préalablement informées de la vérification, ne figurent pas dans le fichier judiciaire national automatisé des auteurs d'infractions sexuelles ou violentes. </p><p>Lorsque l'autorité académique est conduite à écarter certaines personnes de la liste, elle en informe le maire sans en divulguer les motifs. </p><p>Cette liste est transmise pour information aux représentants des parents d'élèves élus au conseil d'école. Les personnes y figurant sont préalablement informées de cette transmission.</p>
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IG-20231129
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LEGIARTI000019346696
LEGI
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Section 1 : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires publiques
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LEGISCTA000019345268
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Partie législative &gt; Première partie : Dispositions générales et communes &gt; Livre Ier : Principes généraux de l'éducation &gt; Titre III : L'obligation scolaire, la gratuité et l'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Chapitre III : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires &gt; Section 1 : L'accueil des élèves des écoles maternelles et élémentaires publiques
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